Recherche par auteur : Faye, Eric
6 résultats.
De:Faye, Eric
Lu par:Alexandra Binet
Durée:3h. 12min.
Genre:Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture:Le narrateur est captivée par une jeune femme, Sandrine Broussard. Elle lui raconte les épreuves qu'elle a traversées, la maltraitance dans son enfance, l'argent facile, les arnaques et les fausses identités. A ses yeux, elle est son contraire et il tente de puiser en elle la capacité de se détacher du monde.
De:Faye, Eric
Lu par:Patrick Langlois
Durée:6h. 50min.
Genre:Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture:A Prague, en 1995, une femme prétend recevoir régulièrement la visite d'un certain Frédéric Chopin, mort depuis un siècle et demi. Ludvik Slany, journaliste, enquête sur cette histoire pour la télévision.
De:Faye, Éric
Lu par:Daniel Schreiber
Durée:4h. 54min.
Genre:Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture:Je vous ai reconnu comme faisant partie des nôtres. Voilà. Nous autres, lorsque nous rencontrons quelqu'un comme vous... nous cherchons intuitivement quel enfant il a pu être dans la cour de l'école, avec encore en lui les espoirs, les émerveillements qu'il perdra un à un. Nous remontons avant la catastrophe. Avant le moment où Mozart a été assassiné. Quand l'enfant croit encore en lui. A ses chances, sans imaginer qu'à son âge, la plupart des portes sont déjà closes.
De:Faye, Éric
Lu par:Raymonde Aubert
Durée:1h. 58min.
Genre:Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture:Un simple fait divers dans un quotidien du matin à Nagasaki. Tout commence par des disparitions, en effet, des déplacements d'objets.Shimura-san vit seul dans une maison silencieuse qui fait face aux chantiers navals de Nagasaki. C'est un homme ordinaire, qui rejoint chaque matin la station météorologique de la ville en maudissant le chant des cigales, déjeune seul et rentre tôt dans une retraite qui n'a pas d'odeur, sauf celle de l'ordre et de la mesure. Depuis quelque temps déjà, il répertorie scrupuleusement les niveaux et les quantités de nourriture stockée dans chaque placard de sa cuisine. Dans ce monde contre lequel l'imprévu ne pouvait rien, un bouleversement s'est produit. Devant l'écran de son ordinateur et grâce à sa caméra, Shimura-san finit par apercevoir l'intruse. Il y a bien quelqu'un chez lui. Il a vu son profil. Il l'observe. Il attend d'être sûr. Est-ce une hallucination, un fantôme de ses échecs sentimentaux passés, une amante amère et revancharde ? Il finit par appeler la police. L'invitée est embarquée et mise en cellule.
De:Faye, Éric
Lu par:Stéphane Meuleau
Durée:3h. 54min.
Genre:Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture:Quelques mots singuliers entendus enfant dans la conversation ses grands, quelques cartes figurant les monuments d'une cité mythique, un livre qui tombe d'un rebord de table et s'ouvre à la page du 2 mai 1950, une villa blanche qui vous rappelle l'Afrique, et un vieux poste de radio, et revoilà la légende du Rosebud, le souvenir qui imprègne le présent et dont le parfum ne se dissipe jamais, et qui aide, transforme l'avenir en un jardin vivable, comme Bogart trouve la force de quitter Ingrid Bergman en lui disant, pendant que l'avion mouline du brouillard sur la piste, We'll always have Paris. " Et c'est ainsi, dans Casablanca, que les deux amants réussissent à continuer à vivre, à se séparer s'il le faut et à suivre chacun son propre chemin, en se souvenant de leur idylle dans le Paris d'avant l'occupation allemande. En puisant dans cette réserve de lumière. Avec ce livre entièrement dédié à un sentiment, celui du " merveilleux ", à sa naissance et son cours à travers la vie d'un homme - la sienne - l'auteur nous invite à le suivre dans son propre puits de lumière. Nous aurons toujours Paris est conçu sous forme de boucle, et c'est dans le perpétuel aller-retour entre les rêveries de l'enfant, ses projections et leur prolongeaient à l'âge adulte, dans leur décalage, souvent, que se glisse le merveilleux, que se construisent la vie et l'œuvre, avec leurs impasses, fausses pistes, déceptions et surprises. Il n'est donc pas, ou très peu, question de Paris dans ces pages. Mais plutôt de pérégrinations et de rencontres : du Japon à l'Afrique, et de julien Gracq à Ismail Kadaré ou Albert Cossery, quand ce n'est pas l'ombre du toujours énigmatique B. Traven.
De:Faye, Éric
Lu par:Christiane May-Sudan
Durée:5h. 8min.
Genre:Voyage/exploration
Quatrième de couverture:La Patagonie est de ces voyages où le fantasme et le rêve sont proches de la réalité : « On est toujours soufflé par la puissance et la beauté des lieux, dans quoi vient résonner la force de l’imaginaire qu’on y avait déployé. » Un voyage au cours duquel sont convoqués Butch Cassidy et Jorge-Luis Borges, qui se sont peut-être croisés sur un trottoir de Buenos Aires, et dont on cherche les traces, souvent effacées, laissant par là-même place à la fiction. Puis aller vers le sud, parcourir une partie de la Patagonie argentine, chilienne ensuite, traverser la pampa, naviguer sur le détroit de Magellan et le canal de Beagle. Les pérégrinations géographiques convoquent les destins romanesques, des derniers Indiens aux rois autoproclamés, des derniers grands glaciers aux aventuriers, fugitifs, proscrits, rêveurs et fous qui y ont trouvé refuge. Entre fantômes historiques et littéraires, un voyage au bout du monde.