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Recherche par lecteur : Jauréguy

27 résultats. Page 2 sur 2.

Durée:19h. 43min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21881
Résumé: Notre monde contemporain, mû par un instinct sauvage de l'avenir, croise dans ce roman un monde plus ancien dans lequel une vieille usine abrite le destin d'une famille nombreuse récemment arrivée d'Afrique. Des mondes apparemment inconciliables que le hasard met en contact par l'intermédiaire de Milena Leandro, l'étrange jeune fille aux yeux de laquelle tout naît pour la première fois et dont la simplicité va tout bouleverser. Dans un Algarve tragique et sauvage, Milena évolue entre une famille attachée à ses privilèges et à son image sociale et une tribu cap-verdienne vivace pour laquelle la musique irrigue la vie. Milena nous conduit à travers la mort vers un amour impensable, un crime, une trahison et un silence à jamais scellé. Son regard toujours neuf sur la vie, le bien et le mal, sa vision de la valeur du monde constituent la matière même de ce roman. Dans son œuvre, Lidia Jorge fouille toujours au plus profond de la cruauté primaire des êtres. Ici, pour la première fois, elle nous découvre la perversité et la lâcheté qui l'accompagnent. Cet extraordinaire roman a reçu le Prix de l'APE, l'un des prix littéraires les plus prestigieux du Portugal.
Durée:5h. 33min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21601
Résumé: Hercule n'est nulle part en sécurité. Ni chez lui, ni à l'école. Insultes, agressions sexuelles, humiliations, châtiments corporels, la violence perverse des adultes semble infinie. Ce n'est rien, juste une enfance ordinaire, à la campagne, en France, au début des années soixante. Avec son meilleur ami, Hercule invente une société secrète. Ensemble, ils mènent une vie libre et sauvage, et ne se soumettent qu'en apparence à l'ordre établi. Mais une découverte va bouleverser leur existence et celle des habitants du village. Réveillant des passions qu'on croyait mortes, les Pieds-Bleus mettent le feu aux poudres et provoquent un feu d'artifice.
Durée:8h. 54min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:26603
Résumé: Pour Malraux, le révolutionnaire doit être dans un certain état de disponiblité et de courage. Garine ne s'intéresse pas à sa propre vie. Et il peut mettre une absence totale de scrupules au service d'intérêts qui ne sont pas les siens propres...
Durée:13h.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:21187
Résumé: Pétrole, drogue, fanatisme, terrorisme. Et géopolitique. Le dossier le plus complet et le plus fiable sur les taliban. Un document implacable par le meilleur spécialiste mondial. Ahmed Rashid, journaliste pakistanais et observateur privilégié de l'Afghanistan depuis 1979, nous plonge au cœur de ce mouvement islamiste extrême et secret qui fait peser une menace inattendue sur l'Asie centrale, le Moyen-Orient et le monde. Il met en scène la tumultueuse histoire du mouvement des taliban depuis sa soudaine et spectaculaire apparition en 1994, analysant ses racines historiques, idéologiques et géopolitiques. Il en dégage le sens et l'impact. Précis et vivant, ce livre se lit comme l'incroyable roman vrai d'une histoire tragique dont la conclusion n'est pas écrite.
Durée:11h. 21min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:23738
Résumé: Jean-Luc Einaudi retrace dans cet ouvrage certains événements marquants qui ont ponctué la guerre française en Indochine, de 1945 à 1954. Dans les Forces françaises et des États associés, il y eut officiellement 106 658 morts et disparus. Côté vietnamien, le nombre dépasserait le million de victimes. Mais au-delà des chiffres, ce conflit marqua une génération et un pays, comme la guerre d'Algérie ensuite. On sait combien la classe politique française fut partagée à propos de cette guerre, qu'il faut bien appeler coloniale ; elle suscita scandales, affaires louches, et se termina pour la France par la défaite humiliante de Dien-Bien-Phu.Une enquête minutieuse, des témoignages étonnants de certains acteurs de cette guerre, le parcours de ce curieux personnage que fut Georges Boudarel (un Français qui, par conviction, se retrouva instructeur politique dans les camps où étaient détenus des soldats français) font de ce livre un document riche et passionnant sur cette période et cette guerre qui, dans l'inconscient collectif français, continue d'être perçue de façon trouble et ambiguë. Une guerre que certains auraient bien aimé jeter "à la poubelle de l'Histoire'.
Durée:4h. 50min.
Genre littéraire:Roman d'amour
Numéro du livre:23640
Résumé: Mon regard se caressait à l'ivoire merveilleusement lisse de ses fesses, et rien ne pouvait être plus parfait, plus noble même, que l'arrangement de lumière et d'ombre qui en modelait les galbes. Pendant une seconde, je l'aperçus de face, toujours frétillant et nu comme un poisson au bout de la ligne. Mais je reçus cette fois comme une gifle l'insolente vision : en un instant les joues me brûlèrent et j'éprouvai une sensation de vertige, une légère et délicieuse pression à la hauteur de l'estomac, les yeux fixés sur l'amulette brillante, nacrée, qui ballait entre les cuisses du jeune homme. [...] Mon cœur s'est ouvert à cet instant et ne s'est jamais refermé. L'homme nu que Fanny, quinze ans, aperçoit fugitivement sur la plage suscite un trouble inoubliable chez l'adolescente. Retrouver cet «ange» devient une obsession. D'autant qu'après avoir subi une opération à cœur ouvert, Fanny a sombré dans une intense dépression. Meurtri par la maladie, son corps réclame de l'aide. Lorsque la rencontre a enfin lieu, le bonheur semble promis. C'est sans compter les secrets de l'élu, homosexuel, qui ne peut répondre à la passion de la jeune fille... Fanny Carel aborde sans détours la naissance du désir sexuel et revisite, avec beaucoup d'humour, le mythe du prince charmant.
Durée:3h. 51min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:21108
Résumé: Au lieu de passer au centre des chèques postaux, aujourd'hui, j'aurais mieux fait de me consacrer à des amours ancillaires (celles que je préfère). Au guichet, j'avise un vieux type blême et pâle des crayons qui retire de l'artiche. Où ça se complique, c'est quand je retrouve le pépère, assis dans sa bagnole, bien sagement, mais un peu mort! Alors je me mets en piste, courant de surprise en surprise au long de la rue des Macchabées.