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Les ados sont insupportables, lourds, menteurs, violents... mais ce sont nos enfants !

Résumé
Un guide montrant que la plupart des problèmes de l'adolescence sont le fait d'une société d'adultes en perte de repère. Les adolescents sont décrits comme souvent pénibles et irrationnels. S'adressant aux parents dépassés, le livre explique de façon humoristique le fonctionnement de cette tranche d'âge et insiste sur la nécessité de leur laisser de la liberté et de l'espace.
Genre littéraire: Psychologie/médecine
Durée: 4h. 3min.
Édition: Paris, Michalon, 2009
Numéro du livre: 37305
ISBN: 9782841864850
Collection(s): Essai

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Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 73794
Résumé:Les auteurs, pédopsychiatres, étudient le cas des enfants tyrans, des jeunes qui n'hésitent pas à utiliser la violence physique, la menace ou le chantage pour obtenir ce qu'ils souhaitent. Se fondant sur des cas pratiques, ils livrent leurs réflexions pour restaurer la valeur éducative de l'autorité et redéfinissent la place de l'enfant dans la famille.
Lu par : Nathalie Hue
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Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 65363
Résumé:Anxiété, manque d'estime de soi, faible persévérance face à la difficulté... Les élèves peinent à s'épanouir dans une école qui se focalise sur les seules aptitudes intellectuelles. Or, à l'adolescence, où les émotions, les relations et les décisions se complexifient, il est impératif d'aider un jeune à relever les défis qui se posent à lui. Comment évaluer ses forces et ses faiblesses ? L'aider à gérer ses émotions ? A faire des choix responsables ? A tisser des relations saines ? Les ados ont besoin que les adultes leur donnent les clés pour répondre à ces questions. Dans cet ouvrage, Nathalie Anton présente les apprentissages socio-émotionnels essentiels à acquérir et à développer à l'école et à la maison. Empathie, émotions, autonomie... Ces compétences, qui se trouvent au coeur de l'approche éducative expérimentée outre-Atlantique, sont celles qui permettront à nos adolescents de devenir des individus responsables, épanouis dans leur scolarité comme dans leur vie.
Lu par : Myriam Danard
Durée : 3h. 57min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
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Résumé:"Dans mes livres précédents, je me suis toujours appuyé sur mes rencontres cliniques pour comprendre le fonctionnement des enfants et des adolescents avec leur famille. Cette fois, accompagnez-moi dons ma propre histoire : celle de ma relation avec mon unique et extravagante grand-mère. Le grand-père imaginaire que je suis pour l'instant, et qui est aussi pédopsychiatre, met en scène des situations qui pourraient survenir dans la vie de tous les petits-enfants : le divorce des parents, les disparitions, la confidence d'une transgression, la transmission si essentielle de l'histoire familiale... Surtout, en leur écrivant ces lettres, je m'engage, je leur réponds, et je leur fais des propositions, ainsi qu'à leurs parents".
Durée : 4h. 52min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
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Résumé:En pédopsychiatrie, la question des difficultés scolaires constitue un motif fréquent de consultation. Troubles des apprentissages, décrochage, phobie scolaires, précocité intellectuelle, question des notes et du redoublement, orientation... Pour les parents d'aujourd'hui, l'école est un sujet prioritaire. Ils attendent d'elle que leurs enfants s'y épanouissent et y réussissent, avant d'en sortir avec un diplôme. L'école actuelle atteint-elle ces objectifs ? Marcel Rufo nous parle de ses points faibles pour proposer d'y remédier. Quelle aide peut apporter une consultation en pédopsychiatrie pour répondre aux difficultés scolaires ?
Lu par : Nadine Maugie
Durée : 3h. 36min.
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Numéro du livre : 30942
Résumé:Les conséquences de la crise sont analysées du point de vue du développement de l'adolescent. Dans cette période qui favorise la dépendance des jeunes et le pessimisme, le psychiatre rappelle que l'adolescent doit se développer dans trois domaines essentiels : le corps, les compétences et la sociabilité. Il présente l'espoir comme une valeur fondamentale à transmettre à ses enfants.
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Numéro du livre : 71826
Résumé:"C'est à nous, et à nous seuls, qu'il revient de réfléchir, d'analyser et de prendre des risques pour rester libres. Libres de nous engager et d'être ce que nous voulons. C'est à nous, et à personne d'autre, qu'il revient de trouver les mots, de les prononcer, de les écrire avec force, pour couvrir le son des couteaux sous nos gorges. A nous de rire, de dessiner, d'aimer, de jouir de nos libertés, de vivre la tête haute, face à des fanatiques qui voudraient nous imposer leur monde de névroses et de frustration - en coproduction avec des universitaires gavés de communautarisme anglo-saxon et des intellectuels qui sont les héritiers de ceux qui ont soutenu parmi les pires dictateurs du XXe siècle, de Staline à Pol Pot". Ainsi plaide Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo, lors du procès des attentats de janvier 2015. Procès intellectuel, procès historique, au cours duquel l'auteur retrace, avec puissance, le cheminement souterrain et idéologique du Mal. Chaque mot pèse. Chaque mot frappe. Ou apporte la douceur, évoquant les noms des disparus, des amis, leurs plumes, leurs pinceaux, leur distance ironique et tendre. Bien plus qu'une plaidoirie, un éloge de la vie libre, joyeuse et éclairée.
Lu par :
Durée : 3h. 54min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
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Résumé:A l'occasion de la réouverture du musée de la Marine en octobre 2023, l'auteur évoque l'histoire maritime, des grands explorateurs tels que Bougainville, Cook et Lapérouse aux légendes des corsaires, en passant par l'invention de la carte marine et les plus célèbres batailles navales.
Durée : 3h. 48min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
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Résumé:"C'est l'histoire de petits lynchages ordinaires, qui finissent par envahir notre intimité, assigner nos identités, et censurer nos échanges démocratiques. Une peste de la sensibilité. Chaque jour, un groupe, une minorité, un individu érigé en représentant d'une cause, exige, menace, et fait plier. Au Canada, des étudiants exigent la suppression d'un cours de yoga pour ne pas risquer de "s'approprier" la culture indienne. Aux Etats-Unis, la chasse aux sorcière traque les menus asiatiques dans les cantines et l'enseignement des grandes oeuvres classiques, jugées choquantes et normatives, de Flaubert à Dostoïevski. Des étudiants s'offusquent à la moindre contradiction, qu'ils considèrent comme des "micros-agression" , au point d'exiger des "safe space". Où l'on apprend en réalité à fuir l'altérité et le débat. Selon l'origine géographique ou sociale, selon le genre et la couleur de peau, selon son histoire personnelle, la parole est confisquée. Une intimidation qui va jusqu'à la suppression d'aides à la création et au renvoi de professeurs. La France croyait résister à cette injonction, mais là aussi, des groupes tentent d'interdire des expositions ou des pièces de théâtre... souvent antiracistes ! La police de la culture tourne à la police de la pensée. Le procès en "offense" s'est ainsi répandu de façon fulgurante. "L'appropriation culturelle" est le nouveau blasphème qui ne connaît qu'une religion : celle des "origines"." C. F. Sans jamais vouloir revenir à l'ancien temps, Caroline Fourest trace ici une voie authentiquement féministe et antiraciste, universaliste, qui permet de distinguer le pillage de l'hommage culturel.
Durée : 8h. 40min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 34138
Résumé:A force d'être invoquée, la laïcité se brouille. Un vrai champ de bataille. Dans cet essai précis pédagogique et vivant, Caroline Fourest distingue trois laïcité en guerre. La laïcité tout court, fruit du compromis de 1905. Et deux tentations qui cherchent à la renégocier. La première dans un sens multiculturaliste, anglo-saxon et dit « ouvert », au risque des accommodements déraisonnables, d'une « liberté religieuse » envahissante, et de faciliter la montée des intégrismes. L'autre tentation relève du monoculturalisme, normatif, identitaire, replié, à géométrie variable, flattant l'identité et les passe-droits quand il s'agit de parler au nom de l'identité chrétienne et l'exclusion voire la discrimination quand il s'agit d'Islam. Ecartelée entre les deux, la laïcité tout court, sans adjectif, est elle-même tiraillée par un nouveau contexte, qui n'est plus celui de 1905, et peut aller d'une vision équilibrée à une vision plus exigente. Caroline Fourest défend ici une vision équilibrée de la laïcité mais sans concessions envers ceux qui cherchent à l'affaiblir. Elle pose les bases d'un compromis et d'une séparation revivifiés. Un équilibre fait de distinction claire entre l'espace public et privé, entre les différentes niveau d'exigences selon qu'il s'agisse d'espace de liberté ou de contrainte, tout en plaidant pour une vigilance de tous les instants envers les propagandes qui voudraient faire passer ce compromis pour de l'intolérance. Cette laïcité n'est ni fermée ni « ouverte «, ni négative ni positive, ni raciste ni « islamophobe ». Mais le fruit d'une ambition et d'un effort qu'il faut poursuivre, notamment à l'école, si l'on veut vraiment protéger la liberté de conscience (dont la liberté de culte), l'émancipation, l'égalité, la fraternité et en un mot, la République.
Durée : 2h. 25min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 73417
Résumé:"Depuis plus d'un siècle, l'extrême-droite agite la peur de l'invasion : celle des Italiens et des Allemands avant 1914, des Polonais et des Yougoslaves avant 1939, des Maghrébins puis de tous les Africains, récemment. Cette panique a pris depuis peu la forme d'une " théorie " du " grand remplacement " . On verra ici que de " théorie " , il n'y en a guère, ni de " grand remplacement " d'ailleurs. Mais une fable efficace, fausse, imagée, travaillant la peur, et dont il faut comprendre la cause. A l'approche de l'élection présidentielle, ce fatras idéologique sert de justification à d'inquiétantes menaces politiques : remigration, dénaturalisation, musellement des médias, interdiction de prénoms non catholiques, suppression des corps intermédiaires accusés d'encourager ce prétendu " remplacement " . On montrera ici, point par point, thème par thème, que tout cela constitue un dangereux mensonge, qui masque et déforme les problèmes parfois graves posés par l'immigration au détriment de réponses sérieuses. Faits et données à l'appui, on verra ainsi que l'immigration et l'étranger occupent en France une place plus modeste que dans la plupart des pays occidentaux".
Lu par : Sophie Berard
Durée : 3h. 52min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 74660
Résumé:L'auteur fait le constat que tandis que le monde extérieur est de plus en plus hostile (terrorisme, Covid-19, guerre en Ukraine), le foyer se transforme en cocon connecté dans lequel tout peut être regardé ou livré sans avoir à prendre le risque de sortir. P. Bruckner s'inquiète des possibilités qu'un tel comportement de repli pourrait entraîner à l'avenir.
Lu par : Manon
Durée : 5h. 34min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 30055
Résumé:« A quoi bon la culture puisque le monde tient désormais en deux catégories : like et unlike ? C'est ainsi qu'on subit jusqu'à la nausée les dénonciations d'Edwy Plenel, les indignations d'Edgar Morin, la nostalgie totalitaire d'Alain Badiou ou les leçons de morale de Cécile Duflot, qui ont au moins un point commun avec Marine le Pen : ils sont « antisystèmes ». Le « système », c'est le mal. Ça ne veut rien dire, mais ça défoule. Le prêt-à-s'indigner médiatique, c'est la trop mince couche de glace sur laquelle titubent nos démocraties modernes. Il alerte sur la disparition des escargots, mais reste indifférent à la résurgence de l'antisémitisme. Qu'il s'agisse de la réintroduction des ours, d'un licenciement à la Poste ou du meurtre de Juifs perpétrés par un djihadiste dans une école, c'est le sociologisme qui, immanquablement, dit le bien et le mal, repris par les rédactions, les chroniqueurs, les humoristes, les parlementaires, sous les yeux de plus en plus indifférents des citoyens désespérés. Les autres points de vue sont insultés, ridiculisés, marginalisés, refoulés aux confins de l'hérésie. On n'a jamais vu dans l'Histoire qu'une telle censure morale des points de vue puisse durer bien longtemps. Face à ce mur derrière lequel agonise le débat démocratique, Malaise dans l'inculture propose la réhabilitation du marteau-piqueur. »