Contenu

Recherche par mot-clé: Chemins de Saint-Jacques -Récits personnels

3 résultats.

Durée : 19h.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 79267
Résumé:"Lorsque vous avez aperçu la couverture de ce livre sur Saint-Jacques- de-Compostelle, vous vous êtes sûrement dit : "Tiens ! Encore un livre sur le Chemin…" Par simple curiosité, vous avez pris le livre en main et vous avez lu la 4e de couverture pour en savoir davantage. Cet ouvrage est le témoignage de mon retour à pied de Saint-Jacques-de-Compostelle avec des rencontres exceptionnelles, de longues traversées solitaires, des incidents techniques dus à la marche quotidienne et petit à petit, l'élévation de l'âme vers le spirituel… Tout au long de ce retour, j'ai relaté dans mon petit carnet de voyage mes réflexions, mes observations et la transformation que je sentais là, au fond de moi. Mon tempérament de Marseillais m'ouvrait sur les autres mais écrire n'était pas habituel pour moi : je voulais exprimer l'importance d'une rencontre, la signification d'une attitude, la compréhension d'un fait troublant et comment, tout au long de ces 2000 kilomètres de retour vers ma maison, j'ai parfois senti monter en moi un sentiment d'abandon, espérant pourtant à chaque étape, le soir, un changement profond de mes mauvaises habitudes".
Durée : 5h. 17min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 33512
Résumé:Jean-Marie Paulin a suivi en 2004 les chemins de Saint-Jacques de Compostelle durant cinq mois, dans le seul but de sensibiliser le public à la nécessité de se mobiliser pour donner du sang, du plasma, des plaquettes et d'encourager aussi les donneurs de moelle osseuse, de tissus, d'organes.
Lu par : Willy Bulliard
Durée : 5h. 58min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 20221
Résumé:Jean-Christophe Rufin a rejoint Compostelle par le Chemin du Nord, le plus sauvage, celui qui longe la mer. Ce qu'il rapporte de ces 900 km à pied est la perception d'une humanité poétique et touchante. Son goût des gens, son sens de l'Histoire, de la singularité des lieux, des destins, la dérision qu'il s'applique à lui-même font de ce texte un manifeste enthousiaste et drôle du grand Chemin qui, certes, n'épargne pas le pèlerin mais dont celui-ci sort grandi et parfois même, heureux.