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Recherche par lecteur : Brigitte Garel

2 résultats.

Durée:15h. 59min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:29282
Résumé: À peine leur diplôme en poche, Charles et Gabriel décident de faire le tour du monde à vélo. Ils se donnent un an ; leur budget est serré : 1 € par personne et par jour. Ils ont l'intention de trouver asile parmi des chrétiens quelque soit l'endroit où ils se trouveront. Partis de Paris en juillet 2009, ils parcourront 11 000 km, n'hésitant pas à traverser des pays où l'Église est minoritaire, les chrétiens à peine tolérés et parfois persécutés. Ils nous emmènent ainsi au cœur de communautés qui vivent leur foi comme dans les catacombes, à la manière des premiers chrétiens, et connaissent parfois le sort des premiers martyrs. Nous les suivons en Irak chez les chaldéens de Bagdad, au Népal au lendemain d'un attentat à la bombe dans une église, dans une communauté catholique clandestine en Chine, chez les nouveaux occupants du monastère de Tibhirine en Algérie, auprès d'un prêtre sans paroissiens en Mauritanie ou de paroissiens sans prêtre en pleine Amazonie.
Durée:2h. 33min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:25954
Résumé: Dès l'ouverture de ce bref roman, on prend le train en marche, en l'occurrence le Transsibérien, déjà loin de Moscou, à mi-chemin de l'Asie. Le long du corridor, se presse une foule de passagers de 3e classe bardés de bagages, d'où se détache une horde de jeunes hommes en tenue camouflage agglutinés dans la fumée de cigarettes, que le sergent Letchov conduit à leur caserne d'affectation en Sibérie. Parmi eux, Aliocha, grand et massif, âgé de vingt ans mais encore puceau, et comme désarmé face aux premiers bizutages qui font partie du rituel de ces transports de conscrits. Il préfère s'isoler, lui qui n'a pas su trouver le moyen d'éviter le service militaire, qui n'attend rien de bon de cette vie soldatesque et sent la menace de cette destination hors limite. A l'écart, il commence à échafauder les moyens de fausser compagnie à son régiment. Mais comment se faire la belle à coup sûr ? Profiter d'un arrêt à la prochaine gare pour se fondre dans la foule et disparaître. A priori, il a tout à craindre de son sergent, mais aussi des deux provodnitsa, ces hôtesses de wagons, en charge de la maintenance des lieux et de la surveillance du moindre déplacement des voyageurs. Une première tentative échoue. Aussitôt repéré, il remonte dans le train. Sa fébrilité suspecte a dû le trahir. Occasion manquée donc, mais sur le quai, Aliocha a croisé une jeune Occidentale qui va bientôt s'émouvoir de son sort : Hélène, une Française de 35 ans, montée en gare de Krasnoïarsk. Elle vient de quitter son amant Anton, un Russe rencontré à Paris et récemment revenu au pays gérer un énorme barrage, un homme qu'elle a suivi par amour près du fleuve du même nom. Malgré les barrières du langage, Aliocha et Hélène vont se comprendre à mi-mots. Toute une nuit, au gré d'un roulis engourdissant, ils vont partager en secret le même compartiment, supporter les malentendus de cette promiscuité forcée et déjouer la traque au déserteur qui fait rage d'un bout à l'autre du train. Les voilà condamnés à suivre un chemin parallèle, chacun selon sa logique propre et incommunicable, à fuir vers l'Est et son terminus océanique, Vladivostok.