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Recherche par mot-clé: RÉCIT

376 résultats. Page 5 sur 19.

Lu par : Thierry Glon
Durée : 7h. 13min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 70251
Résumé:Oeuvre atypique, cet ouvrage mêle faits historiques, souvenirs personnels, réflexions morales et fiction. Au fil de ces trois nouvelles, Vigny propose une méditation sur les vicissitudes de la vie militaire qui font du soldat, empreint du sens de l'honneur, un "paria" de la société au même titre que le poète.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 4h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 69635
Résumé:Un sens perdu : quand on perd un sens, est-ce qu'on perd aussi le sens de la vie ?Ou à la manière de poissons abyssaux, on accède à d'autres sens, inconnus de nos congénères ?
Lu par : Florence Dagany
Durée : 1h. 50min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 69932
Résumé:" Quelle horreur d'être jeune dans ce coin ! " Ces petits villages qui disparaissent de la carte une fois la nuit tombée sont bien jolis mais inhabitables pour ceux qui n'y ont jamais mis les pieds. Pourtant, l'auteure et ses amis d'enfance ont su en faire leurs terrains de jeux et d'apprentissage. Entre le stade, l'école, l'unique boutique, la salle polyvalente et l'église, il semble possible de grandir heureux dans l'ignorance la plus totale des grandes villes.
Durée : 7h. 57min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 69414
Résumé:Il y a ce cou, qui a manqué d'être étranglé par un violeur en Ecosse. Il y a ces poumons, qui ont cessé leur oeuvre quelques instants dans-l'eau glacée. Il y a ce ventre, meurtri par les traumatismes de l'accouchement. Dix-sept petites morts. Dix-sept résurrections. Je suis, je suis, je suis. I am, I am, lam. De ces dix-sept instants où elle a frôlé la mort, Maggie O'Farrell fait une oeuvre à part, poétique et intense, une oeuvre qui nous parle tout à la fois de féminisme, de maternité, de violence, de peur et d'amour.
Durée : 2h. 8min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 69405
Résumé:Le fil de ce récit déroule l'histoire d'une rencontre entre une jeune femme, l'art de Piero della Francesca et un peintre d'aujourd'hui, qui s'appelle lui aussi Piero - un homme aperçu pour la première fois dans un café, au détour d'une place, à Rome. Cette vie à trois devient vite une danse si enivrante, sous la chaleur antique de l'Italie, que souvent l'on ne sait plus au bras de qui l'on danse. "C'est comme l'univers, on ne peut pas dire je le connais. Mais il habite à tel point les nuits et les jours, colore les heures même de repos, s'insinue dans tous les regards jetés, s'immisce dans tous les traits vus, au point qu'un soir, cela devient envahissant, doit naître, et ne cesse plus d'avoir un lieu en moi".
Durée : 22h. 41min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 69742
Résumé:« La Seine est le fleuve sur le bord duquel j'aurai passé l'essentiel de ma vie. Je me suis aperçu très tard que cette mince coulée grise et verte formait le centre d'un territoire, réel et imaginaire, dont je n'avais cessé de vouloir déchiffrer le secret. » Comment raconter un fleuve ? Comment dire ses boucles, ses méandres, les villes qui le bordent, les ponts, les ports, les entrepôts ? Comment dire les générations qui l'ont façonné, ont bâti ses rives, ont cultivé ses terres ? Dans L'Or du temps, François Sureau part de la source et descend, chapitre après chapitre, vers l'embouchure. Il s'arrête avec pour seule nécessité le rêve et le souvenir. Ses haltes se transforment ainsi en autant de récits. De la géographie surgit l'Histoire, la grande, mais aussi la plus intime. Vies héroïques, riches heures d'écrivains et de peintres égarés, moments mystiques, secrets conciliabules, digressions impromptues sur le droit, la politique, l'anarchie, la diplomatie. De la source à Troyes de Samois à Évry, Bercy, Paris... François Sureau avance de proche en proche, et forme peu à peu un livre unique, étonnant, libre, où s'entrecroisent tous les grands thèmes qui le fondent.
Lu par : André Cortessis
Durée : 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 69179
Résumé:Quelle voix donner à la douleur ? Quelle voix donner à cet invisible qui met le corps au supplice, qui transforme les nuits et les jours en un brasier immense, consumant toute force, toute envie ? Du cri jusqu'au murmure, dans l'urgence d'une respiration nouvelle, l'auteur lui donne ici une voix dont l'écho fait battre le coeur : celle de l'espoir.
Durée : 1h. 51min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 69177
Résumé:Le récit d'une enfance de ramures et de sous-bois, nourrie de personnages savoureux et de découvertes. Une initiation naturaliste à la poésie, quand la vie émerveille, interroge et nous émeut.
Durée : 6h. 37min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69167
Résumé:«Ceci n'est pas un essai sur le Congo. Cinq longs séjours, à l'invitation d'une ONG, ne permettent pas d'écrire sur un pays. Ce n'est pas non plus un récit de voyage. Alors quoi? C'est assurément un livre sur les filles des rues que j'ai rencontrées à Pointe-Noire et Brazzaville, dont j'ai voulu décrire la force et les blessures. Mineures n'ayant pas d'autres ressources que la prostitution, souvent orphelines et déjà mères, elles se métamorphosent dès la nuit tombée pour "faire la vie". Mais peut-être est-ce aussi un livre sur ce monde qui est le leur, avec sa misère et ses mystères, et sur ce qu'il a déplacé en moi...» .
Lu par : Clélia Strambo
Durée : 6h. 25min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 69159
Résumé:Récit dense et léger par la grâce de l'ironie, Une Thèse pour rien évoque la " curieuse entreprise qui pousse certains au terme d'études universitaires à briguer le titre somme toute bien dérisoire de docteur ". Le hasard a voulu que Luc Weibel se lance dans cette aventure dans une période marquée par la contestation des années 1968-1970. Il se voit confronté à une contradiction fondamentale : s'engager dans une recherche érudite alors que le monde crie " à bas l'Université ! à bas le Savoir ! " Quittant Genève pour l'Italie, l'Allemagne et bientôt Paris, l'auteur découvre le structuralisme, assiste aux cours de Michel Foucault, de Gilles Deleuze et, surtout, rencontre Roland Barthes. Il nous invite ainsi à un parcours intellectuel mouvementé, chaotique, parfois incertain mais toujours passionné.
Lu par : Dominique Daniel
Durée : 3h. 10min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 69493
Résumé:"Cela faisait plus de cinquante ans que je n'étais pas revenu en Algérie où j'étais né, d'où nous étions partis sans rien. J'avais si souvent répété que je n'y retournerais jamais. Et puis une occasion s'est présentée : un festival de cinéma méditerranéen auquel j'étais invité comme juré à Annaba, une ville de l'Est algérien, ma région d'origine. J'ai pris l'avion, j'ai participé au festival, je m'y suis senti bien, j'ai eu l'impression d'une fraternité nouvelle avec eux tous. Mais au moment où, le festival fini, je m'apprêtais à prendre la route des Aurès pour revoir la ville de mon enfance, un événement est survenu, qui a tout arrêté, tout bouleversé. C'est le récit de ce retour cassé que je fais ici". Jean-Noël Pancrazi.
Lu par : André Cortessis
Durée : 1h. 28min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 69079
Résumé:Le Grand Manitou était malheureux, tourmenté par une idée fixe...
Durée : 2h. 39min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 68880
Résumé:La petite Emma est une enfant de chez nous dont le destin bouleversant vous éclate en pleine figure. Ce scandale, jusqu’ici tamisé par une lumière administrative peu coopérative, nous est révélé dans une simplicité brutale et presque déconcertante. La petite Emma devient le porte-parole de dizaines, de centaines d’enfants voués à l’abandon au début de ce siècle, en Suisse. A nous de savoir aujourd’hui l’écouter, pour qu’un peu de sa dignité lui soit, tardivement, restituée, mais également pour qu’on ne puisse plus se permettre de dire: “Je ne savais pas.”
Lu par : Madiana Roy
Durée : 5h. 10min.
Genre littéraire : Roman animalier
Numéro du livre : 68865
Résumé:Coups de foudre au refuge, coup de sang contre les expérimentations animales, coup de gueule pour raconter la maltraitance ou la négligence de la part de certains maîtres, coup de cœur pour évoquer les belles histoires d’animaux résilients ou les miracles opérés dans le quotidien des familles par des animaux doux et bienveillants : toutes les histoires de ce recueil nous parlent de notre rapport aux bêtes, de notre envie d’affection, de leur besoin d’attention, nos attentes, sources parfois d’incompréhension, nos projections et révélations réciproques. Chez le véto évoque des histoires de bobos, d’angoisse en attendant un diagnostic, ou de chagrin, lorsqu’un compagnon de route s’en va. Mais aussi des récits drôles, tendres, de petits soucis à résoudre, de naissance, de guérison et de gratitude. A travers ces textes écrits par une journaliste-reporter talentueuse qui a parcouru la Terre et qui, cette fois, voyage immobile dans la salle d’attente d’un cabinet vétérinaire romand, c’est le monde animal et comment en prendre soin qui nous est expliqué, par l’émotion, l’exemple et l’envie d’en ressentir une certaine forme de bonheur.
Durée : 11h. 38min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 69046
Résumé:De sa découverte des pays à sa rencontre avec des élèves étrangers, l'auteure rend hommage à la spontanéité des langues en faisant le récit de quelques épisodes autobiographiques. Raconte son voyage en Erythrée, qu'elle a effectué pour comprendre d'où viennent certains migrants.
Lu par : Emilie Berger
Durée : 2h. 29min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 68821
Résumé:Je m’appelle Fatima Daas. Je suis la mazoziya, la petite dernière. Celle à laquelle on ne s’est pas préparé. Française d’origine algérienne. Musulmane pratiquante. Clichoise qui passe plus de trois heures par jour dans les transports. Une touriste. Une banlieusarde qui observe les comportements parisiens. Je suis une menteuse, une pécheresse. Adolescente, je suis une élève instable. Adulte, je suis hyper-inadaptée. J’écris des histoires pour éviter de vivre la mienne. J’ai fait quatre ans de thérapie. C’est ma plus longue relation. L’amour, c’était tabou à la maison, les marques de tendresse, la sexualité aussi. Je me croyais polyamoureuse. Lorsque Nina a débarqué dans ma vie, je ne savais plus du tout ce dont j’avais besoin et ce qu’il me manquait. Je m’appelle Fatima Daas. Je ne sais pas si je porte bien mon prénom
Lu par : Xavier Cazes
Durée : 1h. 37min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 69126
Résumé:« J’avoue que l’homme en bleu est une invention, mais c’est une invention forcément nécessaire, car enfin l’homme en bleu c’est Jean-Michel, avant même qu’il n’existe. Pour sûr c’est bien lui. Mais c’est aussi vous qui écrivez des vers, des nouvelles, des lettres d’amour, des romans. C’est chacun d’entre nous. Surtout nous les dessinateurs occupés à traficoter nos métiers mille fois ressurgis d’une enfance insouciante, avec en ligne de mire une retraite que l’on ne sonnera jamais. » Plus qu’un récit, un manifeste : celui d’un homme qui a fait profession de créer, de raconter, de dire et de donner à voir. À la fois l’histoire et le sens d’une vocation.
Lu par : Michel Zendali
Durée : 3h. 51min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68603
Résumé:Devenu spécialiste de la Shoah malgré lui, un historien israélien accompagne des groupes de lycéens dans leurs visites imposées au cours de "voyages de la mémoire" systématisés par l'Etat. Le voilà guide des camps de la mort. Cette expérience, cette fréquentation intime et quotidienne des processus d'extermination nazis, doublées de sollicitations diverses autour des différentes formes que prend l'entretien officiel d'une inflammable mémoire, entament progressivement et profondément son rapport au monde et aux autres. Rédigé sous la forme d'une lettre adressée au président de Yad Vashem (l'Institut international pour la mémoire de la Shoah sis à Jérusalem), cette sorte de rapport de mission bouscule le lecteur comme un interrogatoire musclé. Rapidement, le ton se tend. Une rage sourde imprègne chaque phrase, contamine le regard. On y lit l'implication et la rigueur scientifique du guide mais aussi sa solitude, son sentiment d'impuissance. Dans une ¿poque vouée au virtuel autant qu'au pragmatisme, Yishaï Sadd soumet à sa propre absurdité cette mise en scène de la mémoire au service d'un projet national qui érige la survie en triomphe. Le texte porte le constat terrible de l'impossibilité de transmettre, face à la banalisation du tourisme de l'horreur.
Durée : 2h. 59min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 68578
Résumé:Cet été-là, Isabelle de Courtivron s'aperçoit qu'elle a perdu en souplesse et s'essouffle plus vite. Son corps s'est usé. Elle a du mal à adopter Instagram ou Facebook. Elle se surprend à voir partout, tout le temps, des plus jeunes qu'elle. Ce qui lui arrive ? L'âge. Elle est devenue vieille. Indépendante, voyageuse, féministe, Isabelle de Courtivron était professeure de lettres aux Etats-Unis. Soudain, plusieurs années après la retraite, elle se rend compte qu'elle est devenue inaudible ; invisible. Sans fard, elle raconte avec humour ce basculement qu'elle n'a pas anticipé. Elle revisite son passé, ses amitiés et ses amours. Une lecture émouvante sur l'âge qui vient.
Lu par : Martine Leroy
Durée : 5h. 49min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 68555
Résumé:Ce récit raconte la rupture d'un fils avec son père. Dans les années 90, le narrateur habite un quartier sans histoire de Sélestat, ville moyenne du Centre-Alsace. Il vit dans une maison ordinaire avec sa mère, institutrice, son père, responsable technique dans une usine de cuisines, et sa soeur. Il a six ans au début de l'histoire. Il essaye de construire une relation affectueuse avec son père, d'origine allemande. Son père lui répond par de l'indifférence, du mépris ou de l'hostilité. Au fur et à mesure que le narrateur grandit, il découvre la violence de son père contre sa mère, puis la violence contre lui. Chaque sortie en famille, chaque déplacement dans le village natal de son père en Allemagne provoque des insultes et des scènes de plus en plus violentes. Au fil des pages, le narrateur réalise qu'il ne construira jamais aucune relation avec son père. Sa violence tourne à la folie. Elle menace la vie de sa mère, et la sienne. Elle se traduit par des monologues délirants, des insultes à répétition, dans un mélange de français et d'allemand. Les chapitres enchaînent des scènes de promenade en forêt, dans les vignes ou le long du Rhin, qui tournent au désastre, des activités sportives qui virent à l'humiliation, des repas de famille qui s'achèvent dans le chaos. Au terme de ces huit ans de tyrannie paternelle, le narrateur provoque le départ de son père. Il ne le reverra jamais. C'est un premier texte bouleversant et d'une grande intensité littéraire. L'écriture est splendide, elle trouve la bonne distance pour parler d'un père tyrannique, dont la folie et la cruauté enflent au fur et à mesure du récit. L'auteur possède l'art de camper en quelques mots un personnage et un paysage, on est immédiatement en « présence » de chaque situation. Sur ce sujet, c'est un premier roman remarquable.