Recherche par lecteur : ROCHE
67 résultats. Page 4 sur 4.
Lu par : Nicole Roche
Durée : 5h. 34min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21858
Résumé:De 1917 à 1922, une épidémie de lettres anonymes s abat sur la ville de Tulle. Glissés dans les paniers des ménagères, abandonnés sur les trottoirs, les rebords des fenêtres et jusque sur les bancs des églises, ces centaines de courriers qui dénoncent l infidélité des uns, la mauvaise conduite des autres alimentent toutes les conversations et inquiètent les habitants. Peu à peu, une atmosphère de suspicion recouvre la ville : quel est donc ce mystérieux anonyme et que recherche-t-il ? Quand un greffier de la préfecture, troublé par la réception d une lettre anonyme, perd la raison et meurt au cours d une crise de démence, l enquête policière s accélère et la presse nationale se précipite à Tulle à la recherche d un fait divers qui puisse passionner autant les Français que le procès de Landru qui vient de s achever. Les feuilles à scandale ne se trompent pas : l affaire des lettres anonymes de Tulle se révèle machiavélique et l instruction riche en rebondissements, du suicide ou de l assassinat d une présumée coupable à la grande dictée des suspects organisée par un expert graphologue en passant par le dessaisissement du juge qui a eu la mauvaise idée de faire appel à un voyant pour y voir plus clair. Une fois le coupable identifié, ce fait-divers qui a défrayé la chronique aurait pu être oublié s il n avait servi de source d inspiration à Henri-Georges Clouzot pour réaliser Le Corbeau en 1943, un film noir et maudit, peut-être le chef-d uvre du cinéma des années noires que les censeurs de la Libération ont stigmatisé pour avoir donné une image peu reluisante de la France occupée. Si le Corbeau a durablement éclipsé l histoire dont il est issu, l affaire des lettres anonymes de Tulle mérite mieux que l oubli car la réalité, noire, surprenante, diabolique, dépasse sans doute la fiction de Clouzot.
Lu par : Nicole Roche
Durée : 8h. 31min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 22760
Résumé:Les onze nouvelles réunies dans cet ouvrage restituent une période charnière de l'Empire ottoman dans les Balkans : fin du XIXe-début du XXe siècle. Elles éclairent aussi les tragédies récentes dans cette région ravagée par les conflits ethniques et confessionnels. Chacune des nouvelles pose le problème des mutations des cadres traditionnels de la vie sociale, de la naissance des nouvelles identités, des revendications politiques des différentes communautés dans un Empire à bout de souffle. Pratiquement autobiographiques, ces nouvelles font penser inévitablement aux œuvres des classiques balkaniques : Ivo Andric, Panaït Istrati ou encore Nikos Kazantzakis. Mais contrairement à Panaït Istrati, qui déclarait "n'adhérer à rien", Necati Cumali pensait que dans ces Balkans déchirés et perpétuellement en guerre, seule l'idéologie socialiste et humaniste pouvait instaurer un climat d'apaisement et de fraternité.
Lu par : ROCHE
Durée : 6h. 51min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24631
Résumé:1969 : les Américains débarquent sur la Lune et Mehdi atterrit au lycée Lyautey de Casablanca. L'instituteur, impressionné par l'intelligence et la boulimie de lecture de son jeune élève, lui a obtenu une bourse dans le prestigieux établissement français. Avec cet humour corrosif qu'on lui connaît, Fouad Laroui raconte le choc culturel que représente pour le petit Marocain la découverte du mode de vie des Français: ces gens qui vivent dans le luxe, mangent des choses incomestibles, parlent sans pudeur et lui manifestent un intérêt qu'il ne comprend absolument pas. Entre Le Petit Chose et Le Petit Nicolas, l'histoire émouvante et cocasse d'un enfant propulsé dans un univers aux antipodes de celui de sa famille.
Lu par : Nicole Roche
Durée : 7h. 4min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 25829
Résumé:Dire que la popularité de Charles Dickens (1812-1870) fut immense est un euphémisme. Tout le monde le lisait: la Reine et ses ministres, le petit peuple et la gentry, toute l'Angleterre en somme, mais aussi les Français, les Américains, les Allemands, les Russes. Pour trouver un équivalent français à sa gloire, il faudrait additionner celle de Balzac et de Hugo, de Zola et de Dumas. Et encore échouerait-on à saisir le tacite plébiscite en vertu duquel il devint, malgré les critiques féroces que lui inspiraient bien des coutumes et des institutions de son pays, le chantre de tout un peuple. Raconter sa vie, c'est à la fois pénétrer les arcanes d'un créateur incomparable et tenter de comprendre comment les fantasmagories d'un fils de modeste fonctionnaire de province ont pu trouver pareil écho. C'est aussi aller à la rencontre d'une personnalité complexe, protéiforme, pétrie de contradictions encombrantes, mais toujours animée d'une infatigable énergie.
Lu par : Nicole Roche
Durée : 4h. 4min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 25346
Résumé:Un jeune garçon est brutalement livré à l'angoisse et à l'impuissance depuis que sa mère a sombré dans la dépression ; un père divorcé, traité en paria par sa belle-famille, passe une dernière journée avec ses deux fillettes avant que la garde ne lui soit retirée ; une femme aime de façon dévorante sa petite fille sur laquelle elle reporte tous ses rêves contrariés de réussite musicale. Frédérique Clémençon nous raconte huit histoires où les adultes empêchent, pour leur bien, les enfants de rêver, d'aimer ou les forcent à se conformer à leur propre désir, abusant, pour leur bien toujours, de leur statut d'adulte. Et finalement chacun, adulte, enfant, adolescent, tente de survivre, de grandir, cherche à comprendre ou au contraire s'y refuse, non sans cruauté. Ces histoires ont des allures de contes. Elles en ont l'écriture, somptueusement classique, la cruauté, l'apparent réalisme et, enfin, la portée morale : car au fil de ces nouvelles où les personnages voient sans cesse leur intégrité menacée s'impose l'idée que la résistance, résistance à l'ordre des adultes ou à l'ordre du monde, est avant tout une question de survie. Et gare à ceux qui, trop « petits » ou trop fragiles ne savent pas résister et se laissent manipulés.
Lu par : Nicole Roche
Durée : 7h. 37min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 25527
Résumé:Dans la lignée de l'Histoire des haines d'écrivains, avec la même verve et une pluie d'anecdotes, ce livre raconte comment les parents d'écrivains du XIXe et du XXe siècle ont réagi à la vocation de leurs rejetons. Pour beaucoup, qui rêvaient d'un métier sérieux ou d'un avenir solide, c'est la disgrâce absolue : jules Renard n'est qu'un " chieur d'encre " aux veux de sa mère ; le père de Nerval finit par rompre avec lui. Quant à la mère de Marguerite Duras, elle se désespère : " Tu es faite pour le commerce ! " Car, insiste Mine Gide, il faut bien trouver de quoi " mettre la poule au pot ". D'autres encore sont scandalisés, ou s'agacent d'une imagination jugée débordante. " Poulou n'a rien compris à son enfance ", s'écrie la mère cle Sarine après avoir lu Les Mots. Certes, tous les parents n'ont pas été hostiles : Honoré a souffert sa vie durant de ses rapports avec la terrible Mme Balzac, qui exécrait ses premiers romans, mais il a eu le réconfort d'être le fils de son père ; un Théophile Gautier, une Marguerite Yourcenar ont été encouragés dès l'affirmation de lem- vocation. Ce soutien frôle parfois la cocasserie pure : quand, emporté par l'inspiration, Lamartine célébra dans un poème le lierre majestueux, mais imaginaire, qui recouvrait la maison familiale, sa mère s'empressa d'en planter un, afin que nul ne pût prendre Alphonse en défaut... Peur de la déchéance sociale, fierté face au succès, rejet d'un milieu qu'on connaît mal, incrédulité, dévotion ou indifférence : souvent savoureuses, ces réactions à l'irruption de la littérature dans une vie nous font plonger dans l'intimité de ces familles à la lois si lointaines et si proches.
Lu par : Roger Frison-Roche
Durée : 1h. 36min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 17325
Résumé:René Caillié, né le 19 novembre 1799 à Mauzé-sur-le-Mignon (Deux-Sèvres) et mort le 17 mai 1838 à La Gripperie-Saint-Symphorien (Charente-Maritime), est un explorateur français, devenu connu après avoir été le premier Occidental à revenir de la ville de Tombouctou, au Mali. (wikipedia)