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Recherche par genre: Essai/chronique/langage

957 résultats. Page 41 sur 48.

Lu par : Marianne Pernet
Durée : 4h. 22min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18244
Résumé:Les mots ont une multitude de sens, ou au contraire n'en ont qu'un mais désignent des choses elles-mêmes ambigües. Albert Jacquard les use jusqu'à la corde pour débusquer leurs significations profondes. De Z à A, il remonte l'alphabet comme on remonte le temps, pour revenir aux origines et à l'essentiel.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 4h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18848
Résumé:L'homme occidental passe plus de temps en voiture que dans le lit des dames. Fort de cette constatation et de cette expérience, j'ai décidé d'explorer la place qu'a prise l'automobile dans nos plaisirs, notre travail, nos glorioles, nos pulsions secrètes, nos rêves. Il m'est arrivé, jadis et naguère, d'analyser la présence des animaux familiers dans ma vie, c'était Lettre à mon chien, ou mes propres souvenirs et colères, dans Un petit bourgeois et Le Musée de l'homme. Ce livre-ci n'est pas de nature si différente, qui passe en revue, aussi gaiement que possible, les divers aspects d'un asservissement adorable. Asservissement ? Nul, ou presque, n'y échappe. Tout humain est, a été ou sera bagnolard. (Ne s'agit-il pas aussi d'une espèce (le bagne ?...) Je n'ai rien exclu des flâneries de ce livre. Ni les dream cars, ni la Deuche, ni les malotrus de la vitesse, ni les maniaques de la nénette, ni les drogues de l'accessoire. La boîte automatique, la fameuse manoeuvre pointe-talon (que je confesse n'avoir jamais comprise ni pratiquée...), la suspension molle, le citroënisme, la symbolique virile du levier de vitesse, le vroum-vroum et la conduite coulée, l'auto-strada et l'Autobhan, c'est tout l'univers fantasmatique de l'automobile qu'Autos Graphie évoque - sans oublier, ici et là, l'amour, l'âge et la mort, qu'on ne saurait éloigner longtemps d'un tel sujet, parût-il frivole. Peut-on se réclamer à la fois de Paul Morand et de Roland Barthes, de L'Homme pressé et des Mythologies ? Je le crois, et j'espère prouver ici que la pratique opiniâtre et voluptueuse de la conduite automobile peut tenir lieu de sensualité, de psychanalyse et de recherche du temps perdu.
Lu par : Henri Duboule
Durée : 1h. 32min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18176
Résumé:Depuis que je le vois à l'oeuvre, de près, chaque jour de l'année, je déteste le liseron et, qui pis est, je le méprise. C'est un personnage terrible, sans scrupule et sans pitié. Je ne lui fais pas grief d'être d'apparence chétive. Il rampe, mon Dieu ! C'est son droit. Il grimpe et c'est là son courage. Ce que je lui reproche, c'est d'étouffer ceux dont il se sert. Il a d'abord l'air modeste, il demande la charité, l'assistance. « Un tout petit coup de main, mon bon monsieur, s'il vous plaît. » on le laisse faire, on l'admet à table. Alors il s'enhardit, se ramifie, il s'élance, il s'étale, il occupe toute la place. Il sait tourner, il sait feindre, il a toutes les patiences. Quelques jours encore, et il n'y aura plus d'espace, plus d'air, plus de soleil que pour lui. Cependant son bienfaiteur suffoque, râle, agonise. Et ce travail aérien n'est pas le plus redoutable. L'ambitieux, sous terre, propage d'insidieuses racines dont le moindre fil suffit pour empoisonner tout un jardin, tout un pays.Tel est le gentil liseron. J'ai cru longtemps, j'ai longtemps publié que la connaissance est amour. Eh bien ! Ma foi, je me trompais. Je connais bien le liseron. »
Durée : 2h. 46min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18157
Résumé:Il écrivait jusqu'au petit matin, au premier étage de sa maison de Croisset, chaque nuit, avec une telle constance que les mariniers qui remontaient la Seine, de nuit, se servaient de ses fenêtres illuminées comme d'un fanal pour naviguer. Persuadé qu'« une oeuvre n'a d'importance qu'en vertu de son éternité », et que l'enjeu valait bien le pari d'y consacrer sa vie, Flaubert s'était donné le nom d'« homme-plume ». Amours, voyages, recherches, passions, amitiés, révolutions, solitude, toutes les expériences vécues, que révèle son étincelante Correspondance, n'ont convergé que vers un seul but : écrire, donner à la prose française son statut d'oeuvre d'art, inventer les formes du roman moderne. « J'écris non pour le lecteur d'aujourd'hui, mais pour tous les lecteurs qui pourront se présenter, tant que la langue vivra » (à George Sand, 4 décembre 1872).
Lu par : Gérard Bellot
Durée : 8h. 34min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18118
Résumé:Chaque mois, depuis des années, Jacqueline de Romilly essaie de nous faire partager son amour de la langue française. Ce qu'elle veut avant tout, c'est nous en donner le goût, c'est-à-dire qu'elle insiste plus sur les beautés de cette langue que sur les dangers qui la menacent. A partir d'un mot qu'elle a choisi, elle cherche à en préciser le sens, la valeur correcte, l'étymologie, ainsi que l'évolution qui, en fonction des changements de la société, des découvertes scientifiques, ou des réflexions des écrivains, a chargé ces mots de nuances nouvelles. En somme, elle nous fait vivre le roman des mots.
Lu par : Hervé Guignard
Durée : 10h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19089
Résumé:L'apocalypse, serait-ce donc l'édition numérique, ou comme dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la température à laquelle le papier s'enflamme et se consume ? Dans son Dernier inventaire avant liquidation, Frédéric Beigbeder commentait le choix de la FNAC. Désormais, dans cette arche de papier, il sauve au vingtième siècle tous les livres, pour être précis les 100 oeuvres, qu'il souhaite conserver au vingt-et-unième siècle. C'est donc un choix totalement personnel, égotiste, joyeux, inattendu, parfois classique (Fitzgerald, Paul-Jean Toulet, Salinger et d'autres grands), souvent surprenant (Lolita Pille, Simon Libérati, Patrick Besson, Jay Mc Inerney, Bret Easton Ellis, Gabriel Matzneff, d'autres oiseaux de nuit, d'autres perturbateurs). Il est rare d'établir le panorama d'une littérature en train de se faire, de s'améliorer, de s'inventer. Avec ce livre-manifeste, c'est le Beigbeder livresque, joueur, lecteur, que nous découvrons, en même temps qu'une autobiographie en fragments.L'apocalypse, serait-ce donc l'édition numérique, ou comme dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la température à laquelle le papier s'enflamme et se consume ? Dans son Dernier inventaire avant liquidation, Frédéric Beigbeder commentait le choix de la FNAC. Désormais, dans cette arche de papier, il sauve au vingtième siècle tous les livres, pour être précis les 100 oeuvres, qu'il souhaite conserver au vingt-et-unième siècle. C'est donc un choix totalement personnel, égotiste, joyeux, inattendu, parfois classique (Fitzgerald, Paul-Jean Toulet, Salinger et d'autres grands), souvent surprenant (Lolita Pille, Simon Libérati, Patrick Besson, Jay Mc Inerney, Bret Easton Ellis, Gabriel Matzneff, d'autres oiseaux de nuit, d'autres perturbateurs). Il est rare d'établir le panorama d'une littérature en train de se faire, de s'améliorer, de s'inventer. Avec ce livre-manifeste, c'est le Beigbeder livresque, joueur, lecteur, que nous découvrons, en même temps qu'une autobiographie en fragments.
Durée : 17h. 51min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18966
Résumé:«Et maintenant, petit livre, va à travers la ville, et dis bonjour à mes amis. Va, si tu peux, à travers le monde, qui est engagé, lui, dans une vraiment sale histoire. Sois aimable, tâche de séduire et de me faire honneur.» - Gilles
Durée : 20h. 44min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18983
Résumé:«On devrait entrer en vieillesse comme on entre en religion : libéré des pesanteurs terrestres. Biens immobiliers et mobiliers d'abord. Tu sais que tu ne les emporteras pas avec toi. Ce qu'il adviendra d'eux ? Tu t'en fous, mais il y a le reste, le plus important - du moins pour toi - ta raison de vivre, ce que tu as fait de ta vie. Ce qui t'a poussé parfois au-delà de toi-même. Ce qui a donné un sens à ta vie.» - Gilles
Lu par : Jean Frey
Durée : 51min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18073
Résumé:C'est une lettre personnelle à une amie japonaise, en souvenir d'une soirée passée à Tokyo il y a un an, jour pour jour, avant le tsunami et la catastrophe nucléaire de Fukushima. Cette lettre évoque aussi d'autres malheurs qui ont secoué le Japon et le souvenir heureux d'un séjour sur les plages de Sendai - fascination extrême pour l'élégance inquiète de cette culture raffinée. Il est aussi question du rapport entre les nucléocrates et la littérature, des difficultés de se comprendre entre l'Europe et le Japon. L'auteur, qui a lui-même travaillé dans une centrale nucléaire, écrit ces pages d'une lucidité bienfaisante comme un écho à Hiroshima, mon amour - dans lequel l'héroïne s'entendait reprocher : Tu n'as rien vu à Hiroshima.
Lu par : Serge Vulliens
Durée : 7h. 19min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18256
Résumé:L'argot, ou langue verte, fait immédiatement penser à Paris, ses quartiers dictionnaire-argot.gif mal famés, ses mauvais garçons, la Cour des Miracles, la Grande Truanderie, Villon, Vidocq, Simonin, Le Breton, etc. L'emploi de l'argot chez les voyous permettait à toute cette faune de s'établir en confrérie, de pouvoir jacter à l'abri des esgourdes indiscrètes, d'avoir sa langue propre comme possédaient la leur Auvergnats, Bretons, Corses et bien d'autres émigrés dans la capitale. Entre les mots créés pour l'occasion, les mots déformés par adjonction, par duplication, par troncation, et toutes les métaphores souvent humoristiques, l'argot a évolué au fil des temps pour imprégner la langue française et même être digéré par elle. Dans bien des cas l'argot s'est banalisé et au fin fond des cambrousses parfois on jacte argomuche. On le jaspine sans le savoir tout comme monsieur Jourdain « prosait » en toute ignorance. Bruant, Brassens, Renaud sont les poètes les plus connus de la langue verte. Simonin, Le Breton, Ange Bastiani, Carco, les prosateurs. San Antonio, Pierre Perret les créateurs, les innovateurs, les néologues ou néologiciens. Pourtant un petit parcours dans les oeuvres de Théophile Gautier, de Zola, de Balzac, de Victor Hugo, de Maxence Van der Meersch, ce ne sont que des exemples choisis, prouvent que nos classiques ont su user de l'argot.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 5h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18303
Résumé:Mystérieusement, Bratislava attirait toujours mon regard. Si les quatre syllabes rocailleuses, baignées d'eaux danubiennes et de songes slaves, ne m'avaient pas ainsi fasciné, ce livre n'eût sans doute pas existé. Ma vie en eût été changée, comme est détourné le cours d'un ruisseau : serais-je allé là-bas, en 1947, fêter mes vingt ans ? Y serais-je retourné, la cinquantaine bien entamée, à la poursuite d'images presque effacées mais douées de la patiente insistance des songes ou de l'oubli ? François Nourissier
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 48min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17891
Résumé:Livre posthume dans lequel l'auteur mène son propre interrogatoire sur l'écriture, la littérature, le sexe, Dieu, la mort, la foi protestante, la jouissance des corps, etc. "- Qui vous autorise à parler en initié de votre propre mort ? Tant que je vous interroge, sachez-le, je ne tolérerai pas que vous en usiez avec la mort comme Guignol se joue des gendarmes ! - Je ne me moque ni de mourir, ni de la mort, ni de ma poussière de mort. Quelque chose en moi, qui parle de retour, me donne irrésistiblement la force de remonter de la poudre où je serai diffus à une espèce de parole, peut-être de voix, un souffle, un glissement d'air où les mots ne sont plus inaudibles mais deviennent précis, à nouveau doués de forme, de son, et capables de s'organiser en phrases. Disons qu'ils sont silencieux, qu'ils se tiennent à hauteur d'oreille entre l'absence et l'écho, et voici, vous les entendez, je vous l'avais dit : "Je reviendrai." "
Durée : 8h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17973
Résumé:"Notre mémoire est pleine de mots. Il suffit de puiser dedans. On trouvera dans ce dictionnaire très personnel des mots qui m'ont accompagné dans ma vie professionnelle comme, précisément, dictionnaire et mot. Plus apostrophe, orthographe, écrivain, lecture, bibliothèque, guillemets... A ceux-là s'ajoutent une ribambelle d'autres mots qui relèvent de ma vie privée, de mes souvenirs intimes, de mes manières d'être, de ma psychologie d'enfant et d'adulte, de mes trucs, de mes rêveries, de mes bonheurs, de mes chagrins, de mes petites aventures d'homme devenu public grâce à une succession de clins d'oeil du hasard." Bernard Pivot
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 1h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17795
Résumé:... Petit bijou longtemps oublié au fond de la malle à trésors de Robert Louis Stevenson. On y retrouve le vieil adage selon lequel la paresse serait le commencement de la sagesse, avec tout le charme et la liberté d'esprit du père de L'Ile au trésor. Voici une fantaisiste invitation à la rêverie, à l'indépendance d'esprit, assortie d'aphorismes, tel: «C'est chose amère que d'avoir peiné à gravir des pentes ardues, pour découvrir en définitive que l'humanité est indifférente à votre réussite.»
Durée : 10h. 4min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17789
Résumé:De même que l'artiste ne crée pas de façon continue, mais lors de rares moments d'inspiration, l'Histoire, selon Zweig, procède par bonds: une succession de faits banals est interrompue de loin en loin par des événements clés. Ce sont ces moments " d'une grande concentration dramatique, porteurs de destin, où une décision capitale se condense en un seul jour, une seule heure et souvent une seule minute°", que Zweig a voulu illustrer à travers ces douze récits. Il y narre, et commente à sa manière, des événements aussi divers que la prise de Byzance, la quête de l'Eldorado, la bataille de Waterloo, l'expédition du capitaine Scott au pôle Sud, la pose de la première ligne télégraphique sous l'océan Atlantique, les derniers mois de la vie de Haendel et la genèse du Messie, ou la composition de La Marseillaise par Rouget de Lisle. En 1939 avait paru, sous le titre Les Heures étoilées de l'humanité, une première édition du recueil de Stefan Zweig. Aux neuf textes traduits à l'époque viennent aujourd'hui s'ajouter trois textes inédits en français, ainsi que la préface originale de l'auteur. Les Très Riches Heures de l'humanité constituent la première édition française intégrale de Sternstunden der Menschheit
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 5h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17921
Résumé:En 1762, année de publication de" l'Émile ou de l'éducation "de Jean Jacques Rousseau, Christophe de Beaumont, archevêque de Paris, promulgue un mandement qui condamne l'oeuvre de Rousseau sous prétexte, notamment, que celui-ci contient «une doctrine abominable, propre à renverser la loi naturelle, et à détruire les fondements de la religion chrétienne». Aujourd'hui, on se souvient davantage de cet archevêque pour ses attaques envers les philosophes et son acharnement dans la lutte contre les jansénistes que pour sa charité chrétienne. De Beaumont étant résolument contre la contestation religieuse par les hommes à l'origine de même confession que lui, il n'est donc pas surprenant que Rousseau,auteur de "l'Émile ou de l'éducation" qui comprend, dans le livre IV, le texte de "la Profession de foi du Vicaire savoyard "développant les différentes aspects de sa conception de la religion naturelle (opposée à la religion révélée), apparaisse aux yeux de au membre du clergé comme un individu dangereux menaçant l'ordre du pays. Rousseau prend connaissance d'un Mandement de l'archevêque de Paris dirigé contre l'Émile. Aussitôt il propose à son éditeur d'Amsterdam d'imprimer sa réponse à Monseigneur et lui expédie le manuscrit le 1er janvier 1763...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 22h. 57min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17671
Résumé:La correspondance de Voltaire est un véritable monument épistolaire. Elle s'étend de 1704 à 1778, c'est-à-dire de ses dix ans jusqu'à sa mort, et elle comprend près de vingt mille lettres... C'est dire l'ampleur de cette oeuvre, qui est un véritable témoignage sur le siècle des Lumières. Cet ouvrage recense 409 lettres...
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 45min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17623
Résumé:... Il y dénonce les écarts de richesses grandissants, le manque d'humanité envers les sans-papiers et les Roms, la dictature des marchés financiers et les acquis sociaux de la résistance, comme les retraites ou la sécurité sociale, bradés par le gouvernement. Il appelle également au boycott des produits israéliens, arguant de la guerre de Gaza de 2009. Stéphane Hessel est un Français né à Berlin et son père était juif. Il rejoint la résistance avant d'être déporté à Buchenwald durant la Seconde Guerre mondiale. En 1948, il participe à la rédaction de la Déclaration universelle des droits de l'homme, avant de devenir ambassadeur de France. Stéphane Hessel a récemment été candidat sur une liste Europe Ecologie aux élections régionales.
Durée : 15h. 3min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17875
Résumé:Colette journaliste : tout au long de sa carrière, l'écrivain n'a cessé d'apporter sa collaboration aux plus grands journaux du moment - Le Matin, L'Éclair, Paris-Soir, Le Journal ou Le Figaro ... Ses articles, inédits, sont enfin regroupés ici - présentés et annotés - pour le plus grand bonheur des amoureux de Colette.
Durée : 4h. 28min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17613
Résumé:Texte de témoignage, texte animé par l'urgence, texte de compassion et de réflexion aussi, Failles désigne l'innommable qu'a été le 12 janvier 2010 en Haïti. Mais il tente aussi de prévenir de l'irresponsabilité qui consisterait pour les Haïtiens à ne pas changer leurs perceptions et leurs comportements. Pour Yanick Lahens en effet, la faille géologique qui a englouti Port-au-Prince interdit de faire comme si les autres failles - sociale, politique, économique - n'existaient pas. Il n'y a pas de fatalité dans le malheur du peuple haïtien, ni même dans les carences des élites et la mainmise des organisations internationales : telle est la conviction de l'écrivain qui, malgré le tableau sans complaisance qu'elle brosse de la réalité de son pays, insuffle à ses pages une formidable force de vie."