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Recherche par auteur : Jobin, Jean-François

2900 résultats. Page 118 sur 145.

Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 1h. 1min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18294
Résumé:Est-on condamné à ressembler un jour au grand frère qui bave devant la télé en se gavant de biscuits ? Malheureusement, quand on a onze ans, l'adolescence vous guette et la menace se rapproche à grands pas... Avec un peu de chance, on se fera peut-être un ami aussi extraordinaire que Klonk, qui connaît un remède infaillible pour s'en sortir.
Lu par : Jean Frey
Durée : 9h. 47min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 18255
Résumé:Démystifions l'Histoire ! Car, loin d'être constituée de parfaits héros, elle est surtout faite de simples mortels... Avec leurs défauts et leurs failles, que la chronique officielle a bien pris soin de nous dissimuler. Secrets, mensonges et manigances nous sont ici révélés sans chichis et changeront à tout jamais notre perception de l'Histoire et de ses grands hommes. Pas de quartiers, les idées reçues historiques en prennent pour leur grade. George Washington, le "père de la nation" américaine, était loin d'être le grand altruiste que l'on nous dépeint aujourd'hui ; Jules César n'a peut-être pas été assassiné ; nos chers jeux Olympiques modernes ont été créés pour des raisons très différentes de ce qu'on voudrait nous faire croire ; et Jeanne d'Arc... était sûrement un homme !
Lu par : Janick Quenet
Durée : 18min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18391
Résumé:Paroles de sagesse, enseignements et poèmes de l'Egypte ancienne.
Lu par : Eddy d''Hoker
Durée : 15h. 40min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 18201
Résumé:Sauveurs de l'humanité ou pires criminels, les médecins ont entre leurs mains la vie et la mort de leurs semblables, et les moyens de commettre le meilleur comme le pire. Ils s'appellent docteur Fleming, savant aussi génial que modeste, auteur de la plus grande découverte de l'histoire de la médecine ou docteur Adams, le célèbre « tueur de vieilles dames », qui dans les années cinquante, a vraisemblablement expédié dans l'autre monde plusieurs dizaines de patientes sans jamais être condamné par la justice. Le cadre de ces histoires haletantes peut être l'hôpital, bien sûr, comme le plus grand établissement de Lyon plongé dans l'obscurité à cause d'une panne électrique, mais aussi — car l'accident et la maladie frappent où ils veulent — les lieux les plus inattendus, comme le Pôle Sud où cette femme médecin doit se soigner elle-même d'un cancer, comme dans un village perdu d'Australie où ce joueur de rugby doit être opéré à l'aide d'une chignole. Mais quoi qu'il en soit, qu'il s'agisse de cet homme mordu par un crotale en Région parisienne, de cet enfant atteint de la maladie des os de verre, ou de ces greffes vitales qu'on attend et qui n'arrivent pas, dans tous les cas, il y a urgence.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 4h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18848
Résumé:L'homme occidental passe plus de temps en voiture que dans le lit des dames. Fort de cette constatation et de cette expérience, j'ai décidé d'explorer la place qu'a prise l'automobile dans nos plaisirs, notre travail, nos glorioles, nos pulsions secrètes, nos rêves. Il m'est arrivé, jadis et naguère, d'analyser la présence des animaux familiers dans ma vie, c'était Lettre à mon chien, ou mes propres souvenirs et colères, dans Un petit bourgeois et Le Musée de l'homme. Ce livre-ci n'est pas de nature si différente, qui passe en revue, aussi gaiement que possible, les divers aspects d'un asservissement adorable. Asservissement ? Nul, ou presque, n'y échappe. Tout humain est, a été ou sera bagnolard. (Ne s'agit-il pas aussi d'une espèce (le bagne ?...) Je n'ai rien exclu des flâneries de ce livre. Ni les dream cars, ni la Deuche, ni les malotrus de la vitesse, ni les maniaques de la nénette, ni les drogues de l'accessoire. La boîte automatique, la fameuse manoeuvre pointe-talon (que je confesse n'avoir jamais comprise ni pratiquée...), la suspension molle, le citroënisme, la symbolique virile du levier de vitesse, le vroum-vroum et la conduite coulée, l'auto-strada et l'Autobhan, c'est tout l'univers fantasmatique de l'automobile qu'Autos Graphie évoque - sans oublier, ici et là, l'amour, l'âge et la mort, qu'on ne saurait éloigner longtemps d'un tel sujet, parût-il frivole. Peut-on se réclamer à la fois de Paul Morand et de Roland Barthes, de L'Homme pressé et des Mythologies ? Je le crois, et j'espère prouver ici que la pratique opiniâtre et voluptueuse de la conduite automobile peut tenir lieu de sensualité, de psychanalyse et de recherche du temps perdu.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 9h. 33min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 18475
Résumé:"Jusqu'où irons-nous ? Jusqu'à quand serons-nous vivants ? Quelles raisons donnerons-nous à notre histoire ? Parce qu'il faudra bien un jour trouver une raison, donner une raison, nous ne pourrons pas accréditer notre innocence. Où que nous soyons, quelle que soit notre destination finale (si une telle chose existe), il nous faudra rendre compte, rendre des comptes. J'ai été, j'ai fait, j'ai possédé. Et un jour je ne serai plus rien. Pareil à ce wagon lancé à une vitesse inimaginable, incalculable, sans doute voisine de l'absolu, entre deux mondes, entre deux états. Et pas question qu'aucun d'entre nous retourne jamais à ses états, je veux dire à son passé, à ce qu'il, à ce qu'elle a aimé. Pour cela les visages sont figés, immobiles, parfois terreux, on dirait des masques de carton bouilli ou de vieux cuir, avec deux fentes par où bouge le regard, une étoile de vie accrochée au noir des prunelles."
Durée : 4h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18151
Résumé:Monsieur Salim vit bien malgré lui, dans une résidence pour l'âge d'Or... Pour tromper l'ennui et le temps qui s'égrène, il voyage dans sa tête dans un carnet de souvenirs qu'il appelle son « livre invisible ». Natif du Maroc, il y raconte sa vie depuis ce jour où un couple de Français l'a adopté jusqu'à sa rencontre avec Hassan, fils d'immigrés marocains. Hassan est le représentant type de cette deuxième génération d'immigrés pris dans la tourmente du décalage perpétuel entre leur vie et celle de leurs parents, entre leurs habitudes de vie moderne et le poids des traditions et des coutumes. Une distorsion douloureuse qui peut faire basculer un avenir en quelques instants de dérive ou d'échecs... (Alexandra S. Holstein / http://livresplus.com)
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 6h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18345
Résumé:Victime d'un terrible et rarissime accident d'ascenseur dans une tour de Montréal, Paul Sneijder découvre, en sortant du coma, qu'il en est aussi l'unique survivant : sa fille bien-aimée, Marie, est morte sur le coup avec les autres passagers. Commence alors pour Paul Sneijder une étrange retraite spirituelle qui le conduit à remettre toute son existence en question. Sa femme (qui le trompe), ses deux fils (qui le méprisent), son travail (qu'il déteste, et qu'il finira par quitter), tout lui devient peu à peu indifférent. Jusqu'au jour où, à la recherche d'un job, il tombe sur l'annonce qui va lui sauver la vie : il devient promeneur de chiens pour l'agence Dog Dog Walk... Le cas Sneijder est un livre bouleversant sur un homme qui refuse de se résigner à la perte de sa raison de vivre. Mais ce roman plein de mélancolie est aussi une comédie saugrenue dans laquelle Jean-Paul Dubois donne libre cours à la fantaisie la plus débridée : entre une esquisse d'une Théorie générale des ascenseurs, la description d'un adultère qui n'échappe pas au grotesque et une plongée dans le monde des promeneurs de chiens, l'auteur d' « Une vie française » affirme à nouveau son goût pour l'humour noir.
Durée : 13h. 59min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 18301
Résumé:L'état de la faim dans le monde et des moyens de l'éradiquer par celui qui fut, pendant près de dix ans, en charge du dossier auprès du Secrétaire général de l'ONU. Toutes les trois secondes, un enfant de moins de dix ans meurt de malnutrition, tandis que des dizaines de millions d'autres, et leurs parents avec eux, souffrent de la faim et de ses terribles conséquences physiques et psychologiques. Et pourtant, nous le savons aussi, l'agriculture d'aujourd'hui serait en mesure de nourrir 12 milliards d'êtres humains. Nulle fatalité, donc. Mais comment en sortir ? D'abord, prendre conscience des dimensions exactes du problème : un état des lieux documenté, mais vibrant de la connaissance du terrain, ouvre le livre. Comprendre ensuite les raisons de l'échec des formidables moyens mis en oeuvre depuis la Deuxième Guerre mondiale pour éradiquer la faim. Puis identifier les ennemis du droit à l'alimentation. Enfin, bien comprendre les deux grands mécanismes à travers lesquels progresse la faim aujourd'hui : la production d'agro-carburants et la spéculation sur les biens agricoles.
Durée : 7h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18120
Résumé:Loin de Justine, très loin de Juliette : ainsi pourrait-on situer ce roman qui occupe une place à part dans l'oeuvre de Sade. Rien de plus avouable, en effet, que ces pages où l'auteur exalte la grandeur de la vertu persécutée; texte décent s'il en fut, dont l'héroïne, trop belle, trop riche, déjoue l'un après l'autre les pièges de ses diaboliques beaux-frères. Tout se conjugue - enlèvements et complots, scélérats et débauchés - pour transformer en roman noir ce qui fut au départ un fait divers scandaleux. Car Sade s'inspire ici d'une affaire criminelle datant du règne de Louis XIV, comme pour marquer du sceau de l'Histoire une intrigue dont chaque ressort semble issu de son imagination : en s'autorisant l'univers le moins sulfureux qu'il ait jamais conçu, il se drape dans une apparente innocence pour mieux devenir le témoin impassible de ses propres abîmes.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 10h. 21min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 18310
Résumé:Jeannot a douze ans. Il est écolier dans une petite ville de l'Ain, en 1943. Son jeune instituteur annonce à ses élèves qu'ils ne le verront plus : il rejoint le maquis. Le portrait du maréchal est alors la première victime d'une révolte obscure. Ainsi débute le récit d'une adolescence à une époque et dans une région très particulières. Le petit peuple de France n'a pas toujours été ce peuple amorphe, douteux, que présente la rumeur. Dans l'Ain, à plusieurs reprises, la Résistance et le maquis manifestent, libèrent des villes, des villages. Puis l'armée allemande revient en force et la répression est terrible. La vie quotidienne de Jeannot - école, amitiés, éveil de la sexualité et du sentiment amoureux - est bouleversée par des épisodes d'une extrême violence. Ces mois de nuit et de sang où se révèle le visage de l'homme, Jean Pérol a l'art de leur donner une dimension poétique, sans jamais les priver de leur vérité, une vérité brute, indiscutable.
Lu par : Geneviève Roy
Durée : 1h. 45min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18150
Résumé:« Je suis veuf, Sylvie est morte le 12 novembre, c'est bien triste, cette année on n'ira pas faire les soldes ensemble. Elle est partie discrètement sur la pointe des pieds, en faisant un entrechat et le bruit que fait le bonheur en partant. Sylvie m'a quitté, mais pas pour un autre. Elle est tombée délicatement avec les feuilles. On discutait de la couleur du bec d'un oiseau qui traversait la rivière. On n'était pas d'accord, je lui ai dit tu ne peux pas le voir, tu n'as pas tes lunettes, elle ne voulait pas les mettre par coquetterie, elle m'a répondu je vois très bien de loin, et elle s'est tue, définitivement. J'ai eu beaucoup de chance de la rencontrer, elle m'a porté à bout de bras, toujours avec le sourire. C'était la rencontre entre une optimiste et un pessimiste, une altruiste et un égoïste. On était complémentaires, j'avais les défauts, elle avait les qualités. Elle m'a supporté quarante ans avec le sourire, moi que je ne souhaite à personne. Elle n'aimait pas parler d'elle, encore moins qu'on en dise du bien. Je vais en profiter, maintenant qu'elle est partie. » Jean-Louis Fournier souhaitait mourir le premier, il a perdu. Sa femme partie, il n'a plus personne avec qui parler de lui. Alors pour se consoler, ou pour se venger, en nous parlant d'elle, il nous parle de lui.
Lu par : Gilbert Wursten
Durée : 4h. 56min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 18336
Résumé:Un homme se promenait. Un homme ordinaire avec un couteau ordinaire planté dans la poitrine. Le couteau était planté jusqu'à la garde et ça n'avait pas l'air de le déranger. Il semblait seulement fatigué.Très fatigué...Tout d'abord, il y a les personnages : un chirurgien qui n'arrête plus de saigner, un enfant qui colle aux gens qu'il touche, un autre dont la peau se transforme en billets de banque... Il y a aussi cet homme qui voit son ombre se détacher de lui, cet autre au corps blessé par l'impact des mots, sans oublier celui dont la gorge crie du papier...Et puis il y a cette voix, celle d'un narrateur qui aimerait simplement être là, parler en son propre nom, mais qui décroche sans cesse, qui s'échappe malgré lui dans l'imaginaire, qui trouve toujours plus facile de raconter des histoires que de parler de soi.
Lu par : Serge Vulliens
Durée : 7h. 19min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18256
Résumé:L'argot, ou langue verte, fait immédiatement penser à Paris, ses quartiers dictionnaire-argot.gif mal famés, ses mauvais garçons, la Cour des Miracles, la Grande Truanderie, Villon, Vidocq, Simonin, Le Breton, etc. L'emploi de l'argot chez les voyous permettait à toute cette faune de s'établir en confrérie, de pouvoir jacter à l'abri des esgourdes indiscrètes, d'avoir sa langue propre comme possédaient la leur Auvergnats, Bretons, Corses et bien d'autres émigrés dans la capitale. Entre les mots créés pour l'occasion, les mots déformés par adjonction, par duplication, par troncation, et toutes les métaphores souvent humoristiques, l'argot a évolué au fil des temps pour imprégner la langue française et même être digéré par elle. Dans bien des cas l'argot s'est banalisé et au fin fond des cambrousses parfois on jacte argomuche. On le jaspine sans le savoir tout comme monsieur Jourdain « prosait » en toute ignorance. Bruant, Brassens, Renaud sont les poètes les plus connus de la langue verte. Simonin, Le Breton, Ange Bastiani, Carco, les prosateurs. San Antonio, Pierre Perret les créateurs, les innovateurs, les néologues ou néologiciens. Pourtant un petit parcours dans les oeuvres de Théophile Gautier, de Zola, de Balzac, de Victor Hugo, de Maxence Van der Meersch, ce ne sont que des exemples choisis, prouvent que nos classiques ont su user de l'argot.
Durée : 2h. 57min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 18338
Résumé:Dans ce recueil, Jean-Christophe Rufin interroge une fois de plus le monde contemporain, à travers la fiction. Du Mozambique à l'île Maurice, d'un train pour l'Allemagne au Sri Lanka, ces récits brefs et enlevés scrutent l'humanité en marche, telle qu'on peut l'observer aujourd'hui. Si le ton est souvent enjoué, le propos n'en est pas moins sérieux : chaque histoire invite à la découverte et à la réflexion. Sans jamais se départir d'un plaisir d'écriture évident, Jean-Christophe Rufin parvient à introduire dans des récits prenants la description précise et intelligente d'un pays, d'une situation. Il sait inviter le lecteur à la réflexion sans jamais renoncer à l'émouvoir, ni à l'amuser.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 5h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18303
Résumé:Mystérieusement, Bratislava attirait toujours mon regard. Si les quatre syllabes rocailleuses, baignées d'eaux danubiennes et de songes slaves, ne m'avaient pas ainsi fasciné, ce livre n'eût sans doute pas existé. Ma vie en eût été changée, comme est détourné le cours d'un ruisseau : serais-je allé là-bas, en 1947, fêter mes vingt ans ? Y serais-je retourné, la cinquantaine bien entamée, à la poursuite d'images presque effacées mais douées de la patiente insistance des songes ou de l'oubli ? François Nourissier
Durée : 7h. 54min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 18139
Résumé:Les chirurgiens d'aujourd'hui oublient souvent qu'ils n'existent que grâce au cul du Roi Soleil, quand à bout d'artifices, les médecins en robe longue ne peuvent qu'appeler en consultation un dénommé Félix, barbier de son état, pour qu'il tente de guérir le Roi de sa fistule anale. Car après bien des péripéties, Félix parvient à obtenir la guérison du postérieur royal... Il demande alors au Roi de créer enfin le métier de chirurgien en le séparant de la « barberie », ce qui va engendrer bien des discussions avec les médecins et d'inattendus conflits d'intérêts. Qu'y a-t-il de plus banal que se laver les mains ? Qui ne sait pas aujourd'hui qu'il s'agit du moyen le plus simple mais incontournable pour éviter la contagion ? Et pourtant Ignace Semmelweis doit subir en 1850 toutes les avanies du monde pour avoir supplié ses confrères de l'hôpital de Vienne de bien vouloir le faire, afin de sauver les jeunes femmes qui mouraient les unes après les autres d'infections dans les suites de couches.
Lu par : Raymonde Aubert
Durée : 3h. 41min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18238
Résumé:"Elle aurait aimé crier, se battre, soustraire Jean à cette fin. Elle aurait tant voulu prolonger leurs âges, vivre jusqu'au bout. Qu'ils s'accompagnent mutuellement, longuement, le plus longuement possible et entrer dans la nuit ensemble en se tenant la main. Maintenant il fallait peu à peu envisager, admettre, accepter le poids de cette main froide, qui n'avait plus de vie, qui n'avait plus de sens. Admettre, accepter, se résigner. Non. Jamais, Ce serait comme trahir." De la guerre d'Espagne à la chute du mur de Berlin, Andrée Chedid fait le portrait d'un enfant du siècle dans ce roman profond et émouvant qui est comme la quintessence de toute son oeuvre. Née en 1920 au Caire de parents libanais, Andrée Chedid est romancière et poétesse. Parmi ses livres qui ont connu un grand succès en france et à l'étranger, citons " L'enfant multiple", "Le Sixième Jour" et "Le Message".
Durée : 1h. 3min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 18048
Résumé:Présentation de l'éditeur : Voici qautre contes inédits par l'auteur du Hussard sur le toit. Quatre contes délicieux, d'inspiration persane pour les uns, orientales pour les autres. Dans Le noyau d'abricot, afin de se venger des moqueries de son ancien amant le djinn Nûr, Paquette le transforme en noyeau d'abricot et le suspend à un arbre... Dans Le buisson d'hysope, on apprendra l'origine des oliviers de Provence. Le prince qui s'ennuyait nous montre ce qu'il arrive aux méchants princes quand ils se moquent des fées, et grâce à La princesse ayant envie, nous découvrirons les pouvoirs des grains de raisin contre l'ennui. Les plaisirs facétieux d'un grand conteur du XXe sièle.
Lu par : Jean Frey
Durée : 8h. 53min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 17949
Résumé:En une soixantaine de textes courts, François Béguin, ancien directeur de la Maternité de Genève, évoque l'évolution spectaculaire de l'obstétrique moderne, les avancées, défis et problèmes qui ont marqué cette spécialisation durant la deuxième moitié du XXe siècle. L'auteur soulève les questions posées par la médicalisation de la reproduction humaine et aborde, sous le prisme de son expérience personnelle, divers sujets de controverse : interruption volontaire de grossesse, accouchement à domicile, rôle de la sage-femme, médecines douces, Mouvement de libération des femmes, prostitution, aide médicale au suicide, obstétrique et religion, xénophobie, etc. Il relève la notion de beauté caractéristique de la grossesse et de la naissance, la relation entre les arts et le début de la vie. Alliant souvenirs et réflexion, François Béguin livre ici un témoignage authentique, subtil, teinté d'humour, qui esquisse les contours d'une profession passionnante.