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Recherche par lecteur : Lebrun

6 résultats.

Durée:4min.
Genre littéraire:Contes et légendes
Numéro du livre:68165
Résumé: Un album richement illustré qui permettra aux enfants de retrouver Hercule et de revivre l'émotion et la magie de ce célèbre long-métrage des studios Disney.
Durée:15min.
Genre littéraire:Poésie
Numéro du livre:68128
Résumé: On ne pourra jamais assez dire "merci" à une maman pour tout ce qu'elle fait et a fait depuis toujours pour ses enfants. Dans ce beau petit livre-à-aimer, voici recueillis quelques une des choses qu'il faut lui dire pour la remercier. Tu es celle que nous aimons, que nous admirons. Merci de nous avoir élevés. Nous voyons le monde pour toi. Tu signifies tant de choses à nos yeux... Maman, je t'aime.
Durée:7h. 9min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:68126
Résumé: Une grande victoire suivie d'une terrible défaite ; deux dates qui ont marqué d'un sceau indélébile les débuts du règne de François Ier, à l'aube de la Renaissance. Pour tous, François Ier incarne la figure lumineuse du roi-chevalier et du poète cultivant l'art de la galanterie. Mais qui a façonné le grand homme ? Autour de lui, toujours, des femmes : Louise de Savoie et sa soeur Marguerite de Navarre ont construit l'image d'un souverain aimé du peuple, d'un diplomate subtil et d'un homme de guerre appelé à tenir tête jusqu'à sa mort à l'empereur Charles Quint. Et puis il y a aussi les favorites, celles que l'on nomme " les Salamandres ". À l'instar de ce petit lézard légendaire qui résisterait au feu, les meilleures d'entre elles ont le pouvoir de vaincre l'adversité. Et c'est aussi peut-être grâce à elles que le grand homme est devenu un roi accompli. Parmi ces Salamandres, deux femmes se sont livré un duel impitoyable à la cour et dans les somptueuses résidences des bords de Loire : la comtesse Françoise de Châteaubriant et Anne de Pisseleu, duchesse d'Étampes. L'une est brune et piquante, mais elle vieillit ; l'autre est blonde, discrète et diaphane, et son ambition est grande...
Durée:1h. 52min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:67760
Résumé: L'ancien commissaire Pigeon se faisait une joie de ces paisibles vacances en Haute-Savoie. Malheureusement, à la suite d'une soirée en compagnie de la charmante Christelle, son crâne semble devenir le point de convergence des objets contondants de la vallée. Mais qui donc s'intéresse de si près à lui et à ses affaires? Et Christelle, pourquoi a-t-elle disparu et ne répond-elle plus sur son portable? Une enquête sur les chapeaux de roues entre Thônes, les pistes du Grand Bornand et de la Clusaz, et la ville d'Annecy.
Lu par:Lebrun
Durée:1h. 7min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22333
Résumé: Quatre saisons. Quatre lettres adressées à l'amie lointaine. Jour de printemps. Il marche dans les vignes, les bois, alors qu'un poème se compose dans sa tête. Ce texte parle de l'avidité de vivre. De l'attente. L'attente de ce qu'aucun mot ne saurait nommer. Nuit d'un été torride. Naguère, un enfant s'était enfoncé dans la forêt à la recherche de trois hêtres immenses. Il ne les avait pas trouvés, mais il avait vécu quelques minutes inoubliables près d'une source. Autre parcours : celui de l'aventure intérieure, avec ses aléas, ses angoisses, ses découvertes, et instamment espérée, ardemment attendue, cette seconde naissance qui permet enfin de consentir à la vie. Journée d'automne et de balade sur les collines dans la douce et déclinante lumière de la saison préférée. Elle fait songer à un autre automne. Celui d'une existence. Celui qu'éclaire et enrichit la plénitude de la maturité. Après-midi d'hiver. La neige. Les oiseaux. Le profond silence. Une totale passivité. Le plus enfoui affleure et la main note. Des instants d'abandon, de lentes dérives. Une parole nue. Celle qui sécrète le murmure de l'intime.
Durée:4h. 10min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22684
Résumé: Balades, flâneriesà Je cherche le mot le plus léger pour dire ce que furent ces instants volés au ciel de Normandie. Oui, tout autour de chez moi, et pas très loin le plus souvent. Mais après tout, cela pourrait aussi bien être partout ailleurs. C'est le regard qui compte, et cette envie d'aller par les chemins. Bien sûr, les rivières étaient belles. Mais d'un matin de gel à la lenteur d'un soir d'été, la lumière les appelait, chaque fois différentes. J'apprenais à nommer la campagne qui m'entourait, mais elle menait toujours plus loin. J'apprenais à me perdre plus qu'à me retrouver. Dix ans de flâneries à deux, et ça, c'est un tout autre privilège. Partager le silence des chemins avec la femme que l'on aime. Je griffonnais des notes, elle prenait des photos. De ces regards croisés passaient plus tard des images et des mots qui marchaient l'amble. Il n'y avait rien que des lumières échangées et quelquefois un café chaud, très tôt, au hasard d'un village. Mais aujourd'hui je vois qu'un livre est né ; je tremble un peu de voir qu'il nous ressemble, de maraudes en chemins d'eau. Léger, fragile, un livre de balades, de saisons, dix ans flânés à regarder ensemble.Les chemins nous inventent. Il faut laisser vivre les pas.