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Recherche par mot-clé: Morale -Ethique

3 résultats.

Lu par:Jacques Moret
Durée:3h. 59min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:68201
Résumé: Sommes-nous faits pour le bonheur ? À lire cet essai de 1929 que Freud intitula d’abord Le Bonheur et la civilisation, puis Le Malheur dans la civilisation, avant de s’en tenir à Malaise dans la civilisation, on peut en douter, notre existence étant plutôt caractérisée, selon lui, par la violence, la souffrance et l’insatisfaction. Utilisant la théorie des pulsions élaborée dix ans plus tôt dans Au-delà du principe de plaisir, Freud explique pourquoi l’agressivité, l’hostilité et la cruauté sont inhérentes au genre humain, il dégage ce qui les relie au plaisir et à l’amour, et il montre à quelles conditions la culture permet de contrôler les pulsions de mort. Un livre terriblement actuel sur la violence dans notre société, mais aussi sur l’égoïsme et l’altruisme, le sentiment de culpabilité et la conscience morale, la possibilité même de liberté individuelle.
Lu par:Jean Frey
Durée:9h. 8min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:14661
Résumé: Essai d'Arthur Schopenhauer, Le fondement de la morale en allemand Über die Grundlage der Moral, a été publié en 1840, en réponse à la question d'une société savante. Schopenhauer y critique l'approche kantienne des Fondements de la métaphysique des moeurs et insiste sur une racine naturelle du comportement moral humain : la pitié, que l'on appelerait aujour'hui empathie. Il s'inscrit ainsi dans la continuité du Rousseau du Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes.
Lu par:Jean Frey
Durée:5h. 48min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:14169
Résumé: « De quoi s'agit-il dans les Fondements de la métaphysique des moeurs et dans la Critique de la raison pratique? Du fondement du discours moral, d'un discours cohérent, absolument valable pour tous les êtres doués de raison, obligeant tout ce qui est fini et raisonnable. Il ne s'agit pas d'une morale au sens traditionnel du terme, d'un système de règles de conduite pour des situations concrètes, de prescriptions précises, d'interdictions à observer. Ce que cherche Kant, c'est exactement ce qu'indique le titre du premier de ces écrits : un fondement de la métaphysique des moeurs, non celle-ci. Des morales, l'histoire et le présent en sont remplis, sans qu'aucun des systèmes prônés puisse prétendre à une validité universelle : la morale reste à fonder ». E. Weil, Problèmes kantiens, p. 149.