Contenu

Economie du bien commun

Résumé
Avec ce premier livre en français visant un large public, le prix Nobel d'économie 2014 nous fait partager sa passion pour la discipline. Il défend une certaine vision de l'économie, science qui fait le pont entre la théorie et les faits au service du bien commun, et de l'économiste chercheur et homme de terrain. Ce faisant, le lecteur pénètre dans l'atelier d'un économiste, et voyage à travers les sujets affectant notre quotidien : économie numérique, innovation, chômage, changement climatique, Europe, Etat, finance, marché... En dressant un panorama des grandes problématiques de l'économie d'aujourd'hui, Jean Tirole nous fait entrer au coeur des théories dont il est le père.
Durée: 28h. 23min.
Édition: Paris, PUF, 2016
Numéro du livre: 33707
ISBN: 9782130729969
CDU: 300

Documents similaires

Lu par : Manon
Durée : 5h. 33min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 37833
Résumé:« L’immobilier est un placement sans risque », « L’euro a fait grimper les prix », « À la retraite, le niveau de vie baisse »… Qui n’a pas entendu, au comptoir d’un café ou dans un dîner en ville, l’une des multiples idées reçues en économie, mantra qu’on accepte en hochant la tête. Parce qu’on ne sait pas en fait quoi penser, quoi répondre et comment contredire. François Lenglet, le pédagogue de l’économie pour tous, nous explique ici comment démonter ces poncifs, dont les libéraux sont victimes tout comme les anti-libéraux. Car l’économie n’est pas une science exacte : il n’y a pas de lois dans ce domaine, mais des rapports de force, ou des modes amplifiées par le vacarme médiatique. Des bulles qu’il faut savoir dégonfler.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 1h. 46min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 16461
Résumé:L'auteur, John Kenneth Galbraith, définit ainsi son ouvrage : 'Cet essai se propose de montrer comment, en fonction des pressions financières et politiques ou des modes du moment, les systèmes économiques et politiques cultivent leur propre version de la vérité. Un version qui n'entretient aucune relation nécessaire avec le réel'.
Lu par : Jacques Batteau
Durée : 12h. 52min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 34146
Résumé:Le management actuel du capitalisme n'est pas "inefficace", il tue des gens ! La théorie économique dominante n'est pas "discutable", elle est absurde ! Et les politiques "anti-crise" aggravent la crise. Tout cela est vraiment "déconnant", c'est-à-dire insensé, catastrophique et incroyable. Rien n'est plus sidérant que l'aisance avec laquelle une génération entière d'intellectuels, de responsables politiques et de journalistes adhère au même fatras d'âneries économiques et s'enferme dans le déni du désastre engendré par la mise en oeuvre de ses lubies (politique de l'offre, compétitivité, chasse aux déficits, "modèle allemand"). Comprendre cet effondrement général de l'entendement, tel est l'objet de ce livre. Les premiers chapitres composent une sorte d'anti-manuel (la déconnomie politique, la déconnomie européenne, allemande, théorique, etc) démontrant l'absurdité des recettes à la mode. L'auteur explique ensuite pourquoi on ne peut pas imputer les politiques "déconnantes" au seul complot d'une élite au service des riches. Il s'agit donc de comprendre la "bêtise des intelligents" (Attali, Ferry, Macron, Valls, Hollande) et l'obscurantisme des prix Nobel d'économie (Tirole). Une part de l'explication tient à l'enseignement de l'économie. Une autre au dévoiement de la démocratie en système d'élection des moins doués pour la chose publique.
Lu par : Laurence Allera
Durée : 2h. 26min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 34556
Résumé:« L'élection de Donald Trump envoie un message définitif à l'establishment américain. L'expulsion des loyalistes en 1780 avait signifié le caractère irréconciliable de la rupture définitive avec la métropole britannique. La violence sanguinaire de la guerre de Sécession avait rendu définitivement inacceptable la poursuite de l'esclavage. Le reste mit un bon siècle à accoucher mais, dès cette époque, la citoyenneté était ouverte à tous les habitants noirs et, plus tard, indiens et asiatiques du pays. « Your huddled masses yearning to breathe free » (Vos masses en rang serrés aspirant à vivre libres), proclame fièrement la Statue de la Liberté du frère franc-maçon et français Bartholdi dans les vers magnifiques de la poétesse juive new-yorkaise Emma Lazarus. Aujourd'hui, malheureusement, la leçon joue dans l'autre sens : n'abandonnez pas le peuple au profit d'une culture que nous rejetons, disent les électeurs de Donald Trump. Mais que s'est-il passé au cœur de la société américaine pour que nous en soyons là ? Stupéfait moi aussi de cette élection, je questionne ici l'Empire américain, l'histoire de ses héros, réels ou symboliques ; les racines de la contre-révolution ; et bien sûr les inquiétantes relations internationales... »
Durée : 8h. 30min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 21222
Résumé:" Oui, ce fut bien une Apocalypse, au sens originaire de l'expression, une révélation de notre monde, que ce terrible spectacle du 11 septembre 2001. Mais comme toutes les révélations antérieures, la lumière qui s'en dégagea était bien trop crue, dans un premier temps, pour nous livrer autre chose qu'elle-même... La pénombre qui s'abattit sur Manhattan s'est aujourd'hui dissipée. L'émotion s'est estompée, comme les images d'un Wall Street dominateur soudain réduit en cendres. Mais sommes-nous plus lucides pour autant ? Les mois ont passé, et il faut maintenant essayer de penser ce nouveau monde. J'ai mêlé ici les intuitions et la connaissance. Le temps de l'hypothèse et le temps de l'Histoire. Je veux donner une boussole à ceux qui savent que la planète ne s'arrête pas aux frontières de l'Hexagone, ni aux étroits parapets de la vieille Europe. "
Durée : 12h. 10min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69366
Résumé:Dans un monde traversé de violence et de changements de toutes natures liés entre autres à notre vision à court terme du progrès, comment lancer une insurrection des consciences, quel sens donner à nos vies et comment agir ? Nicolas Hulot et Frédéric Lenoir, forts de leurs expériences riches et singulières, apportent ici un éclairage nouveau, pratique et spirituel sur les enjeux majeurs du XXIe siècle qui nous concernent tous. « Nous ne traversons pas un moment de crise anodin, nous vivons un moment décisif pour l’avenir de l’humanité. Comment s’extraire d’une dynamique qui nous échappe et d'un système qui nous conduit dans une impasse ? Nous avons chacun éprouvé combien les résistances au changement - en nous, comme dans le monde politique et économique - sont grandes. Nous avons vu la beauté de notre planète, la richesse de l’humanité, et nous avons souffert de les voir saccagées. Pourtant, comme tant d’autres, nous refusons de nous résigner. Un autre monde est à notre portée. Un monde fondé sur l’humilité, la sobriété et le partage. Un monde où les joies profondes seraient plus désirées que les plaisirs éphémères. Un monde plus équitable, plus fraternel, davantage relié à la Terre. Ce monde n’est pas une utopie. Nous pouvons tous contribuer à le faire advenir. Mais cela ne sera possible que par une révolution des consciences. C’est à cette conversion de notre esprit et de nos modes de vie qu’aimerait contribuer modestement ce livre, fruit du partage de nos réflexions et de nos expériences. »
Lu par : Marie Maunand
Durée : 7h. 50min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69773
Résumé:L’épidémie de coronavirus et l’expérience du confinement généralisé ont confronté notre pays à une épreuve inédite et singulière. Fait social total, la propagation du virus a mis à l’arrêt l’économie, bouleversé l’agenda gouvernemental et notre vie quotidienne. Durant cette période très particulière, l’IFOP, à l’initiative de Jérôme Fourquet, a réalisé une série d’enquêtes quantitatives visant à donner la mesure du niveau d’inquiétude de la population, du jugement porté par elle sur l’action des pouvoirs publics et de la façon dont ont été appliquées les consignes sanitaires. Mais, parallèlement à cette batterie d’enquêtes inédites, l’institut a également déployé, avec Le Point et la Fondation Jean-Jaurès, un dispositif d’observation au long cours : 33 Françaises et Français de toutes conditions, de tous âges et régions ont été suivis par l’équipe d’enquêteurs pendant plusieurs semaines. Comment les Français ont-ils réagi à l'évolution de l'épidémie et quelles sont leurs attentes maintenant ? Cadre télétravaillant depuis l’île de Ré versus caissière aux avant-postes, jusqu’à quel point le confinement a-t-il constitué une épreuve partagée et comment les différences ont-elles été appréhendées ? L’épidémie et le confinement ont-ils raffermi le sentiment d’appartenance collective ou exacerbé les fractures déjà à l’œuvre ? En d’autres termes, le Covid-19 a-t-il joué le rôle d’antidote ou de révélateur de l’« archipelisation » de la société française ? L’état d’esprit dans lequel les Français abordent la nouvelle phase de l’épreuve sanitaire a mûri dans le secret du confinement. Mais c’est bien lui qui déterminera la séquence dans laquelle nous entrons maintenant. Jérôme Fourquet est analyste politique, directeur du département Opinion à l’IFOP. Marie Gariazzo, Gaspard Jaboulay, François Kraus et Sarah Wolber, qui travaillent également à l’Ifop, ont écrit ce livre avec lui.
Durée : 14h. 8min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69769
Résumé:« À compter du 16 mai 2007, j’étais seul. Bien sûr, il y avait le peuple français, mais sa force collective ne s’exprime pas dans le quotidien des décisions à prendre, ou des nominations à effectuer. J’avais une équipe, des conseillers, des amis, des visiteurs du soir, mais j’étais seul à prendre et à assumer la décision finale. C’est le premier sentiment qui m’a envahi après avoir raccompagné Jacques Chirac à sa voiture et être remonté dans le bureau présidentiel qui était devenu le mien pour les cinq années à venir. Je l’avais voulu, espéré, rêvé. Maintenant j’y étais. Comment ne pas décevoir tous les Français qui venaient de me faire confiance ? Qu’est ce qui m’attendait ? J’ai fermé les yeux. Tout d’un coup, la gravité et, surtout, la solitude propre à la fonction me tombaient sur les épaules. C’était plus brutal que je ne l’avais imaginé. Soudain, mon passé avait disparu comme s’il n’avait jamais existé, seuls comptaient désormais le présent et l’avenir. C’était vertigineux, tellement fort que cela ne provoquait bizarrement aucune excitation intérieure. J’étais tout à la fois calme et parfaitement conscient d’être au bord d’un précipice. »
Lu par : Sylvie Marsac
Durée : 4h. 23min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 12808
Résumé:Un pas en avant, deux pas en arrière. Constat peu glorieux ? "Fausse route" d'Élisabeth Badinter dresse un état des lieux des luttes féministes. Rappelant que la différence des sexes est un fait qui ne doit pas prédestiner aux rôles et aux fonctions, Élisabeth Badinter pointe, dénonce parfois, les contradictions d'un féminisme "obsédé par la problématique identitaire". Et l'auteur de poser la question : quels sont les réels progrès réalisés depuis quinze ans ? À étudier de près les phénomènes sociaux et comportementaux durant les deux dernières décennies, aussi bien dans le monde oriental que dans le monde occidental, on prend conscience de la pérennité d'une guerre des sexes, doublée d'une renaissance des stéréotypes sexuels. Au-delà de ce constat, Élisabeth Badinter décrypte la tendance insidieuse d'un nouveau féminisme qui a retrouvé les accents moralisateurs du judéo-christianisme, voire la naissance d'une "bien-pensance féminine" ou - pire - une dérive d'un féminisme guerrier. Qu'on ne se trompe pas : la guerre des sexes a toujours lieu. Élisabeth Badinter rappelle que "l'indifférenciation des sexes n'est pas celle des identités. C'est au contraire la condition de leur multiplicité et de notre liberté".
Durée : 5h. 58min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 66676
Résumé:Tous deux sont valaisans, tous deux sont des hommes politiques, tous deux appartiennent au PLR, fusion du Parti libéral suisse et du Parti radical-démocratique. Parmi le ssujets abordés : - L'État social, L'Europe, Le libéralisme aujourd'hui, Culture et médias, Service public ou service au public, etc.
Lu par : Liliane Pierré
Durée : 6h. 24min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 15326
Résumé:On a longtemps pris la parole de l'homme pour la vérité universelle et la plus haute expression de l'intelligence, comme l'organe viril constituait la plus noble expression de la sexualité. Il faut que les femmes crient aujourd'hui.- Et que les autres femmes - et les hommes - aient envie d'entendre ce cri. Qui n'est pas un cri de haine, à peine un cri de colère, car alors il devrait se retourner contre elles-mêmes. Mais un cri de vie. Il faut enfin guérir d'être femme. Non pas d'être née femme mais d'avoir été élevée femme dans un univers d'hommes, d'avoir vécu chaque étape et chaque acte de notre vie avec les yeux des hommes et les critères des hommes. Et ce n'est pas en continuant à écouter ce qu'ils disent, eux, en notre nom ou pour notre bien, que nous pourrons guérir. B. G.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 4h. 55min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 16946
Résumé:Elle (E. Badinter) constate un repli inquiétant sur le terrain des droits des femmes, lequel se manifeste, par exemple, par la forte baisse de la natalité dans tous les pays développés (bien moins nettement en France comme on sait), la hausse conjointe du nombre de femmes qui ne veulent pas avoir d'enfant (en dix ans, la proportion a doublé), le regain des discours naturalistes visant à river les femmes à leur rôle de mère, et plus spécifiquement par le biais d'un diktat concernant l'allaitement. La barque de la maternité est aujourd'hui chargée de trop d'attentes, de contraintes, d'obligations. Il y a péril tant pour la femme et le couple que pour le lien social : quelle perspective offre une société où le fait d'avoir un enfant serait le lieu d'un clivage fatidique ?