Recherche par auteur : Violier, Brigitte
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Mille ans de soucis et soudain le printemps !: une famille paysanne sous Mao et après
Duzan, Brigitte
Lu par : Nicole Chillier-Duchatel
Durée : 13h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21453
Résumé:Voici un merveilleux portrait de la Chine profonde, la Chine rurale, dessinée au jour le jour, dans laquelle le peuple paysan subit l'histoire, mais contribue tout autant à la façonner. Immergée dans le quotidien d'une demeure habitée par trois générations, Brigitte Duzan, invitée de la maison, revit à travers parents, enfants et petits-enfants l'histoire de la Chine des cinquante dernières années vue de l'intérieur - du plus profond de la terre, loin des villes et de la capitale. Elle découvre, et nous raconte, un portrait de famille où s'entremêlent des individualités fortes aux destins irrémédiablement meurtris par un emballement de l'histoire. Chacun est le survivant d'un moment d'un siècle tragique, mais surtout, peut-être, d'une culture millénaire dont il est le dépositaire, et dont les racines affleurent à chaque instant - donnant sa force à ce peuple étonnant. Une façon d'entrer dans l'intimité d'un foyer, et de la partager, pour nous confier, avec tendresse, un document exceptionnel sur la société et la civilisation chinoises d'aujourd'hui. Un livre remarquable.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 5h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19801
Résumé:Des vêtements à peine écartés, des ventres et des reins maladroitement caressés. Des intentions plus que des actes. On donne, on offre, on laisse à l'autre le soin de prendre, de saisir, de posséder. Mais l'autre est dans le trouble de la conquête, avec le trop-plein de lumière qui éclaire la chambre. Il est difficile d'accéder au secret en plein jour. Alors les yeux se ferment, les doigts s'agrippent et les cuisses s'extraient des pantalons. II cherche, soulève, accélère. Je veux bien, veux tout, ne résiste pas. Avoir un corps est la trajectoire d'une enfant qui devient fille, puis femme, racontée du point de vue du corps, une traversée de l'existence, véritable aventure au quotidien où il est question d'éducation, de pudeur, de séduction, d'équilibre, d'amour, de sensualité, de travail, de maternité, d'ivresse, de deuil et de métamorphoses. L'écriture au réalisme vibrant, sensible et souvent drôle, interroge ce corps qui échappe parfois, qui ravit ou qui trahit. Un roman qui rappelle que la tête et le corps entretiennent un dialogue des plus serrés, des plus énigmatiques.
Lu par : Pierre Luisoni
Durée : 6h.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 18832
Résumé:Si Brigitte Perrin est journaliste à la Télévision suisse romande, et politologue, Paul Grossrieder a été dominicain, diplomate, puis directeur du Comité international de la Croix-Rouge et vit aujourd'hui retraité à Charmey, en Gruyère, après une vie bien remplie. Ces deux Suisses qu'une génération sépare - exactement trente ans - abordent dans ce livre quelques grands thèmes qui n'ont rien à voir avec les images d'Epinal de vaches paissant dans de verts pâturages ou de chocolat incomparable, fabriqué par Lindt ou Nestlé. L'action humanitaire est une des caractéristiques helvétiques. Comme il y a beaucoup à faire dans ce domaine on ne sera pas surpris que Paul Grossrieder s'afflige que la Suisse ne consacre que 0.44% de son PIB à l'aide au développement, oubliant que ce genre d'aide publique n'est pas très morale puisqu'elle n'a rien à voir avec la générosité, mais tout à voir avec la charité forcée. Il ne faut pas oublier que les Suisses restent par ailleurs fort généreux, à titre privé, en dépit de la pression fiscale qu'ils subissent. On peut, de toute façon, s'interroger sur le bien-fondé d'une telle aide, qui permet de se donner bonne conscience, alors que dans le même temps d'aucuns s'affligent, comme Brigitte Perrin, que des produits en provenance de pays émergents viennent remplacer des produits suisses; alors que dans le même temps l'on empêche, par des mesures protectionnistes, des produits agricoles de l'hémisphère sud d'être vendus ici. Il faut savoir si l'on veut vraiment que ces pays se développent, sans leur faire l'aumône...
Lu par : Marie-France Javet
Durée : 3h. 51min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 16192
Résumé:Brigitte Kuthy Salvi en effet a perdu la vue à l'âge de quinze ans. Cela ne l'a pas empêchée de terminer ses études - elle est aujourd'hui avocate en Suisse, dans les domaines du droit pénal, de la défense des victimes et du droit de la famille. Son livre, "Double lumière", évoque avec les moyens de la poésie la difficile tâche de "voir derrière cette nuit". L'auteure se souvient des "bougainvillées de mon enfance, mauves vibrant sur le mur blanc". Mais aujourd'hui, c'est la "vraie nuit" qui lui permet d'"ouvrir les yeux". C'est dire qu'il s'agit bien plus que d'un témoignage. Brigitte Kuthy Salvi écrit autour de la vision, au sens profond.
Lu par : Evelyne Rochat
Durée : 6h. 59min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 15538
Résumé:Emilie a épousé son Prince Charmant, Arnaud, un homme d'affaires séduisant et fortuné que lui a présenté sa soeur Anne. Éperdument amoureuse mais désoeuvrée, Emilie s'occupe en visitant une aile abandonnée du manoir familial, sous le regard hostile de la vieille gouvernante. Un jour, elle croit reconnaître la voiture de son mari près du bureau d'Anne. A ce moment, la police arrive : une jeune femme a été assassinée dans l'immeuble voisin. Bientôt, on retrouve un deuxième corps dans les bois du manoir...
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 3h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15318
Résumé:Il ne faut pas dire ce que je fais quand mon institutrice inscrit sur le tableau : raconter une soirée d'automne. II ne faut pas écrire : La nuit qui tombe à cinq heures. Le bruit de la cocotte-minute, le bruit du mixer, la chaise vide de ma soeur, la louche pour servir la soupe, le lait que mon demi-frère verse dans la soupe pour la refroidir, le silence autour de la table. II ne faut pas écrire : Celle qui n'est pas ma mère assise en face de moi. Le début de fou rire qui nous envahit, mon demi-frère et moi, et notre détresse qui grandit en même temps que le jour diminue. II ne faut pas confondre l'énoncé des rédactions avec de vraies questions. Je dois inventer un monde spécialement pour le raconter à mon institutrice. J'apprends qu'on ne peut pas tout dire.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 3h. 2min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14819
Résumé:Dans une semaine, un homme va sortir de prison après avoir purgé une peine de douze ans pour parricide. Il va enfin sortir et l'angoisse point. Où aller ? « Une chose était encore possible : m'en revenir auprès de ma mère vieillissante, usée par la vie et le chagrin. On n'échappe pas au passé. Ma mère, le seul être au monde qui m'ouvrira encore sa porte parce qu'elle sait pourquoi j'ai tué Papa. » Le lecteur va apprendre au fil des pages ce qui l'a construit ou plutôt « déconstruit », ce qui l'a acculé dans cette situation désespérée. La vérité éclatera dans les toutes dernières pages de ce huis clos maîtrisé, terrible et magnifiquement humain.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 1h. 37min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14974
Résumé:Onze voix, onze personnages racontent la fin de l'amour. Comment tout cela est-il arrivé ? Agacements, baisers distraits, affrontements, histoires ratées avant d'avoir commencé, c'est le couple mis à nu, sans les artifices de la fiction. Le couple déchiré et meurtri, quand l'autre n'est plus désiré ou qu'il ne nous désire plus. Quand la conversation amoureuse fait place au monologue et aux reproches. On ne se supporte plus, on ne rêve plus ensemble, on va se séparer. On va parler aux enfants. Ou bien on pense rattraper le temps perdu et on se tait pour éviter le naufrage. La fin de l'amour c'est aussi la disparition de l'être aimé à qui l'on parle seul dans le noir et sans lequel on ne sait plus où est sa place. Ces histoires nous sont familières, nous y retrouvons nos petits arrangements, nos déceptions, notre violence aussi. C'est la vie ordinaire des hommes et des femmes qui tentent, depuis des siècles, l'aventure de l'amour.
Lu par : Flory Lambelet
Durée : 7h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14566
Résumé:Une voiture qui roula dans la nuit. Au volant, Marie, vingt-cinq ans, juriste en entreprise, se hâte de rentrer chez elle. Une femme comme toutes les autres, jusqu'à ce qu'elle heurte violemment une passante et le bébé qu'elle porte. Un accident... Et, pour Marie, l'avenir se dérobe. Désormais, elle n'a plus pour horizon que le mur d'enceinte de Fleury-Mérogis, prison " modèle ". Elle découvre, effarée, un monde rythmé par le bruit des clés et des oeilletons, le pas feutré des " matonnes ", mais aussi les cris, les pleurs et les rires s'élevant des cellules. Loin de son fils de trois ans, dont elle est sans nouvelles, elle doit apprendre à survivre parmi ses nouvelles compagnes : toxicomanes, braqueuses et terroristes... .
Lu par : Simone Bosko
Durée : 4h. 52min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 7030
Résumé:Anaïs, trente huit ans, présente un plan de lancement dans l'agence de publicité qu'elle dirige avec son amie Geneviève, quand elle apprend que sa jeune soeur, Sylvie, vingt huit ans, arrive à Paris le soir même. Elle se trouble : Sylvie, la plus jeune des sept enfants Baudoin, elle l'a aimée bébé, elle l'a rejetée plus tard quand la petite fille mouchardait ses aînés à la mère. Et puis Sylvie, en revenant près d'elle, lui rappelle peu à peu une vie de famille qu'elle a fuie quelques années plus tôt, et dont elle ne s'est jamais délivrée : le père, le colonel indifférent à l'égard de ses enfants ; la mère, plongée dans l'horreur de ses grossesses successives ; des frères et des soeurs qui n'ont rien su construire ; une atmosphère bien pensante pour masquer des drames. Anaïs a rompu complètement avec les siens après le suicide de son neveu Stéphane qui lui a révélé la turpitude de ceux auxquels elle était malgré tout attachée ; elle a fui ce marécage provincial pour réussir, à Paris ; elle a conquis une situation mais a été trop marquée par sa jeunesse pour fonder, à son tour, une famille. Et l'arrivée de Sylvie à Paris réveille en elle des sentiments contradictoires : elle voudrait espérer que la benjamine, à l'aspect triomphant, échappe au destin de ses aînés et s'exaspère de la sentir en proie aux mêmes maux. Elle l'attire et la chasse tour à tour jusqu'au jour où le destin frappe Sylvie. Guérit-on jamais de ceux qu'on ne peut arracher de soi ?