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Recherche par mot-clé: Nature

79 résultats. Page 1 sur 4.

Lu par: Serge Cantero
Durée: 59min.
Genre: Littérature fantastique
Numéro: 74187
Quatrième de couverture: « N'allez pas jouer dans le cimetière », avait pourtant recommandé Grand-Père en partant. Mais Heidi et ses amis ne l'ont pas écouté et se retrouvent avec une horde de morts-vivants à leurs trousses ! Pour les combattre, ils auront besoin de toutes les ressources de leur imagination, de leur intelligence et de leur amitié - ainsi que d'une fiole de potion magique.. Katie Hayoz revisite Heidi, le classique de Johanna Spyri, à la sauce zombies. Suspense, humour, morceaux de cadavres et crottes de chèvre, tous les éléments sont réunis pour créer une expérience de lecture captivante. On y retrouve les thèmes forts du livre original : la nature, la vie à la montagne et l'entraide.
Lu par: Sylvia Savanyu
Durée: 3h. 1min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 73639
Quatrième de couverture: Depuis toujours, Yara vit dans la forêt avec sa mère, sa grand-mère et sa ponette, au rythme des saisons. Mais cet été-là, elle aperçoit au loin, sur un promontoire rocheux, une mystérieuse jeune fille aux cheveux blancs. Qui est-elle ? Et pourquoi se sent-elle attirée par cette inconnue ? Un matin, Yara décide de partir à sa recherche, dans la montagne...
Durée: 13h. 11min.
Genre: Nouvelle
Numéro: 73231
Quatrième de couverture: Récit magnifiant la taïga de l’Extrême-Orient russe, Ginseng est une allégorie osée de l’amour. Le Pèlerin noir est un récit de voyage chez les nomades d’Asie centrale où le danger est sublimé en poésie. Le Calice d’ici-bas nous emmène dans la Russie profonde des premières années de la Révolution russe. C’est un texte réaliste, porté par une inspiration quasi nietzschéenne, fantastique et même biblique, au point que l'instituteur au centre du récit se confond avec l’image du Christ. Un florilège d’extraits de son journal intime – mis en regard avec les œuvres concernées – transporte le lecteur dans le monde intérieur de Prichvine tout en éclairant les chemins secrets qui le menèrent de la vie à la création littéraire.
Durée: 6h. 58min.
Genre: Policier/épouvante
Numéro: 74356
Quatrième de couverture: Parc national des Smoky Montains, dans le Tennessee. La paisible communauté rurale de White Oak est bouleversée par les agissements d'un mystérieux archer et la disparition d'une jeune femme au cours d'un rassemblement international de biologistes et de botanistes. Phoebe McFarland, l'infirmière de la ville, participe à l'enquête.
Durée: 2h. 7min.
Genre: Nouvelle
Numéro: 74214
Quatrième de couverture: Neuf nouvelles dans lesquelles des auteurs contemporains français ou étrangers témoignent de leur amour de la nature : J'ai été nature, Instinct, L'ordre des pierres, Kephart, La pieuvre, Le sansonnet, Des coeurs battants, Le côté gauche de la plage et Mont-Blanc : la mort lente. Un livre caritatif dont les bénéfices sont intégralement reversés à WWF France.
Durée: 1h. 23min.
Genre: Pratique/cuisine/alimentation
Numéro: 74271
Quatrième de couverture: L'auteure présente les propriétés de la sève de bouleau, ses effets sur la santé, son mode de production ou ses usages traditionnels, notamment en Europe de l'Est.
Durée: 11h. 5min.
Genre: Roman historique/biographique
Numéro: 74208
Quatrième de couverture: XVIIIe siècle, Isle de France, dernier jour de vie de Philibert Commerson. Le récit remonte le temps, mettant en lumière des destins hors du commun, celui de Jeanne Barret, paysanne qui a bravé les interdits de l'époque pour vivre ses passions et celui de Philibert, naturaliste, médecin-botaniste du roi Louis XV. Tout en témoignant de la colonisation, de l'esclavage, du voyage autour du monde de Bougainville, le roman nous rappelle des thèmes toujours d'actualité : émancipation féminine, connaissance de l'environnement à travers des explorations scientifiques à l'heure où il devient essentiel de mieux comprendre le vivant pour préserver notre rapport à la nature.
Durée: 7h. 9min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 73746
Quatrième de couverture: Une vie rugueuse mais pleine de bonheurs dès le départ. Dans la ferme de ses parents, on travaillait trop dur pour avoir le temps de chanter des berceuses. Mais aller cueillir tous ensemble des myrtilles pour faire de la confiture était une joie, et recevoir un simple bol de soupe pour Noël, une leçon : l'important, c'est de se nourrir des bienfaits de la nature. La montagne est rude ; l'univers de la cuisine, lui, est violent, surtout quand on veut y gagner des étoiles. Bien sûr, il y a la poésie de la création, tous ces bouquets d'oxalis ou de reines-des-prés, ces saveurs de pin qu'il invente pour accommoder une truite : ce chef inspiré est né avec une cuiller aromatique dans la bouche. Mais il y a aussi le " coup de feu " du service, les colères homériques du chef Veyrat pour une carotte mal râpée, le cadre à soigner voire à construire soi-même pour évoluer vers un ciel " étoilé ", les investissements nécessaires mais parfois scabreux (il flaire mieux les herbes sauvages que les promoteurs véreux), la bagarre contre les banques, le fisc, ou l'Administration qui lui inflige, par exemple, 100 000 euros d'amende pour avoir abattu des épicéas ravagés par les bostryches, donc déjà condamnés à mort... Mais bon... En 2006, Marc Veyrat est reconnu comme l'un des chefs les plus novateurs de son temps. Il obtient même un 20 sur 20 au Gault et Millau. Du jamais-vu, c'est trop beau : un accident de ski le brise et le condamne pour cinq ans au fauteuil roulant. Quand il s'en sort, il a réfléchi et décide de revenir aux sources. A Manigod, son village natal, il crée La Maison des Bois, qui brûle à peine achevée, mais renaît aujourd'hui de ses cendres. Un endroit magique au milieu des alpages, où l'on se restaure en regardant paître les animaux de la ferme, avant d'aller visiter la chapelle, dont les treize oratoires sont organisés comme un jardin botanique. La boucle est-elle bouclée ? Non. Par l'intermédiaire d'une fondation, le " patriarche " veut transmettre aux jeunes son idéal de retour au naturel. Car " une société qui mange mal et où l'on rend malades les hommes comme la terre oublie le sens du beau, du bon, du vrai ". Tout le monde semble s'en rendre enfin compte, il est temps d'agir. Marc Veyrat n'est pas près d'avaler son chapeau !
Durée: 13h. 30min.
Genre: Société/économie/politique
Numéro: 73428
Quatrième de couverture: A travers une enquête ethnographique menée durant trois ans dans le Perche, C. Stépanoff décrit la transformation des paysages par l'agriculture intensive, la disparition d'espèces au profit d'autres ainsi que l'essor des chasses commerciales. Explorant l'évolution du rapport de l'homme à la nature depuis le Moyen Age, il s'interroge sur les récents bouleversements éthiques et écologiques.
Durée: 5h. 41min.
Genre: Nouvelle
Numéro: 73282
Quatrième de couverture: Mettant en scène un berger, un caravanier kirghize, un taliban, un alpiniste ou encore une panthère, ces neuf nouvelles entraînent le lecteur sur les lignes de crête et les lacs gelés du Pamir, de l'Hindou Kouch et de l'Himalaya. La beauté sauvage des paysages décrits répond à l'onirisme des légendes et à la brutalité des existences esquissées.
Lu par: Alexandra Levy
Durée: 11h. 33min.
Genre: Roman terroir
Numéro: 73281
Quatrième de couverture: Dans une vallée au coeur des Alpes, les saisons rythment la vie des hommes et des bêtes. L'arrivée d'un inconnu venu du Nord bouleverse leur quotidien avec les prémices de l'industrialisation. Arno, un jeune berger, est persuadé que la mort des étoiles est proche. Il décide de se battre contre ses amis pour préserver l'âme du village mais, traqué, il doit s'enfuir dans la montagne.
Durée: 2h. 23min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 73329
Quatrième de couverture: Dans cet essai, Thoreau insiste sur la beauté de ce qu'il appelle les " petites choses ". Mais à ses yeux, tout est une " petite chose " et dont digne d'attention. Il y célèbre une fois de plus, dans une langue panthéiste et voluptueuse, la gloire de la nature, qui fait tourner le monde, selon lui. En s'arrêtant sur les myrtilles, simples baies sauvages, Thoreau se livre également, implicitement, à une charge contre le capitalisme américain, et engage déjà une réflexion pionnière sur l'exploitation de la terre par l'homme. Il propose un manifeste écologique heureux, accessible pour peu que nous consentions à la lenteur et à la simplicité.
Lu par: Marie-Mad Guieu
Durée: 5h. 10min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 72807
Quatrième de couverture: Immersion dans le monde sauvage des Orcades et du nord de l'Ecosse, rencontre avec des dauphins ou un couple de faucons pèlerins, pour redécouvrir la contemplation des paysages écossais.
Durée: 5h. 47min.
Genre: Sciences/technologie
Numéro: 72849
Quatrième de couverture: A travers huit récits de pistage d'ours, de loups ou de panthères des neiges, des forêts de Yellowstone aux crêtes du Kirghizistan, le philosophe invite à porter son attention sur le vivant simultanément autour de soi et en soi et à apprendre à cohabiter avec lui.
Durée: 5h. 13min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 71632
Quatrième de couverture: «J’aurais pu devenir scientifique, mais par orgueil, j’ai choisi la poésie», défi courageux, dont chacune de ces notices confirme le bien-fondé. Courant sur plus de trente ans, ce journal au long cours – composé de ce que l’on suppose être les notes les plus marquantes de chaque période – éclairent un parcours dicté par l’émerveillement devant la beauté du monde. Nature, musique, foi, écriture ou voyages méditerranéens, Catherine Fuchs en recueille précieusement les paillettes dans son tamis d’orpailleuse des mots, et les fait miroiter au soleil de sa sensibilité. Gravité et sérénité, l’actualité attendra..
Durée: 8h. 12min.
Genre: Roman d'amour
Numéro: 72679
Quatrième de couverture: Lia accompagne en avion des clients à la recherche d'un site idéal pour monter leur projet touristique. Mais un phénomène météorologique perturbe leur vol et provoque le crash du petit appareil. Lia se retrouve seule et blessée au coeur des montagnes d'Alaska. Standford, qui vit reclus dans un chalet avec pour seule compagnie Alpha, un loup apprivoisé, lui porte secours.
Durée: 4h. 35min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 71241
Quatrième de couverture: Dy´ja descend d’une lignée de sages-femmes islandaises. Seules sa mère et sa sœur y échappent : l’une travaille dans les pompes funèbres, l’autre est météorologue – naître, mourir, entre les deux quelques tempêtes. Elle aide à mettre au monde son 1922e bébé, et note à quel point le plus difficile est toujours de s’habituer à la lumière. Alors qu’un ouragan d’une force inouïe menace l’île, elle apprivoise l’appartement mal fichu hérité de sa grand-tante, avec ses meubles qui font doublon, des ampoules qui clignotent sous la menace d’un court-circuit et un carton à bananes rempli de manuscrits. La transmission sera aussi littéraire, Tante Fífa ayant poursuivi le grand œuvre de l’arrière-grand-mère : recueillir les récits, pensées et témoignages des sages-femmes (« mères de la lumière » en islandais) qui parcouraient la lande sous le blizzard et dans la nuit noire. Aujourd’hui comme hier, le fil ténu qui relie à la vie est aussi fugace et fragile qu’une aurore boréale. Sous la mansarde, au dernier étage de l’immeuble, un touriste australien égaré semble venu des antipodes simplement pour réfléchir. Décidément, l’être humain reste l’animal le plus vulnérable de la Terre. Drôle, poétique et grave, le nouveau roman d’Auður Ava Ólafsdóttir est une splendeur.
Lu par: Anne Béranger
Durée: 3h. 23min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 71555
Quatrième de couverture: La narratrice, une enfant de onze ans, vit chez ses grands-parents, dans le Brabant flamand. Sa mère l'a abandonnée des années auparavant. C'est l'été dans cette vaste maison bordée d'un étang et d'un magnifique jardin. Le grand-père est en train de mourir dans une des chambres à l’étage, visité chaque jour par une infirmière. Cet homme autoritaire, distant, intimidant, est l'ombre manquante dans le jardin, espace de prédilection où sa petite-fille l'assistait dans ses occupations. Alors que la mort approche, autour de la fillette prennent place les différents protagonistes de ce lieu où la nature est souveraine : ses grands-parents bien sûr, les trois chiens, un jeune homme qui s'occupe des gros travaux, une baleine qui un jour a surgi dans l'étang. Elle rêve aussi d'un ailleurs qui pourrait être l'Alaska, la mer des Sargasses ou les Adirondacks. Dans ce premier roman qui impressionne par sa sobriété et sa maîtrise, Zoé Derleyn interroge avec subtilité la manière dont se construit une filiation.
Durée: 5h. 4min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 71283
Quatrième de couverture: Le fils se demande si aujourd'hui le père serait capable de regarder en arrière, et de se rendre compte du chemin qu'ils ont parcouru ensemble, vers les limites. Il ne le pense pas. Non, il ne pense pas que le père soit capable d'envisager quoi que ce soit qui n'ait pour finalité davantage de mer et de sel. Ce qui a été infligé en route est secondaire. Qu'ils finissent tous deux noyés, que les poissons éventrés hurlent en silence tandis qu'il leur arrache les organes un à un. Rien ne peut rivaliser avec l'immensité de l'eau ni le murmure de l'écume. Le déséquilibre est écrasant. A bord de La Gueuse, un navire de pêche vétuste, un père et son fils livrent une lutte quotidienne contre un océan mourant, charriant tour à tour poissons et réfugiés. La démence de l'un vient nourrir la solitude de l'autre. Fouettés par les embruns de l'Atlantique, deux mondes irréconciliables affrontent l'abysse.
Lu par: Marianne Pernet
Durée: 5h. 37min.
Genre: Policier/épouvante
Numéro: 70439
Quatrième de couverture: C’est décidé, Tom, sa sœur jumelle Luna et leurs parents descendront le canyon de la Tara en raft. Une belle étape de plus dans leur vie nomade. Pourtant, malgré les paysages monténégrins époustouflants, la complicité familiale et la présence rassurante de Goran, leur guide serbe, la tension envahit peu à peu le canyon et le drame frappe, sans appel. Du haut de ses quinze ans, Tom prend de plein fouet la violence du deuil et de la solitude. Dans l’errance qu’engendre le délitement de sa famille, il découvre la grande douleur, celle qui fissure les barrières et brise toute lucidité, ouvrant les portes à ceux qui savent s’engouffrer dans la détresse des autres. Mais, en dépit du chaos qui lui tient lieu de vie, Tom ne peut s’empêcher de retracer les événements et le doute s’immisce : ne sont-ils pas les victimes d’une Histoire bien plus grande que la leur ?