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Recherche par mot-clé: Histoire sociale -20e siècle

5 résultats.

Lu par:Anita Renard
Durée:5h. 25min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:75578
Résumé: Un texte à la fois intime et théorique dans lequel la première historienne à enseigner l'histoire des femmes en France, en 1973, évoque son parcours ainsi que les changements sociétaux impulsés par les luttes féministes, de l'accession à l'égalité jusqu'au mouvement #MeToo. Les destins de femmes mêlées à cette cause sont également abordés, d'Olympe de Gouges à Arlette Farge.
Durée:4h. 42min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:36747
Résumé: Saint-Kilda est ce lieu au bout du monde, oublié des hommes et de Dieu (mais pas de ses ministres), perdu dans le brouillard ambigu qui sépare imagination et réalité. Inhospitalier au possible, ce coin de terre au large de l’Écosse a pourtant accueilli une poignée d’hommes et de femmes évacués à leur demande en 1930. Jusqu’au XIXe siècle, ils ont vécu en autarcie, sans connaître l’écriture ni l’argent, sans hiérarchie ni lois, se nourrissant des oiseaux de mer chassés sur les falaises. Eric Bulliard nous raconte l’histoire de cette île et de ses derniers habitants en un double voyage, vécu dans le présent et dans le passé, avec la verve du journaliste et la sensibilité de l’intimiste. Et voilà que Saint-Kilda devient un lieu presque mythique, où l’on aimerait se rendre pour assouvir une étrange nostalgie née dans ces pages…
Lu par:Manon
Durée:18h. 46min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:36362
Résumé: L'historienne restitue l'énergie des luttes, des débats et des espoirs portés par les acteurs de mai 1968. Se fondant sur les archives françaises, elle évoque les ouvriers, les étudiants mais aussi les paysans, les artisans, les artistes et les policiers qui participèrent aux événements, d'un côté ou de l'autre des barricades. Elle met en lumière la diversité des protagonistes et leurs pratiques.
Durée:21h. 51min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:30301
Résumé: "Choses vues" dans les dernières années du XXe siècle, les chroniques ici rassemblées dressent un portrait aussi précis que possible de notre temps; et, simultanément, elles ébauchent une théorie générale de ce moment de la civilisation que Philippe Muray appelle l'ère hyperfestive, car l'accumulation illimitée de fêtes en est devenue l'occupation la plus fervente et la consolation la plus quotidienne. L'individu inédit que cette civilisation est en train de façonner a donc lui aussi un nom qui n'était encore jamais apparu nulle part Homo festivus. Après l'Histoire est le récit, à la fois inquiétant et comique, des aventures de ce personnage qui ne ressemble plus à rien de connu jusque-là. On y trouvera des aperçus étonnants sur son idéologie, son langage, ses habitudes, son comportement intime, sa morale publique, ses nouvelles méthodes pour faire régner l'ordre et même, de plus en plus souvent, et de manière impunie, la terreur. Pour espérer comprendre quelque chose à notre époque, il est indispensable de faire le pari que la métamorphose des hommes a déjà eu lieu et que leur mutation n'est envisageable qu'à partir de l'hypothèse d'une sortie définitive de la période historique, pour autant qu'Histoire et humanité étaient synonymes. Après l'Histoire veut donc dire aussi : après l'humain.
Durée:4h. 49min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:14440
Résumé: Présentation de l'éditeur : " J'atteins l'âge où proposer une utopie est un devoir; l'âge où les époques à venir semblent toutes également éloignées : qu'elles appartiennent à des siècles lointains ou à de prochaines décennies, elles sont toutes tapies dans un domaine temporel que je ne parcourrai pas. " A une époque où tout le monde ne parle que de " réalisme " pour en fait imposer la dictature de l'argent, Albert Jacquard prend ici du recul. Recul par rapport à sa propre trajectoire dont il retrace le fil ; recul par rapport à l'actualité et ses contraintes en imaginant ce que pourrait être une "Cité où tout serait école ", où le travail aliénant serait réduit au minimum, où personne ne se soucierait du déficit de la Sécurité sociale parce que les soins seraient considérés comme un droit imprescriptible, où la lutte pour la compétition serait abolie, où l'accumulation des richesses céderait le pas à l'organisation des rencontres... Utopie que tout cela ? Bien sûr, mais raisonnable. Le cours des choses n'a-t-il pas déjà commencé à donner raison à Albert Jacquard ? Et puis, qu'y a-t-il de plus sensé que de chercher une nouvelle voie quand nous savons les autres irrémédiablement bouchées ?