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Recherche par auteur : Kierkegaard, Sören

5 résultats.

Lu par:Jean Frey
Durée:6h. 33min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:19426
Résumé: Crainte et tremblement (Frygt og Bæven) est un essai du philosophe danois Søren Kierkegaard, publié le 16 octobre 1843 sous le pseudonyme de Johannes de Silentio (Jean le Silencieux). Le titre de l'ouvrage vient de l'épître aux Philippiens : « Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent »1 Abraham, lorsqu'il part en montagnes pour sacrifier son fils Isaac, est-il un simple meurtrier ou non ? Le philosophe allemand Hegel disait à son sujet qu'il était le « père de la foi », mais son acte entre-t-il en contradiction avec les conceptions éthiques et morales de ce dernier ? Telle est la question de cet ouvrage qui a pour thématique de montrer la discontinuité qui peut exister entre l'éthique et la foi. L'éthique vise le général, tel des préceptes généraux comme « tu ne dois pas tuer », etc. auxquels tout homme peut se conformer. De ce point de vue, celui qui tue son fils — ou qui est prêt à le faire — est un meurtrier. La foi par contre joue à un niveau différent, beaucoup plus personnel. À ce niveau-là n'existent pas de paroles pour expliquer ou justifier des actes qu'on accomplit. Ainsi, la foi comporte des paradoxes inexplicables, comme Abraham à qui Dieu a promis une progéniture nombreuse et à qui il commande maintenant de sacrifier son seul fils : Abraham part pour le sacrifice, prêt à le faire, tout en croyant — paradoxalement pour la raison, ou comme le dit l'auteur « en vertu de l'absurde » — qu'il gardera son fils. (http://fr.wikipedia.org)
Lu par:
Durée:2h. 3min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:9081
Résumé: "Dans la ville de H. vivait, il y a quelques années, un jeune étudiant nommé johannes Climacus ; il ne cherchait nullement à se faire remarquer dans le monde, n'ayant d'autre joie que de vivre retiré et tranquille. Ceux qui le connaissaient un peu mieux cherchaient à expliquer par la mélancolie ou par l'amour cette nature renfermée qui fuyait tout contact durable avec les hommes. Les partisans de la dernière hypothèse n'avaient pas entièrement tort ; ils se trompaient cependant en prenant une jeune fille pour l'objet de ses rêves."... ainsi commence cet extraordinaire conte inachevé de Kierkegaard sur les désarrois du jeune Climacus emporté par une insolite passion : la passion pour la philosophie.
Durée:6h. 17min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:15355
Résumé: Johannes séduit Cordelia, imperceptiblement, s'imisce dans ses pensées, dans sa vie et suscite ses ardeurs. Puis dés lors qu'elle s'abandonne à lui, se rétracte et mystérieusement se retire: l'innoncence est bafouée par ce Don Juan nordique...
Lu par:AVH
Durée:16h. 57min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:71135
Résumé: Les deux premiers ouvrages ont été écrits en 1844, la même année où Marx rédigeait ses fameux Manuscrits de Paris : cette année est le symbole de la réaction antihégélienne, c'est-à-dire de la réaction antiphilosophique au sein de laquelle nous sommes encore plongés. Le Traité du désespoir date de 1849. Ces textes préparent la critique nietzschéenne, car ils manient la même ironie, prêtent la même attention au style philosophique, attaquent de front la tradition et ses principes les mieux établis. Kierkegaard reste le fondateur de la pensée «existentialiste», qu'elle soit chrétienne, athée ou marxisante.
Durée:6h. 1min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:13025
Résumé: Kierkegaard s'intéresse à l'individu, libre et responsable, maître de son destin. Il montre notamment comment un désespoir conscient et intelligent peut mener à la réalisation de nos aspirations. Ce désespoir, s'alliant à la foi en Dieu, s'oppose au fatalisme et au déterminisme. Il est alors foi dans le possible, lutte pour la vie, dans la mesure du sentiment tragique de la finitude. La pensée de la mort doit nous pousser à vivre !