Et Dior créa la femme
Résumé
Un portrait de Christian Dior ? Oui, mais aussi un miroir dans lequel Francis Huster se regarde et regarde les femmes.Dans ce roman vrai et fantasmé à la fois où l'on croise son copain d'enfance Patrick Dewaere, Jean-Louis Barrault ou Jean Marais, le comédien s'est intéressé aux onze dernières années de Christian Dior (1905-1957), celles qui ont vu le succès d'un homme, d'un style et d'une marque. En se racontant au travers de l'histoire de Dior, Francis Huster se raconte lui-même, évoque sa mère couturière, ses souvenirs de théâtre, ses rencontres, ses rêves et le parfum envoutant des années 50.C'est surtout, dans un style très personnel, enthousiaste et inventif, le prétexte d'un éloge de la folie créatrice, de l'excellence française dans ce qu'elle a de plus admirable, de plus élégant.Et bien sûr, avant toute chose, le livre s'affiche comme une déclaration d'amour à celles sans qui Christian ne serait jamais devenu Dior et qui sans Dior, ne seraient pas tout à fait les mêmes : les femmes.
Lu par :
Marie-Rose Fischweiler
Genre littéraire:
Roman : au sens large et aventures
Mots-clés:
Littérature française
/
Récit
/
Durée:
3h. 59min.
Édition:
Paris, Le Cherche Midi, 2012
Numéro du livre:
20048
Produit par:
Ligue Braille Belgique
ISBN:
9782749127972
Documents similaires
Lu par : Marie-Thérèse Chapel
Durée : 3h. 9min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 68975
Résumé:L'amour, la seule raison de vivre éperdument. Ce livre est une lettre d'amour de Francis Huster à la femme qui l'a quitté. Cette saisissante confession, qui oscille entre rires et larmes, ressemble à son auteur : lui qui vit toujours ses rôles avec une même passion nous bouleverse autant qu'il nous choque par son audace impudique. L'acteur se raconte comme on livre un combat où, pour la première fois, il ne serait pas allé jusqu'au bout de lui-même. Puisque la scène est toute sa vie, puisque l'amour est aussi un spectacle, l'auteur remonte sur la scène sentimentale pour parler du couple, de la rupture, de ce que l'on aurait dû faire, de ce que l'on aurait pu dire, et de tout ce qui aurait pu être mais n'a pas été. Homme ou femme, chacun retrouvera une part de lui-même dans cette mise à nu, puisqu'il n'y a pas de point d'interrogation à l'aveu de Francis Huster : " Pourquoi je t'aime. "
Lu par : Manon
Durée : 2h. 49min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 36147
Résumé:Un essai dans lequel l'acteur exhorte le lecteur à se dépasser en affrontant les difficultés et en se donnant les moyens de réaliser ses rêves. "Ne baisse pas la tête, ne t'excuse jamais de ce que tu es. Ne renie pas ta jeunesse, n'étouffe jamais tes émotions. Cesse de critiquer les autres : fais mieux qu'eux. Cesse de convoiter ce que tu n'as pas : donne-toi les moyens de le posséder. Ne refuse pas le malheur : affronte-le et profites-en pour t'aguerrir. Ne contourne pas la difficulté : prends plaisir à la résoudre. N'attends rien des autres : ils finiront par te suivre."
Lu par : Ghislaine Rychner
Durée : 3h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17984
Résumé:La longue histoire d'amour d'une fille pour sa mère. "A 8 heures du matin, ça y est, j'avais accepté. Je me levai, je filai chez ma mère. je m'assis sur une chaise près du lit: "Maman, je lui disais pour la première fois depuis l'enfance: je t'aime. Tu es ma vie. Et comment, si je t'aime. toi qui es ma vie. je pourrais te laisser là dans ce lit, à l'abandon? Je ne le pourrais pas. Ecoute, je veux que tu me donnes l'autorisation d'appeler le docteur. qui appellera l'ambulance, et tu seras dans un hôpital mais tu seras soignée, et je t'aime. Et je te donnerai du courage, je le pourrai. Tu veux bien ?" La seconde inoubliable où je fus suspendue à sa réponse. "Oui à tout", elle avait annoncé. Et plus tard, dans l'ambulance, le sublime sourire retrouvé malgré les souffrances qu'elle endurait: "Sophie. tu me surprends." Grandir, c'est bien après la croissance, on dirait."
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 7h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18919
Résumé:Jean-Paul Clébert a fait de ses vagabondages dans le Paris des années 50 des voyages épiques et sensibles. Compagnon de Doisneau, clochard, il nous promène au hasard de ses besoins (dormir... manger... faire l'amour), de ses rencontres et de ses mille petits boulots. Paris insolite est le journal de bord de ces traversées, dans une ville qui " change de peau tous les jours ". Claque littéraire hors norme, ce livre est accompagné de 115 photographies de Patrice Molinard, qui n'avaient connu qu'une édition, il y a 50 ans.
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 32min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17709
Résumé:Bakou, quelle idée baroque. Quelle villégiature improbable que cette capitale bétonnée d'une république de pipelines aux confins de l'ex-Empire soviétique... En 2003, Olivier Rolin y avait fait escale par hasard. En transit dans une chambre de l'hôtel Apsheron - nom si proche de l'Acheron, le fleuve grec des morts -, il y avait imaginé sa propre fin. L'écrivain revient cette fois hanter la ville, tenter le diable, rôder derrière des fantômes.
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 2h. 32min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20370
Résumé:Peut-on aimer deux personnes à la fois ? La question est si simple et la réponse inévitablement si compliquée. Surtout lorsqu'elle n'est pas formulée par celui qui a doublement aimé mais par l'un de ceux qui devaient se contenter de la moitié d'un amour. Les quelques jours de ce voyage en Italie racontent ce qu'a vécu un homme qui n'était plus aimé qu'à moitié.
Lu par : Geneviève Roy
Durée : 57min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15466
Résumé:Rédiger un roman avec son fils atteint d'une leucémie, c'est le projet mené à terme par Shafique Keshavjee et Simon son fils, décédé deux jours après la publication de Philou et les facteurs du ciel. Les enseignants et les camarades de classe de Simon l'ont accompagné pendant sa maladie. Ils ont été aussi les premiers lecteurs du livre, retrouvant dans le personnage de Philou, un camarade dont ils n'ont pas encore fait le deuil.
Lu par : Jean Frey
Durée : 5h. 58min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15925
Résumé:En exergue de la préface de L'Orient après l'amour, une citation du conteur Rabbi Nahman - " Plus les temps seront durs, plus notre rire sera fort " - donne la mesure d'une épopée littéraire à taille humaine. Enfant algérien qui n'a pas " connu d'aubes ", Mohamed Kacimi entraîne le lecteur au rebours d'un itinéraire que ponctuent, entre autres, l'indépendance algérienne, le " redressement révolutionnaire " de Boumédiène en 65, la première guerre du Golfe et le conflit israélo-palestinien. De son enfance hantée par le charisme d'un grand-père cheikh et la " psalmodie incessante du verbe coranique ", de ses différents reportages à travers l'Orient pour la presse française (Actuel, Le Monde), ainsi que des nombreuses représentations de Terre sainte ou de 1962, ne résulte qu'un " constat amer ".
Lu par : Frédéric Pajak
Durée : 2h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15932
Résumé:Lui à la plume, elle au fusain: Frédéric Pajak et Lea Lund racontent un quart de siècle de vie amoureuse. Un étrange voyage. C'est peu dire qu'ils ne se ressemblent pas: «Elle aime la musique, j'aime la lecture. Elle aime bouger, j'aime rester vissé sur une chaise. Elle aime sortir, j'aime rentrer, etc.» Mais, au-delà des considérations sur le lent délitement d'un couple, comme toujours avec Pajak, c'est l'art de la digression qui fait tout le charme de l'ouvrage. On passe ainsi de la vie désespérante de Paul Lafargue - gendre de Marx qui perdra ses trois enfants avant de se suicider avec son épouse en banlieue parisienne - aux conquêtes italiennes de Stendhal, d'un aphorisme déroutant de Karl Kraus - «L'Egypte, ça ne serait pas tellement loin. Mais pour arriver jusqu'à la gare»... - aux charmes des Abruzzes hors saison. Bref, un réjouissant coq-à-l'âne, rehaussé par les dessins décalés de Lea Lund - la pyramide du Louvre pour illustrer la haine de Paris nourrie par Stendhal...
Lu par : Manon
Durée : 3h. 58min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 37213
Résumé:Dans une petite ville du Moyen-Orient, Saïd et Nadia se sentent oppressés par les militants qui s'emparent du pouvoir. Ils décident de fuir et se rendent à Mykonos. Sur place, ils sont confrontés à l'affluence des immigrés et ne trouvent pas leur place à cause des politiques migratoires de plus en plus rudes. Ils s'échappent alors vers la Californie et se demandent si leur amour survivra.
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18261
Résumé:Maurice Blanchot fait paraître pour la première fois en 1948 L'Arrêt de mort, titre qui rappelle que la mort est irrémédiable, mais qui aussi défie la mort en suggérant qu'on puisse y mettre terme. Dans ce roman s'articulent deux récits, deux portraits de femme, l'un autour de J. (qui se passe en 1938), l'autre autour de N. (1940). Deux récits dont une première lecture ne peut véritablement saisir l'analogie, mais qui, à la relecture, s'éclairent et évoquent la mince peau qui sépare vie et mort, mort et vie. On trouve dans le roman des réminiscences de Nadja de Breton et d'Aurélien d'Aragon, mais fondues dans une écriture qui, condensée, s'ouvre et se ferme sur son propre secret.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 7h. 56min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17766
Résumé:De la mère aux épouses et aux amantes, toute l'oeuvre d'Ellroy procède du féminin et trouve sa source dans cet héritage maternel : l'obsession. En six mouvements d'une tumultueuse symphonie, James Ellroy revisite les moments clés de ses relations avec les femmes qui ont compté dans sa vie, à commencer par la première d'entre toutes : Geneva Hilliker Ellroy, objet d'une "malédiction" que son fils lança contre elle, enfant, souhaitant la voir morte. Après Ma part d'ombre et la vaine traque de l'assassin de sa mère, Ellroy entreprend une autre forme d'exorcisme : annuler cette malédiction à travers la quête des autres femmes, passer de "Elle" à "Elles". Les femmes comme cristallisation du désir, objets de fantasmes libérateurs ou destructeurs, sources d'influence ou d'inspiration littéraire, sont au centre de ce récit dans lequel Ellroy se raconte avec une féroce absence de complaisance, qui prend parfois l'allure d'une poignante confession. Mélange de rigueur, de mysticisme et de sexualité, ce livre, à la forme dépouillée et au contenu électrique, rassemble toutes les fulgurances et les faiblesses d'un homme hors du commun. C'est aussi un indispensable mode d'emploi littéraire pour qui s'intéresse à l'oeuvre d'Ellroy.