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Recherche par mot-clé: ESSAI

1813 résultats. Page 84 sur 91.

Lu par : Henriette Kunzli
Durée : 6h. 1min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18476
Résumé:En fait d'Odyssée, il semble que le retour d'Ulysse à Ithaque tienne davantage de l'école buissonnière et qu'il soit plutôt hâté par l'annonce de l'infidélité de Pénélope. Mais que dire lorsque l'on vous somme de justifier une absence de dix ans ? Peu de choses, suggère Giono, un mensonge... Ainsi naît l'Odyssée. Dans ces pages merveilleuses de poésie, Giono célèbre un monde où, à travers les dieux, l'homme et la nature entrent en communion profonde.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 4h. 34min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18940
Résumé:Dans ce livre, Franz-Olivier Giesbert qui se dit croyant depuis le jour de sa naissance, raconte sa foi à travers ses expériences, ses voyages, les oeuvres et les personnages qui l'ont marqué, de Saint François d'Assise à la philosophe Simone Weil, sans oublier Julien Green ou Norman Mailer. Ce n'est pas un témoignage ni une profession de foi, mais plutôt un récit très personnel où Franz-Olivier Giesbert construit et déconstruit la petite religion, sur fond de panthéisme, qu'il s'est fabriquée à partir du christianisme, d'abord avec sa mère, catholique et philosophe, puis, avec tous les évènements et toutes les découvertes qui ont rythmé sa vie. Ce livre circule à travers les époques et les oeuvres. Il vous emmène dans un temple de Pagan, en Birmanie, ou à Big Sur, en Californie, jusqu'aux plus belles pages de Giordano Bruno sur le cosmos, ou de Jacques Derrida sur les animaux, en passant par des souvenirs d'enfance ou encore un hymne au végétarisme.
Lu par : Jean Frey
Durée : 18h. 10min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18330
Résumé:" C'est ici un livre de bonne foi, lecteur. Il t'avertit dès l'entrée que je ne m'y suis proposé aucune fin que domestique et privée. Je n'y ai eu nulle considération de ton service, ni de ma gloire. Mes forces ne sont pas capables d'un tel dessein. Je l'ai voué à la commodité particulière de mes parents et amis : à ce que m'ayant perdu (ce qu'ils ont à faire bientôt) ils y puissent retrouver certains traits de mes conditions et humeurs, et que par ce moyen ils nourrissent plus entière et plus vive la connaissance qu'ils ont eue de moi. Si c'eût été pour rechercher la faveur du monde, je me fusse mieux paré et me présenterais en une marche étudiée. Je veux qu'on m'y voie en ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans contention [effort] ni artifice car c'est moi que je peins. Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve [naturelle], autant que la révérence publique me l'a permis. Que si j'eusse été entre ces nations qu'on dit vivre encore sous la douce liberté des premières lois de nature, je t'assure que je m'y fusse très volontiers peint tout entier et tout nu. Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre : ce n'est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain. Adieu donc. " Montaigne.
Durée : 4h. 2min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18435
Résumé:Voici rassemblés quatorze textes de William Styron, aussi variés que personnels. Tantôt il raconte son amitié avec des personnalités politiques, tel John F. Kennedy, qu'on voit ici fumer des havanes, officiellement prohibés, ou François Mitterrand, entouré de pompe et d'honneurs lors de la cérémonie d'investiture. Ou bien il évoque des amis écrivains : Truman Capote, James Baldwin, Terry Southern... Il médite sur un glorieux prédécesseur, Mark Twain, décrit ses promenades avec son chien, détaille les charmes de la vie quotidienne dans sa maison d'été de Martha's Vineyard... Ces textes dessinent l'autoportrait attachant et émouvant d'un homme hanté par d'éternelles obsessions à la fois intimes, comme la sexualité, et historiques : l'esclavage en tant qu'héritage sudiste, ou encore la Seconde Guerre mondiale. L'écriture dans sa précision vise à sauver le passé de l'oubli et à le retranscrire avec une franchise absolue. Cette dimension élégiaque donne à ce volume non seulement son unité mais sa beauté : celle d'un adieu à la vie, mais où celle-ci a toujours le dernier mot.
Durée : 5h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18504
Résumé:Bureau des Assassinats est un recueil de textes écrits entre 2008 et 2010 — des «chroniques» qui ne relèvent d'aucuns genres codifiés tout en empruntant un peu à tous les genres — dont le fil conducteur consiste à éclairer des situations et des problématiques artistiques, politiques ou économiques actuelles en partant d'oeuvres littéraires et d'auteurs classiques. Ou l'actualité éclairée par la littérature, la littérature éclairée par l'actualité. Au travers de ses jumelles littéraires, l'auteur fait voir autrement ces années de crises financières qui ont secoué nos sociétés occidentales, privilégiant la mise en perspective et un point de vue décalé. L'art, la culture, et même le fait divers, y trouvent aussi leur place.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 4h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18848
Résumé:L'homme occidental passe plus de temps en voiture que dans le lit des dames. Fort de cette constatation et de cette expérience, j'ai décidé d'explorer la place qu'a prise l'automobile dans nos plaisirs, notre travail, nos glorioles, nos pulsions secrètes, nos rêves. Il m'est arrivé, jadis et naguère, d'analyser la présence des animaux familiers dans ma vie, c'était Lettre à mon chien, ou mes propres souvenirs et colères, dans Un petit bourgeois et Le Musée de l'homme. Ce livre-ci n'est pas de nature si différente, qui passe en revue, aussi gaiement que possible, les divers aspects d'un asservissement adorable. Asservissement ? Nul, ou presque, n'y échappe. Tout humain est, a été ou sera bagnolard. (Ne s'agit-il pas aussi d'une espèce (le bagne ?...) Je n'ai rien exclu des flâneries de ce livre. Ni les dream cars, ni la Deuche, ni les malotrus de la vitesse, ni les maniaques de la nénette, ni les drogues de l'accessoire. La boîte automatique, la fameuse manoeuvre pointe-talon (que je confesse n'avoir jamais comprise ni pratiquée...), la suspension molle, le citroënisme, la symbolique virile du levier de vitesse, le vroum-vroum et la conduite coulée, l'auto-strada et l'Autobhan, c'est tout l'univers fantasmatique de l'automobile qu'Autos Graphie évoque - sans oublier, ici et là, l'amour, l'âge et la mort, qu'on ne saurait éloigner longtemps d'un tel sujet, parût-il frivole. Peut-on se réclamer à la fois de Paul Morand et de Roland Barthes, de L'Homme pressé et des Mythologies ? Je le crois, et j'espère prouver ici que la pratique opiniâtre et voluptueuse de la conduite automobile peut tenir lieu de sensualité, de psychanalyse et de recherche du temps perdu.
Lu par : Henri Duboule
Durée : 1h. 32min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18176
Résumé:Depuis que je le vois à l'oeuvre, de près, chaque jour de l'année, je déteste le liseron et, qui pis est, je le méprise. C'est un personnage terrible, sans scrupule et sans pitié. Je ne lui fais pas grief d'être d'apparence chétive. Il rampe, mon Dieu ! C'est son droit. Il grimpe et c'est là son courage. Ce que je lui reproche, c'est d'étouffer ceux dont il se sert. Il a d'abord l'air modeste, il demande la charité, l'assistance. « Un tout petit coup de main, mon bon monsieur, s'il vous plaît. » on le laisse faire, on l'admet à table. Alors il s'enhardit, se ramifie, il s'élance, il s'étale, il occupe toute la place. Il sait tourner, il sait feindre, il a toutes les patiences. Quelques jours encore, et il n'y aura plus d'espace, plus d'air, plus de soleil que pour lui. Cependant son bienfaiteur suffoque, râle, agonise. Et ce travail aérien n'est pas le plus redoutable. L'ambitieux, sous terre, propage d'insidieuses racines dont le moindre fil suffit pour empoisonner tout un jardin, tout un pays.Tel est le gentil liseron. J'ai cru longtemps, j'ai longtemps publié que la connaissance est amour. Eh bien ! Ma foi, je me trompais. Je connais bien le liseron. »
Lu par : Hervé Guignard
Durée : 10h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19089
Résumé:L'apocalypse, serait-ce donc l'édition numérique, ou comme dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la température à laquelle le papier s'enflamme et se consume ? Dans son Dernier inventaire avant liquidation, Frédéric Beigbeder commentait le choix de la FNAC. Désormais, dans cette arche de papier, il sauve au vingtième siècle tous les livres, pour être précis les 100 oeuvres, qu'il souhaite conserver au vingt-et-unième siècle. C'est donc un choix totalement personnel, égotiste, joyeux, inattendu, parfois classique (Fitzgerald, Paul-Jean Toulet, Salinger et d'autres grands), souvent surprenant (Lolita Pille, Simon Libérati, Patrick Besson, Jay Mc Inerney, Bret Easton Ellis, Gabriel Matzneff, d'autres oiseaux de nuit, d'autres perturbateurs). Il est rare d'établir le panorama d'une littérature en train de se faire, de s'améliorer, de s'inventer. Avec ce livre-manifeste, c'est le Beigbeder livresque, joueur, lecteur, que nous découvrons, en même temps qu'une autobiographie en fragments.L'apocalypse, serait-ce donc l'édition numérique, ou comme dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la température à laquelle le papier s'enflamme et se consume ? Dans son Dernier inventaire avant liquidation, Frédéric Beigbeder commentait le choix de la FNAC. Désormais, dans cette arche de papier, il sauve au vingtième siècle tous les livres, pour être précis les 100 oeuvres, qu'il souhaite conserver au vingt-et-unième siècle. C'est donc un choix totalement personnel, égotiste, joyeux, inattendu, parfois classique (Fitzgerald, Paul-Jean Toulet, Salinger et d'autres grands), souvent surprenant (Lolita Pille, Simon Libérati, Patrick Besson, Jay Mc Inerney, Bret Easton Ellis, Gabriel Matzneff, d'autres oiseaux de nuit, d'autres perturbateurs). Il est rare d'établir le panorama d'une littérature en train de se faire, de s'améliorer, de s'inventer. Avec ce livre-manifeste, c'est le Beigbeder livresque, joueur, lecteur, que nous découvrons, en même temps qu'une autobiographie en fragments.
Durée : 16h. 1min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18078
Résumé:"Si les hommes avaient le pouvoir d'organiser les circonstances de leur vie au gré de leurs intentions, ou si le hasard leur était toujours favorable, ils ne seraient pas en proie à la superstition. Mais on les voit souvent accules à une situation si difficile, qu'ils ne savent plus quelle résolution prendre; en outre, comme leur désir immodéré des faveurs capricieuses du sort les ballotte misérablement entre l'espoir et la crainte, ils sont en général très enclins à la crédulité... Lorsqu'ils se trouvent dans le doute, surtout concernant l'issue d'un événement qui leur tient à coeur, la moindre impulsion les entraîne tantôt d'un côté, tantôt de l'autre ; en revanche, dès qu'ils se sentent sûrs d'eux-mêmes, ils sont vantards et gonflés de vanité. Ces aspects de la conduite humaine sont, je crois, fort connus, bien que la plupart des hommes ne se les appliquent pas..."
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 5h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18303
Résumé:Mystérieusement, Bratislava attirait toujours mon regard. Si les quatre syllabes rocailleuses, baignées d'eaux danubiennes et de songes slaves, ne m'avaient pas ainsi fasciné, ce livre n'eût sans doute pas existé. Ma vie en eût été changée, comme est détourné le cours d'un ruisseau : serais-je allé là-bas, en 1947, fêter mes vingt ans ? Y serais-je retourné, la cinquantaine bien entamée, à la poursuite d'images presque effacées mais douées de la patiente insistance des songes ou de l'oubli ? François Nourissier
Durée : 11h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18239
Résumé:Dans le premier mot, Vassilis Alexakis entreprend une expédition aux sources du mythe le plus fondateur qui soit : la naissance du langage. « D'après Hésiode, les mots ont été enfantés par les Muses. Platon les attribue à un mystérieux législateur, un esprit supérieur qui n'appartient sûrement pas à notre monde... ». Au-delà des légendes, Alexakis propose une surprenante épopée à travers le temps pour élucider ce « problème insoluble » : quel fut le premier mot jamais prononcé ? Cette question primordiale surgit dans l'âme d'un érudit en fin de vie. Vassilis Alexakis conte la mort d'un homme, cultivé et instruit, curieux et savant. Et l'aventure de sa soeur qui, pour poursuivre l'oeuvre de son frère décide d'élucider le dernier mystère, la dernière intrigue qui l'avait attirée, une question qui interroge le commencement de l'humanité. S'ouvre alors une quête prometteuse et historique.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 2h. 59min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 18205
Résumé:Un voisin durable, c'est un voisin qui trie ses déchets et me surveille pour que j'en fasse autant. Une amitié durable, c'est une amitié où l'on ne met pas en danger l'avenir de la planète, même en paroles. On évite d'aborder les sujets qui fâchent. On gobe le discours moralisateur avec le sourire. On accepte l'opportunité marchand en ouvrant son portefeuille. On se garde de penser sans gourou, sans nounou. On se retient. Ce livre raconte comment je ne me suis pas retenu.
Lu par : Jean Frey
Durée : 8h. 53min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 17949
Résumé:En une soixantaine de textes courts, François Béguin, ancien directeur de la Maternité de Genève, évoque l'évolution spectaculaire de l'obstétrique moderne, les avancées, défis et problèmes qui ont marqué cette spécialisation durant la deuxième moitié du XXe siècle. L'auteur soulève les questions posées par la médicalisation de la reproduction humaine et aborde, sous le prisme de son expérience personnelle, divers sujets de controverse : interruption volontaire de grossesse, accouchement à domicile, rôle de la sage-femme, médecines douces, Mouvement de libération des femmes, prostitution, aide médicale au suicide, obstétrique et religion, xénophobie, etc. Il relève la notion de beauté caractéristique de la grossesse et de la naissance, la relation entre les arts et le début de la vie. Alliant souvenirs et réflexion, François Béguin livre ici un témoignage authentique, subtil, teinté d'humour, qui esquisse les contours d'une profession passionnante.
Lu par : Jean Frey
Durée : 9h. 9min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18215
Résumé:Peut-on être pasteur et athée ? Klaas Hendrikse revendique avec éclat ce paradoxe. Il en fait une condition pour parler avec honnêteté de la foi chrétienne. Son livre s'adresse à tous ceux qui ne trouvent plus leur compte dans les Eglises. Pour l'auteur, celles-ci fonctionnent sur des schémas anachroniques auxquels plus personne n'arrive à s'identifier. A l'origine, Dieu se produit dans les relations humaines et n'a rien à faire avec la création du monde, avec des systèmes de croyances métaphysiques qui ont dissimulé sa vocation première. Si Dieu n'existe pas en tant que tel, il n'en surgit pas moins dans toutes les situations où l'expérience humaine dépasse l'ordinaire : dans la douleur, l'émerveillement, dans le cheminement de toute quête humaine vers le dépassement de soi. Renvoyant dos à dos les chrétiens traditionnels et certains athées définis par lui comme des fondamentalistes à l'envers, ce pasteur propose une nouvelle voie qui tranche avec toutes les tentatives actuelles de profiler les Eglises sur les attentes en matière de spiritualité. Avec humour et tonicité, en évitant tout jargon religieux et théologique, Klaas Hendrikse offre un essai décoiffant pour imaginer de nouvelles manières de croire ensemble. Klaas Hendrikse (1947) est pasteur à la paroisse hollandaise de Middelburg. Son livre ici traduit en français et vendu à plus de 40 000 exemplaires aux Pays-Bas l'a fait largement connaître. Des foules nombreuses se pressent à ses cultes.
Durée : 14h.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17927
Résumé:Le 4 mars 1818, Stendhal, 35 ans, rencontre Mathilde Dembovski, il écrit « je me connais, je vous aime pour le reste de ma vie » ; cet « amour fou », non partagé, est considéré comme l'événement majeur de sa vie... il commettra en son nom les pires extravagances... Pour elle il écrit De l'amour où il définit quatre types d'amour ...
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 48min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17891
Résumé:Livre posthume dans lequel l'auteur mène son propre interrogatoire sur l'écriture, la littérature, le sexe, Dieu, la mort, la foi protestante, la jouissance des corps, etc. "- Qui vous autorise à parler en initié de votre propre mort ? Tant que je vous interroge, sachez-le, je ne tolérerai pas que vous en usiez avec la mort comme Guignol se joue des gendarmes ! - Je ne me moque ni de mourir, ni de la mort, ni de ma poussière de mort. Quelque chose en moi, qui parle de retour, me donne irrésistiblement la force de remonter de la poudre où je serai diffus à une espèce de parole, peut-être de voix, un souffle, un glissement d'air où les mots ne sont plus inaudibles mais deviennent précis, à nouveau doués de forme, de son, et capables de s'organiser en phrases. Disons qu'ils sont silencieux, qu'ils se tiennent à hauteur d'oreille entre l'absence et l'écho, et voici, vous les entendez, je vous l'avais dit : "Je reviendrai." "
Durée : 1h. 47min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17878
Résumé:Dans un livre, j'ai lu que le mot "canoë" est arrivé en Europe grâce aux Espagnols. En somme, "canoë" a voyagé en "caravelle"... Dans un livre, j'ai lu que Cocteau fit rire un auditoire d'Immortels, en déclarant dans son discours de réception à l'Académie française: "Je sais que la poésie est indispensable. Mais je ne sais pas à quoi..." Dans un livre, j'ai lu que..., ce sont les trésors de lecture d'Eugène, insolites, drôles, érudits...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 1h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17795
Résumé:... Petit bijou longtemps oublié au fond de la malle à trésors de Robert Louis Stevenson. On y retrouve le vieil adage selon lequel la paresse serait le commencement de la sagesse, avec tout le charme et la liberté d'esprit du père de L'Ile au trésor. Voici une fantaisiste invitation à la rêverie, à l'indépendance d'esprit, assortie d'aphorismes, tel: «C'est chose amère que d'avoir peiné à gravir des pentes ardues, pour découvrir en définitive que l'humanité est indifférente à votre réussite.»
Durée : 10h. 4min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17789
Résumé:De même que l'artiste ne crée pas de façon continue, mais lors de rares moments d'inspiration, l'Histoire, selon Zweig, procède par bonds: une succession de faits banals est interrompue de loin en loin par des événements clés. Ce sont ces moments " d'une grande concentration dramatique, porteurs de destin, où une décision capitale se condense en un seul jour, une seule heure et souvent une seule minute°", que Zweig a voulu illustrer à travers ces douze récits. Il y narre, et commente à sa manière, des événements aussi divers que la prise de Byzance, la quête de l'Eldorado, la bataille de Waterloo, l'expédition du capitaine Scott au pôle Sud, la pose de la première ligne télégraphique sous l'océan Atlantique, les derniers mois de la vie de Haendel et la genèse du Messie, ou la composition de La Marseillaise par Rouget de Lisle. En 1939 avait paru, sous le titre Les Heures étoilées de l'humanité, une première édition du recueil de Stefan Zweig. Aux neuf textes traduits à l'époque viennent aujourd'hui s'ajouter trois textes inédits en français, ainsi que la préface originale de l'auteur. Les Très Riches Heures de l'humanité constituent la première édition française intégrale de Sternstunden der Menschheit
Durée : 6h. 53min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 18129
Résumé:Peut-on aimer la Suisse au-delà des clichés sur les vaches, le chocolat et le " propre en ordre " ? Frank Bridel en est convaincu. Il l'a parcourue en tout sens et fouillé dans une vaste documentation pour choisir en toute indépendance ce qui le fait vibrer : - des sites, des monuments, des cantons et leurs peuples ; - des oeuvres et des vies d'artistes, d'écrivains et de chefs ; - des destins émouvants de femmes et d'hommes exceptionnels ; - des prouesses comme la saga heureusement inachevée des Piccard ; - des institutions, des traditions bien vivantes, des hauts faits et d'autres grandes pages d'histoire. Cette sélection, Frank Bridel la présente sous la forme de cinquante-deux brefs sujets groupés par ordre alphabétique. Ce livre n'est pas un guide de plus. C'est un chant d'amour que l'auteur destine non seulement à ses compatriotes, mais aussi aux étrangers qu'intéresse la Suisse.