Contenu

En souvenir d'André: roman

Résumé
Le narrateur a été l'un des premiers médecins, dans un pays européen non précisé, à assister les personnes qui demandaient à mourir - clandestinement d'abord, puis plus ouvertement, à mesure qu'une certaine tolérance s'installait et que les lois s'adaptaient à la situation. Après avoir maîtrisé les techniques qui permettent aux hommes et aux femmes de quitter la vie sans souffrance et sans angoisse, il a découvert, au gré de son histoire personnelle, que cette assistance technique ne suffisait pas. Que l'accompagnement d'une personne qui a décidé de mettre fin à ses jours passe par une démarche personnelle plus profonde. Et que cet accompagnement, d'autres que les médecins peuvent l'assurer. Au moment où lui-même se retrouve en fin d'évolution d'une maladie mortelle, le narrateur raconte son histoire - et livre pour la première fois son secret - à un interlocuteur invisible et silencieux, choisi pour des raisons qui seront révélées à la toute fin du récit.
Durée: 3h. 28min.
Édition: Paris, POL, 2012
Numéro du livre: 19073
ISBN: 9782818016923

Documents similaires

Durée:3h. 31min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:13567
Résumé: Quatrième de couverture : " Bravant les lois et les moeurs, une mère apporta à son fils souffrant et incurable la mort qu'il désirait ardemment. Tragédie moderne à l'extrême, l'événement bouleversa la France, marqua le temps, imposa une réflexion et fit évoluer notre législation. Raconté au plus juste, voici le récit du médecin qui, surmontant ses doutes, accomplit, après Marie Humbert, le geste ultime et libérateur.
Durée:3h. 36min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:13371
Résumé: « Pourquoi les médecins se sont-ils acharnés sur moi pour me maintenir en vie ? De quel droit ? [..] Dans mon cas, me faire vivre, forcer le destin pour me sauver à tout prix et faire de moi ce que je suis désormais était une connerie. » En décembre 2002, Vincent Humbert, jeune tétraplégique, aveugle et muet, sollicite du président de là République le droit de mourir, qui lui est refusé. Cloué sur son lit d'hôpital, conscient de l'immense chagrin qu'il cause à ses proches et particulièrément à sa mère, Marie, qui veille sur lui sans relâche, Vincent n'attend qu'une chose : la délivrance qui mettra un terme à son supplice. Son cri à la mort et ses confidences déchirantes ont relancé le débat sur l'euthanasie. La justice peut-elle refuser une mort digne à ceux que la vie a abandonnés?
Durée:6h. 8min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:30873
Résumé: "Maintenant que j'accompagne leur dernière nuit, je me sens travaillé de remords pour mes reproches, mes irritations, nies duretés. Si j'avais su, je me serais efforcé d'adoucir simplement leur fin de vie, je me serais appliqué à en faire ce qu'aurait dû en faire l'imagination d'une affection bien sentie. Si j'avais su... Mais justement, je savais ! Là se concentre la cruauté infligée à celui qui, contre nature, connaît le jour et l'heure". La veille de l'euthanasie programmée par sa mère et son père, un homme s'installe dans sa chambre d'enfant. Durant la nuit, il écrit pour tenter de comprendre les raisons de ce geste : délivrance pour ceux qui vont partir, ruais violence inouïe pour ceux qui demeurent. Que dire à ses parents, comment leur exprimer une affection alors que le temps est compté, que la douloureuse histoire familiale refait surface ? Faut-il revenir sur les rapports difficiles des uns et des autres, sur le manque de communication ? Dans ce roman sincère et juste, Pierre Béguin raconte une situation limite. Le fil des événements va profondément changer le regard qu'il a porté jusque-là sur sa famille, et sur un passé qui n'a pas dit son dernier mot...
Lu par:Sejourné
Durée:8h. 8min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:22623
Résumé: "(...) Nous ne voulons pas que d'autres décident à notre place du moment et de la manière dont nous allons mourir. Quoi de plus légitime dans un monde ou l'on meurt le plus souvent à l'hôpital, dans l'anonymat et la froideur technique, entouré d'un personnel auquel on fait peur et que l'on embarrasse ? (...) Parce que nous désirons rester "sujet" de notre mort, nous voulons qu'elle se passe dans de bonnes conditions. (...) Alors pourquoi ne pas regarder ses peurs en face ? (...) Sortir du déni et du silence sur la mort ? Se donner les moyens de soulager efficacement les douleurs des maladies terminales, réinventer un rituel de fin de vie ?"
Durée:4h. 26min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:30017
Résumé: Frères jumeaux, Damien et Nicolas Delmer luttent depuis l'enfance contre la mucoviscidose, maladie génétique incurable et dégénérative. On leur avait dit qu'ils ne vivraient pas plus de dix-sept ans : ils en ont aujourd'hui trente-cinq. Malgré la souffrance et la fragilité de leurs corps amaigris, ces deux amoureux de la vie se battent pour continuer à profiter de l'existence : peindre, écrire, se baigner, et même sauter en parachute. Mais quand le quotidien devient insoutenable, la perspective de mourir dans des conditions indignes les révolte. Faute de greffes, ils risquent de partir étouffés, asphyxiés. Pour vivre pleinement, Damien et Nicolas demandent juste à ce que la loi leur permette de mourir en paix. S'ils n'obtiennent pas ce droit et que l'un des deux se retrouve dans une situation extrême, ils n'hésiteront pas à s'aider. Un pacte entre frères, unis jusqu'au dernier souffle.
Lu par:Jean Frey
Durée:13h. 22min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:39501
Résumé: Trois débats nous obsèdent : autour du genre, des droits de l’animal, de l’euthanasie. Et trois disciplines politiquement correctes traitent désormais de ces questions dans le monde universitaire : gender studies, animal studies, bioéthique. Cependant, lorsqu’on lit les textes des fondateurs de ces disciplines, John Money, Judith Butler, Peter Singer, Donna Haraway et quelques autres, on s’aperçoit que, derrière les bons sentiments affichés, se font jour des conséquences absurdes sinon abjectes. Si le genre n’est pas lié au sexe, pourquoi ne pas en changer tous les matins ? Si le corps est à la disposition de notre conscience, pourquoi ne pas le modifier à l’infini ? S’il n’y a pas de différence entre animaux et humains, pourquoi ne pas faire des expériences scientifiques sur les comateux plutôt que sur les animaux ? Pourquoi ne pas avoir de relations sexuelles avec son chien ? S’il est des vies dignes d’être vécues et d’autres qui ne le sont pas, pourquoi ne pas liquider les « infirmes », y compris les enfants « défectueux » ? Pourquoi ne pas nationaliser les organes des quasi-morts au profit d’humains plus prometteurs ? Jean-François Braunstein a mené un travail considérable et novateur : il a lu les milliers de pages de ces penseurs célébrés dans le monde occidental ; il revient sur leurs idées, leurs contradictions, leur parcours personnel ; il analyse, souligne, contredit, déconstruit. L’erreur consiste à vouloir « effacer les limites » : entre les sexes, entre les animaux et les humains, entre les vivants et les morts. Il convient, au contraire, d’affronter ces limites qui nous constituent. Oui, parfois la philosophie devient folle, quand elle oublie l’homme.
Durée:3h. 12min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:67153
Résumé: Ne vous inquiétez pas, poursuivit la jeune femme. Je vous dirai tout. D'ailleurs, je cherche des alliés. Des alliés pour le crime? osa Stavrakas...
Durée:13h. 29min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:68198
Résumé: À quoi sert la douleur ? Pourquoi notre corps nous fait-il mal – parfois sans raison intelligible ? Pourquoi peut-il être si difficile de faire entendre qu’on souffre ? Sans toujours parvenir à être soulagé. Ces questions, tout le monde se les pose. Mais aujourd’hui, en France, il n’est pas toujours possible d’y trouver réponse. La douleur est un domaine immense et complexe : ses mécanismes varient selon qu’il s’agit d’une douleur utile, passagère, ou chronique et invalidante. Il en va de même pour ses nombreux traitements (médicamenteux et autres) : il est parfois difficile de distinguer leurs effets, leurs limites, et les mythes qui les entourent. Enfin, la douleur est intime et propre à chaque individu. D’où l’importance de faire le point sur la douleur, ses fonctions, ses remèdes, mais aussi sur ce qu’on n’aborde jamais ou presque : les préjugés, les inégalités, les insuffisances, les brutalités. Rédigé par deux médecins formés à l’écoute des patient·e·s, ce livre plaide pour une prise en compte de la douleur dans toutes ses dimensions : physique, psychique, sociale, familiale et intime. Il a été écrit pour les personnes qui souffrent, celles qui les entourent et celles qui les soignent – car comprendre la douleur est le premier pas pour s’en libérer.
Durée:10h. 19min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:71019
Résumé: Martin Winckler est un médecin reconnu, un écrivain, un militant. Dix ans après le succès du roman Le Chœur des femmes, il décide d’écrire un essai décomplexé et décomplexant : C'est mon corps. Ce livre s'adresse à toutes les femmes, peu importe leur âge, leur éducation, leur origine, leur orientation. À travers une dizaine de chapitres thématiques, l'auteur a répondu aux questions qu’elles se posent ou se sont posées sur leur corps, à tout âge, et qui reviennent régulièrement sur son site dédié à la santé des femmes ; il propose en outre, pour chaque sujet, une liste de romans, sites ou films pour en savoir plus. La banalisation du fonctionnement du corps féminin (menstruations, ménopause, etc.) permet d'ouvrir la discussion entre amis, en couple, chez son médecin. Il permet surtout de se rassurer soi-même, de découvrir d'autres possibilités, et peut-être – ou surtout – d'accepter enfin que ce que nous vivons toutes est normal.
Lu par:Henri Duboule
Durée:21h. 44min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14031
Résumé: Les Trois Médecins (qui s'intitulait originellement La Formation de Sachs) raconte les sept années d'études de Bruno Sachs en reprenant la trame d'un des romans d'aventures, d'amour et de formation les plus célèbres de l'histoire de la littérature mondiale : Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas.
Durée:2h. 51min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:31024
Résumé: Quelques-uns des droits du sériephile (en hommage à Daniel Pennac dans Comme un roman ) : Le droit de regarder des séries de toutes natures (et pas seulement celles que « les intellectuels » ou les « spécialistes » trouvent réussies). Le droit de regarder une série quand on veut, comme on veut, où l'on veut et à l'abri de toute censure. Le droit de regarder sans être jugé ou méprisé. Le droit de démarrer une série au quart de tour et puis de décrocher ; le droit de prendre une série en route après avoir longtemps reculé ou hésité. Le droit d'aimer (ou de détester) sans devoir se justifier. Écrites, tournées et diffusées en léger différé avec leur époque, les séries télévisées, tout comme le théâtre, la littérature, le cinéma et la bande dessinée, portent un regard sur le monde, encore plus contemporain, encore plus incisif : les meilleures séries sont des témoins stimulants de l'état du monde. Elles sont souvent audacieuses dans leur construction et leur propos volontiers impertinent, acide. Dans des séries anciennes, on peut ainsi se rappeler le badinage sexuel d'Emma Peel et John Steed dans Chapeau Melon et bottes de cuir ; la révolte métaphysique du n°6 face au lavage de cerveau politique dans Le Prisonnier ; les jeux subliminaux autour de l'imagerie gay des Mystères de l'Ouest ; la satire de la guerre froide dans Agents très spéciaux ; la description de la noirceur de l'humanité et de ses dilemmes dans La Quatrième Dimension et Star Trek). Des séries récentes comme Urgences et House, M.D. soulignent sans relâche les dilemmes éthiques et les conflits de pouvoirs suscités par les progrès de la technologie du soin, la surenchère biomédicale, les inégalités d'accès et le rôle des structures et professionnels de santé.
Lu par:Michel Fleury
Durée:9h. 47min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:22717
Résumé: Eté 2006. Pilote d'hélicoptère et mercenaire en Afrique, Eddie Dante convoie une cargaison précieuse dont il ignore la nature. Lorsque son hélicoptère s'écrase, il n'est que blessé, mais les secours envoyés pour récupérer la cargaison l'abandonnent au milieu de nulle part. Recueilli dans une mine où agonisent des centaines de personnes, il découvre que ses propres employeurs ne sont pas étrangers à l'existence de ce mouroir. Il tente de retourner en Europe pour révéler à la presse ce qu'il a vu. Mais les organisateurs de ce massacre médical lancent des tueurs à sa poursuite... Septembre 2007. La multinationale WOPharma organise un grand congrès de «prospective thérapeutique» auquel sont conviés une centaine d'éminents scientifiques du monde entier. WOPharma a l'intention, à l'occasion d'une conférence de presse de grande ampleur, d'annoncer un progrès thérapeutique majeur qui, dit-elle, «libérera des millions de patients des chaînes de la maladie»... Pour accueillir ce congrès hors norme, les communicants de WOPharma ont choisi un lieu inhabituel, niais extrêmement télégénique... Le village-hôtel de Portmeirion, au pays de Galles, qui servit de décor à la série télévisée Le Prisonnier. Et, justement, toutes les caméras du monde seront braquées sur le village car, à l'automne 2007, les fans du monde entier y fêtent le 40e anniversaire de la diffusion de la série...