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Tribulations d'une souris en politique

Quatrième de couverture
Entrée par hasard dans l'univers politique, Chloé, jeune femme trop bien élevée, timide et réservée, découvre avec gourmandise et humour l'envers du décor. Tout en apprenant, quelquefois à ses dépends, les codes du pouvoir, elle y croise les grands fauves, à Bordeaux puis à Paris et y rencontre les petites mains qui font vivre le militantisme au quotidien. Au fur et à mesure de ses tribulations, la "souris" abandonne sa province et son éducation bourgeoise au profit d'un féminisme bienveillant. Prise au jeu, Chloé s'avance sur le devant de la scène pour y jouer sa partition. Un premier roman savoureux... et pour les accros à la politique quelques clefs à découvrir...
Durée: 2h. 56min.
Édition: Paris, les Ed. de Passy, 2018
N° de notice: 67209
ISBN: 9782351460832

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Quatrième de couverture: Lors des commémorations du bi-centenaire du canton de Vaud en 2003, les féministes vaudoises ont décidé que les femmes ne seraient pas, une fois de plus, les oubliées de l'histoire. Elles ont lancé le projet «20 femmes 1803-2003» dans le but de faire connaître et fêter des femmes de milieux différents, ayant vécu et exercé leur activité au cours des deux derniers siècles en région vaudoise. Des plaques commémoratives ont été posées dans une dizaine de communes lors de fêtes chaleureuses. Enfin un livre, un joli objet en plus, été édité dans lequel les deux historiennes présentent en quelques pages illustrées la vie de ces vingt femmes. Bien évidemment le choix est arbitraire, car des centaines de femmes auraient mérité d'être tirées de l'oubli, mais les auteures l'ont voulu représentatif des divers secteurs d'activités (arts, littérature, science, usine) et classes sociales. Et l'on découvre une richesse extraordinaire parmi ces parcours de femmes. On ne demande qu'à les approfondir! La démarche devrait être reprise par d'autres cantons, voire par des communes. Genève annonce d'ailleurs une prochaine publication sur ses pionnières et un livre historique sur les héroïnes genevoises prend forme. Rosalie de Constant (1758-1834), Jeanne Huc-Mazelet (1765-1852), Caroline Olivier-Ruchet (1803-1879), Valérie de Gasparin-Boissier (1813-1894), Clémence Royer (1830-1902), Marthe Guignard-Berche (1864-1948), Hélène de Mandrot-Revilliod (1867-1948), Lucy Dutoit (1868-1937), Nora Gross (1871-1929), Alice Bailly (1872-1938), Hélène Monastier (1882-1976), Cécile Biéler-Butticaz (1184-1966), Gertrude Fehr-Fuld (1895-1996), Germaine Guex (1904-1984), Maeleine Lamouille-Pillonel (1907-1993), Charlotte Muret-Haët (1911-1979), Anne-Marie Gründer (1918-1996), Gisèle Ansorge-Dietrich (1923-1993), Marie-Claude Leburgue (1928-1999), ainsi qu'un chapitre sur les ouvrières en lutte au tournat du siècle: les cigarières de la fabrique Vautier à Yverdon (mai 1907)
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Quatrième de couverture: Il est admis que 1984 et La Ferme des animaux d'Orwell permettent de penser les dictatures du XXe siècle. Je pose l'hypothèse qu'ils permettent également de concevoir les dictatures de toujours. Comment instaurer aujourd'hui une dictature d'un type nouveau ? J'ai pour ce faire dégagé sept pistes : détruire la liberté ; appauvrir la langue ; abolir la vérité ; supprimer l'histoire ; nier la nature ; propager la haine ; aspirer à l'Empire. Chacun de ces temps est composé de moments particuliers. Pour détruire la liberté, il faut : assurer une surveillance perpétuelle ; ruiner la vie personnelle ; supprimer la solitude ; se réjouir des fêtes obligatoires ; uniformiser l'opinion ; dénoncer le crime par la pensée. Pour appauvrir la langue, il faut : pratiquer une langue nouvelle ; utiliser le double langage ; détruire des mots ; oraliser la langue ; parler une langue unique ; supprimer les classiques. Pour abolir la vérité, il faut : enseigner l'idéologie ; instrumentaliser la presse ; propager de fausses nouvelles ; produire le réel. Pour supprimer l'histoire, il faut : effacer le passé ; réécrire l'histoire ; inventer la mémoire ; détruire les livres ; industrialiser la littérature. Pour nier la nature, il faut : détruire la pulsion de vie ; organiser la frustration sexuelle ; hygiéniser la vie ; procréer médicalement. Pour propager la haine, il faut : se créer un ennemi ; fomenter des guerres ; psychiatriser la pensée critique ; achever le dernier homme. Pour aspirer à l'Empire, il faut : formater les enfants ; administrer l'opposition ; gouverner avec les élites ; asservir grâce au progrès ; dissimuler le pouvoir. Qui dira que nous n'y sommes pas ?
Lu par: Manon
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Quatrième de couverture: Le géographe étudie les effets de la disparition des classes moyennes en France. Leur existence témoignait jusqu'alors de la bonne santé économique du pays et de la justice dans l'accès au travail depuis les Trente Glorieuses. Elle se traduit par la fin du débat démocratique : deux bourgeoisies, l'une de gauche et l'autre de droite, s'affrontent dans les urnes désertées par les classes populaires. ©Electre 2018
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Quatrième de couverture: Le Palais fédéral est une jungle. Une jungle dominée par quatre espèces : les élus, les fonctionnaires, les journalistes, et les lobbyistes. Dans les couloirs du Palais, ce petit monde se fréquente intensément, se parle beaucoup, et s’écoute un peu. Ou pas. On se tutoie, on boit des verres, on s’embrasse. Et plus, si entente. Parfois même sans entente. Bref, c’est un vaudeville en vase clos, voire à huis clos : les lobbyistes conseillent des élus qui font des lois dont parlent les journalistes dans des articles que lisent les fonctionnaires. En bougonnant. Car, en général, les fonctionnaires n’aiment ni les journalistes, ni les lobbyistes, et encore moins les parlementaires : derrière son apparente obséquiosité, l’administration n’oublie jamais qu’elle seule comprend vraiment les lois, et que c’est elle qui commande, au final. Bien que les fonctionnaires ne puissent rien faire sans des élus qui existent grâce aux journalistes et aux lobbyistes. Qui, eux, se nourrissent de la jungle. Et ainsi de suite. Bref, c’est un ménage à quatre légèrement incestueux, avec ses petits secrets, ses querelles, ses coups bas… mais qui finit toujours par s’entendre. En général. Car tout n’est pas toujours si simple : parfois, des politiciens français s’en mêlent…
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Quatrième de couverture: A la fin du XIXe siècle, le baron Pierre de Coubertin s'inspire du modèle universitaire britannique pour promouvoir en France les vertus du sport. Son objectif est double. D'abord, il aspire à prémunir la jeunesse contre l'oisiveté, le sexe et la pensée socialiste. D'autre part, il veut remettre au goût du jour les jeux Olympiques de la Grèce antique, exaltant la compétition comme moyen de réunir tous les quatre ans des hommes de toutes nationalités. D'abord vitrine du colonialisme, les Jeux seront délibérément instrumentalisés par les pouvoirs politiques - la triste édition de Berlin 1936 en est l'exemple le plus éloquent. Le Comité international olympique, pour assurer d'abord sa survie puis sa prospérité, a confié ses intérêts aux entreprises privées et aux chaînes de télévision, afin d'offrir aux spectateurs une image idéalisée de la mondialisation néolibérale. Le sacrifice quadriennal des athlètes sur l'autel de l'olympisme est absolu : dopage, concurrence effrénée, publicité, entraînements intensifs, pressions psychologiques - réalité masquée par un discours pacifique et généreux. A la veille des Jeux de Pékin, le propos d'Olivier Villepreux est clair : il est temps d'en finir avec le CIO, autorité supra-nationale illégitime, et avec les jeux Olympiques, spectacle mensonger de "l'amitié entre les peuples".