Recherche par auteur : Delerm, Philippe
24 résultats. Page 1 sur 2.
Lu par: Marie-Thérèse Téhel
Durée: 2h. 18min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 22499
Quatrième de couverture: Dans le livre peut-être le plus personnel qu'il ait jamais écrit, Philippe Delerm retourne pour la première fois sur son enfance, et trace le portrait tendre et nostalgique des lieux et personnages qui l'ont vu grandir chaque été. L'auteur nous ouvre les portes de la Mascagne, la maison de ses racines, qui fut celle de ses grands-parents puis de ses parents. Aujourd'hui, ils s'y retrouvent en vacances, toutes générations confondues.
Lu par: Claire Philippe
Durée: 1h. 47min.
Genre: Nouvelle
Numéro: 13730
Quatrième de couverture: Il y a eu "La première gorgée de bière", "La sieste assassinée", "Enregistrements pirates", et il y a aujourd'hui "Dickens, barbe à papa (et autres nourritures délectables)" ! Le dernier né ! Le cru 2005 ! Toujours dans ce livre il est question de petits textes, d'instantanés de l'existence, centrés essentiellement autour des plaisirs de la nourriture, des sensations du boire, du manger et du plaisir des livres ! Où l'on retrouve avec délice la nostalgie des barres chocolatés Milka, les pots de yaourt en verre, la barbe à papa, l'omelette aux champignons, la purée, les bonbons du passé, ceux qu'a ressuscité Renaud dans sa chanson "Mistral gagnant"... (amazon.fr)
Lu par: Bushra Kadir
Durée: 3h. 26min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 27825
Quatrième de couverture: Comment devient-on écrivain ? Pour Philippe Delerm, la réponse se trouve dans l'enfance : entre les murs des salles de classe où il a grandi, dans le secret de ses "amours silencieuses", cette adolescence rêveuse et solitaire, mais aussi dans les pages de Proust... Il nous raconte ce goût de la mélancolie et du bonheur qui a fait de lui l'écrivain célébré des plaisirs minuscules.
Lu par: Serpolier
Durée: 1h. 26min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 21344
Quatrième de couverture: Des textes courts. Ce sont des enregistrements pirates, des expressions, des bribes de phrases happées au passage, des scènes filmées à la dérobée dans la rue, dans des endroits publics, quais de gare, wagons de métro, places de marchés, plages. Parfois c'est simplement un bruit, un graffiti. Philippe Delerm pose sur ces éclats d'humanité un regard amusé qui débusque la saveur de l'instant. Comme dans les tableaux du peintre vénitien Longhi qui font l'objet du premier et de l'ultime texte du recueil, les révélations viennent des signes, des comportements les plus infimes, volés au quotidien.
Lu par: Bertrand Baumann
Durée: 2h. 1min.
Genre: Nouvelle
Numéro: 38228
Quatrième de couverture: Ce recueil rassemble pour la première fois trois nouvelles publiées sous les couleurs des Éditions du Rocher, l'éditeur qui a découvert Philippe Delerm et l'a accompagné pendant les quinze premières années de sa vie littéraire. Les deux premières ont pour cadre le Tarn et Garonne, où il a toutes ses racines. La troisième, Panier de fruits, est une satire de la notoriété d'autant plus savoureuse qu'elle a été rédigée bien avant la publication de La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules.
Lu par: René Bonnin
Durée: 2h. 23min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 37355
Quatrième de couverture: L'écrivain glane les petites phrases faussement ordinaires et révèle ce qu'elles cachent de perfidie et d'hypocrisie.
Lu par: Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée: 1h. 47min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 18029
Quatrième de couverture: Monsieur Spitzweg vit à Paris depuis trente ans, employé à la poste, il vit seul. Il aime Paris et surtout son quartier, il aime lire les premières pages des romans de Maigret, l'ambiance du marché de St Ouen, dépouiller les artichauts de leurs feuilles. Il redoute les salles d'attente des médecins, il n'aime pas les vacances d'été qui vident son quartier de ses habitants...
Lu par: Christine Grobéty
Durée: 1h. 49min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 19126
Quatrième de couverture: «Dans la liste des précautions oratoires, celle-ci occupe une place à part. Elle souhaite jouer la surprise par sa forme, une vulgarité appuyée qui aurait pour mission de gommer à l'avance le pire des soupçons : une pensée réactionnaire. L'interlocuteur ne doit pas se récrier avant la remarque promise. Mais une petite réticence aux commissures des lèvres signifiant "Toi, passer pour un vieux con ! ?" semble bienvenue. Elle était espérée.» Traquant les apparentes banalités de nos discours, nos petites phrases toutes faites, Philippe Delerm révèle pour chacune un monde de nuances, de petits travers, de rires en coin. La vérité de nos vies, en somme. Tour à tour attendri, moqueur ou mélancolique, il s'attache aux détails qui nous dévoilent un monde. Des mots qui nous échappent, des instants vécus par tous.
Lu par: Marie-Christine Lecourvoisier
Durée: 1h. 41min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 67915
Quatrième de couverture: Il y a les gestes qui disent l’embarras, d’autres la satisfaction de soi, certains encore le simple plaisir d’exister, là maintenant, sur cette terre. Mais tous nous révèlent, dans nos gloires comme nos petitesses, nos amours comme nos détestations : le selfie, geste roi de nos vies modernes ; le « vapotage », qui relègue l’art de fumer à un plaisir furtif, presque honteux ; les hommes de pouvoir qui se grattent le dessous de leur chaussette ; cette façon qu’on a parfois de tourner le volant avec la paume de la main bien à plat ; un verre qu’on tient à la main sans le boire… À lire Philippe Delerm, on se dit souvent : « Mais oui, bien sûr, c’est exactement cela ! » Mais lui seul aura su décrire ces gestes du quotidien avec tant de finesse et de vérité – tant de profonde analyse de la nature humaine.
Lu par: Laurence Bardin
Durée: 2h. 2min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 21571
Quatrième de couverture: Toute une foule, vue de dos ou de profil, assistant à un spectacle invisible. Au loin, la mer. Une facture surprenante. Des personnages saisis dans des attitudes familières au cours d'une scène publique. Mais le vrai secret, c'était le personnage grimpé sur un tabouret et qui tient à la main une longue badine, ou une espèce de perche, dont l'extrémité atteint le centre de la scène. Quel sens donner à son geste ?
Lu par: Jacqueline Champot
Durée: 2h. 18min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 26883
Quatrième de couverture: Publié pour la première fois en 1983, ce roman marque l'entrée en littérature de Philippe Delerm, et de son talent pour la peinture pudique des sentiments et des sensations fugaces. " Un jour tu t'es laissée glisser vers un ailleurs qui te guettait de sa force tranquille et blanche... Pour une raison inexpliquée la 2 CV... a quitté... et percuté... est décédée dans la soirée... Je n'ai pas lu dans un journal ces mots qui ont dû y figurer, qui sont si secs et rassurants pour parler d'une mort bien propre à effacer. Tu ne liras jamais ces pages que j'écris dans une école sage au vent mouillé d'automne. "
Lu par: Jane Savigny
Durée: 3h. 40min.
Genre: Nouvelle
Numéro: 8998
Quatrième de couverture: On dit que la vie n'est pas simple et que le bonheur est rare. Pour Philippe Delerm, il tient en trente-quatre "plaisirs minuscules". Il évoque ici tour à tour, sous forme de petites séquences, la satisfaction immense qu'il tire tantôt de petits gestes insignifiants, tantôt d'une bienheureuse absence de gestes. Toutes les saisons sont évoquées dans ce petit ouvrage délicieux qui s'apparente presque à un manuel du bonheur à l'usage des gens trop pressés. Les plaisirs de la table y ont une place privilégiée et, tout comme les plaisirs d'un autre ordre, font ressurgir avec humour et nostalgie l'univers de l'enfance, chez le narrateur comme chez le lecteur, rendus complices par la merveilleuse banalité des situations décrites. Grâce à ce traité de vie simple, Delerm nous rappelle que prendre le temps, socialement ou à part soi, n'est pas une perte de temps. Certaines séquences sont toutefois ambiguës, comme celle sur Le Dimanche soir. S'ouvrant sur la description d'une joie, elles s'achèvent avec gravité sur une sensation douloureuse, comme pour nous rappeler que le bonheur, s'il n'est pas rare, est tout de même précieux.
Lu par: Philippe Diserens
Durée: 1h. 44min.
Genre: Nouvelle
Numéro: 14697
Quatrième de couverture: ... Après la 'première gorgée de bière', Philippe Delerm se met au sport. Avec la même formule que l'ouvrage qui l'a fait connaître... le livre à picorer - il évoque ses souvenirs sportifs. Football, natation, tennis, athlétisme, tout y passe. Ces moments ancrés dans la mémoire collective ont tous pour point commun l'émotion qu'ils ont suscitée chez les spectateurs, émotion que l'auteur sait retracer comme il avait su le faire pour "les plaisirs minuscules". Mais c'est lorsqu'il passe de l'autre côté, celui du sportif, qu'il se révèle le plus intéressant. Chaque fois, il trouve l'humain dans ses exploits réalisés par des hommes et des femmes souvent perçus comme des robots, des machines préparées à la compétition, programmées pour la victoire. (www.evene.fr)
Lu par: Monique Evenot
Durée: 3h. 52min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 70585
Quatrième de couverture: « Je n’ai pas l’impression d’avoir été enfant, adolescent, homme d’âge mur, puis vieux. Je suis à la fois enfant, adolescent, homme d’âge mûr, et vieux. C’est sans doute un peu idiot. Mais ça change tout. » Être riche, à chaque époque de notre existence, de tous les moments qu’on a vécus, qu’on vit, qu’on vivra encore : c’est cela, la vie en relief. Voir ses souvenirs et ses sensations non pas additionnés les uns aux autres, mais comme démultipliés, à l’infini. Vivre comme si c’était la première fois. Trouver de la beauté dans l’ordinaire des choses. Aimer vieillir, écouter le bruit du temps qui passe. Ce livre est un aboutissement : celui d’une carrière, celui d’une vie d’homme. Certainement un des plus grands livres de Philippe Delerm.
Lu par: Marie-France Javet
Durée: 3h. 24min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 10772
Quatrième de couverture: 'Je suis heureux. Est-ce que ça va durer ? Voilà le sujet de ce livre. Ce sera un thriller, le plus authentique du siècle. Je suis cerné de toutes parts, et jusqu'au fond de mon terrier. Sur chaque page va planer une menace de mort ou de cancer, d'accident de voiture, de mal de vivre, simplement. Mais je suis fort,j'ai plein de munitions, je vous en parlerai. Si la menace se précise, vous la vivrez au coeur de mon sang, de mon encre. Sij'en réchappe, nous partagerons le butin. Peut-être ...'
Lu par: Nicole Catherine
Durée: 2h. 30min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 12918
Quatrième de couverture: Quatrième de couverture : Professeur de lettres dans un collège, Sébastien dresse à quarante-cinq ans le bilan de sa vie. Ses deux grands enfants ont quitté le foyer familial où il vit désormais avec sa femme qu'il aime. Jusqu'alors, il a toujours vécu en accord avec les choses de la vie. Il les savourait dans leur fugacité. C'est dans la capacité de goûter chaque instant que réside pour lui le bonheur. Un jour cependant, il a un malaise en classe, une fêlure est survenue : " Un vertige, un malaise sourd, et tout de suite on sent que ça ne passera pas comme ça. " Un sentiment diffus l'envahit alors, un vide, une inquiétude qu'il a du mal à comprendre. Pour se défaire de ce mal-être, il entreprend une réflexion douce-amère sur le sens de la vie, du temps qui passe.
Lu par: Janick Quenet
Durée: 2h. 56min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 17776
Quatrième de couverture: « À soixante ans on a franchi depuis longtemps le solstice d'été. Il y aura encore de jolis soirs, des amis, des enfances, des choses à espérer. Mais c'est ainsi : on est sûr d'avoir franchi le solstice. C'est peut-être un bon moment pour essayer de garder le meilleur : une goutte de nostalgie s'infiltre au coeur de chaque sensation pour la rendre plus durable et menacée. Alors rester léger dans les instants, avec les mots. Le solstice d'été est peut-être déjà l'été indien, et le doute envahit les saisons, les couleurs. Le temps n'est pas à jouer ; il n'y a pas de temps à perdre.
Lu par: Dr Martin Lebrun
Durée: 4h. 10min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 22684
Quatrième de couverture: Balades, flâneriesà Je cherche le mot le plus léger pour dire ce que furent ces instants volés au ciel de Normandie. Oui, tout autour de chez moi, et pas très loin le plus souvent. Mais après tout, cela pourrait aussi bien être partout ailleurs. C'est le regard qui compte, et cette envie d'aller par les chemins. Bien sûr, les rivières étaient belles. Mais d'un matin de gel à la lenteur d'un soir d'été, la lumière les appelait, chaque fois différentes. J'apprenais à nommer la campagne qui m'entourait, mais elle menait toujours plus loin. J'apprenais à me perdre plus qu'à me retrouver. Dix ans de flâneries à deux, et ça, c'est un tout autre privilège. Partager le silence des chemins avec la femme que l'on aime. Je griffonnais des notes, elle prenait des photos. De ces regards croisés passaient plus tard des images et des mots qui marchaient l'amble. Il n'y avait rien que des lumières échangées et quelquefois un café chaud, très tôt, au hasard d'un village. Mais aujourd'hui je vois qu'un livre est né ; je tremble un peu de voir qu'il nous ressemble, de maraudes en chemins d'eau. Léger, fragile, un livre de balades, de saisons, dix ans flânés à regarder ensemble.Les chemins nous inventent. Il faut laisser vivre les pas.
Lu par: Manon
Durée: 1h. 23min.
Genre: Nouvelle
Numéro: 30512
Quatrième de couverture: Sans doute, ce nouveau recueil est-il particulièrement "solaire", invités que nous sommes à goûter au plaisir transgressif du mojito, à se faire surprendre par une averse, à tremper nos lèvres dans la perfection transparente de la pastèque... Mais chez Philippe Delerm, le soleil ne va jamais sans pluie, et le bonheur sans mélancolie. Grand lecteur de Jules Renard, l'auteur le cite en exergue : "Le vrai bonheur serait de se souvenir du présent". Ce présent qui ne cesse de s'échapper, bien sûr, et dont nous avons déjà la nostalgie alors même que nous le vivons. Voici quelques exemples de ces textes. "Tendre est la vie cruelle" : sur l'amour fragile de deux personnes qui, à près de 60 ans, ont plus de passé que d'avenir à vivre ensemble, mais qu'un baiser volé va rappeler à leur adolescence. "On ne peut pas être plus près, plus chauds, plus confondus. Et pourtant c'est le fragile qu'on sent." Le bonheur de "Danser sans savoir danser" : on n'a jamais été de ceux qui fréquentent les boîtes de nuit. On admirait ceux qui, sur les pistes de danse, évoluaient si facilement. Mais un jour, à un mariage, "on choisit de danser. Danser, c'est un grand mot. On bouge comme un ours. Mais ce n'est pas grave. On a passé l'âge des susceptibilités. Chance, ça commence par un twist. On peut jouer son insuffisance au deuxième degré, en pliant les genoux, avec un mouvement de bras qui ne donne pas le change, mais semble se moquer de toute une époque - la nôtre." "Le mensonge de la pastèque" : "Elle est trop belle. Etrange. Est-ce qu'on la boit, est-ce qu'on la mange ? Elle est comme une fausse piste du désir. (...) La mangue et la goyave ont goût de mangue et de goyave. La pastèque n'a goût de rien et c'est donc elle qu'on désire en vain. Elle est la perfection de son mensonge (...) Elle n'est qu'un mirage de la chaleur et de l'été."
Lu par: Anne Botte
Durée: 1h. 14min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 23388
Quatrième de couverture: Philippe Delerm décrit comme personne les instants familiers à chacun de nous, et restitue, presque intacts, nos petits agacements, nos plaisirs furtifs, les grands moments de solitude et les émerveillements... Au fil de ces petites phrases toutes faites, faussement anodines, il démasque les sentiments enfouis et met à nu l'émotion.