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Recherche par mot-clé: Espoir

3 résultats.

Durée:6h. 43min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:75931
Résumé: Ces lettres adressées aux jeunes constituent une profession de foi intellectuelle et morale de ce militaire, chef d'état-major des armées de 2014 à 2017. Elles ouvrent un chemin pour réapprendre à aimer la France et retrouver l'espérance.
Lu par:Sophie Frison
Durée:7h. 20min.
Genre littéraire:Roman d'amour
Numéro du livre:38580
Résumé: "Je ne t'aime plus." Il aura suffi de cinq mots pour que l'univers de Pauline bascule. Installée avec son fils de quatre ans chez ses parents, elle laisse les jours s'écouler en attendant que la douleur s'estompe. Jusqu'au jour où elle décide de reprendre sa vie en main. Si les sentiments de Ben se sont évanouis, il suffit de les ranimer
Durée:4h. 55min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:19522
Résumé: Jean-Claude Guillebaud refuse de baisser les bras, de se laisser endormir par l'esprit de défaite qui guette le monde contemporain. Un mal, une langueur qu'il compare au péché d'«acédie», quand s'affadit le goût de la foi. Plus de projet collectif, plus d'utopie : le monde nous échappe, alors choisissons plutôt de nous occuper de nous-mêmes, dorlotons-nous, cherchons notre seul bonheur, notre bien-être. Voilà une tentation que le journaliste-écrivain n'a pas. Au contraire même, plus la partie lui semble difficile, plus elle vaut d'être engagée... Comment réhabiliter l'action, en politique notamment, pour changer ce qui ne va pas, pour «réparer le monde», selon la belle expression de la théologie juive à laquelle l'essayiste s'est toujours montré très sensible ? Il a essuyé bien des sarcasmes de la part de ceux pour qui pessimisme et désabusement sont des postures intellectuelles : il assume son regard optimiste, «en connaissance de cause», car il n'est pas le ravi de la crèche ; les réalités, il ne les ignore pas... L'optimisme engagé, que Jean-Claude Guillebaud défend ardemment tout au long de ces pages, n'est pas seulement justifié, il est stratégique. «L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre»... (Dominique Quinio - La Croix du 29 août 2012)