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Recherche par mot-clé: Assassinat

7 résultats.

Durée:2h. 32min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:72620
Résumé: Un récit des événements ayant conduit, l'après-midi du 16 octobre 2020, à la décapitation de Samuel Paty, professeur d'histoire au collège du Bois d'Aulne, à Conflans-Sainte-Honorine. A partir des éléments du dossier, l'écrivain relate cette tragédie tout en dénonçant les incohérences institutionnelles, les mensonges des islamistes et ce qu'il perçoit comme un dévoiement de l'antiracisme.
Durée:38h. 14min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:69083
Résumé: « Face à celui qui vient te tuer, lève-toi et tue le premier. » C’est par cette citation du Talmud que s’ouvre le livre-événement de Ronen Bergman, le premier ouvrage exhaustif sur les programmes d’assassinats ciblés menés par les services du Mossad, du Shin Bet et de l’armée israélienne. Depuis les mois qui ont précédé la création de l’État jusqu’aux menaces les plus contemporaines, Israël s’est appuyé sur le renseignement et les opérations secrètes pour préserver sa sécurité en exécutant, sur son sol ou à l’étranger, ses ennemis. Depuis la Seconde Guerre mondiale, les Israéliens ont ainsi éliminé de manière ciblée plus d’individus que n’importe quel autre pays occidental. Il a fallu plusieurs décennies d’enquête à l’auteur pour réunir ces milliers de documents – dont beaucoup sont encore aujourd’hui classifiés – et pour mener des centaines d’entretiens avec des responsables du Mossad, des anciens Premiers Ministres israéliens, ou encore des membres de commandos parfois célèbres, remontant ainsi toute la chaîne depuis les agents exécutants jusqu’aux plus hautes sphères politiques. Bergman nous fait revivre les grands succès de ces opérations secrètes, certains échecs également, et écrit ainsi une histoire parallèle de l’État hébreu. Une histoire de l’ombre dont on comprend dès les premières pages qu’elle est ancrée dans l’ADN de la nation israélienne. Il s’agit d’un projet extrêmement ambitieux mais aussi d’un fabuleux page-turner qui se dévore, chapitre après chapitre, à l’instar des meilleures séries télévisées. Et pourtant nous ne sommes pas du côté de la fiction, Bergman nous raconte un monde secret mais bien réel qui continue, encore aujourd’hui, de modeler le Moyen-Orient et les relations internationales.
Durée:18h. 2min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:65122
Résumé: Les auteurs présentent treize hommes et femmes historiques qui malgré leurs parcours brillants ont été trahis, abandonnés et souvent assassinés. Ils racontent ainsi l'histoire, au-delà du mythe, d'Hannibal, de Cléopâtre, de Jeanne d'Arc, de Trotski ou encore de Nixon, ouvrant la voie à une réflexion sur le pouvoir et la postérité.
Durée:16h. 55min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:34022
Résumé: En 1968, James Earl Ray assassine Martin Luther King à Memphis et prend la fuite. Entre le 8 et le 17 mai de la même année, il se cache à Lisbonne où il tente d'obtenir un visa pour l'Angola. En octobre 2013, sur les traces de James Earl Ray dans la capitale portugaise, Antonio Munoz Molina se remémore son premier voyage dans cette ville, en 1987, quand, mari et père immature, fuyant un travail médiocre, il essayait d'écrire son deuxième roman, une histoire d'amour sur fond de jazz et de roman noir, L'Hiver à Lisbonne. La fascinante reconstruction du séjour de l'assassin croise alors le passé de l'auteur, et les deux récits alternent. L'un, autobiographique, relate, à la première personne et sur un mode très intime, l'apprentissage de la vie et des mécanismes du roman ; l'autre, à la manière d'un thriller, témoigne de ce qu'est l'accomplissement de la fiction, quand, fondée sur le réel, elle va au-delà des faits pour entrer dans la conscience des protagonistes. En prestidigitateur, le grand écrivain espagnol fait entrer le lecteur dans le mystère de l'univers mental du tueur, où se mêlent racisme, misère, admiration pour les livres de science-fiction, et la certitude que l'on peut impunément tuer un Noir militant des droits civiques. Comme l'ombre qui s'en va est un livre important, hypnotique, qui prend le risque de mêler deux genres littéraires et, en dernière instance, expose la théorie du roman de l'auteur.
Lu par:Manon
Durée:11h. 54min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:30163
Résumé: L'histoire est tragique et accouche toujours dans la violence, comme le dit Marx. On en aura la preuve en lisant cet ouvrage d'investigation historique qui raconte - de l'Antiquité à nos jours - l'histoire méconnue, déformée ou oubliée d'assassinats majeurs tant par les personnalités frappées que par les conséquences engendrées. Embrassant les siècles et les continents, Jean-Christophe Buisson surprend par des révélations et surtout un art du récit qui lui fait aborder chaque cas à partir de structures narratives différentes et originales. Parfois comme un compte à rebours, parfois du point de vue du bourreau, d'autres fois en suivant la victime; le plus souvent dans une mise en parallèle chronologique des destins de l'assassin et de l'assassiné jusqu'au moment de leur rencontre fatidique. Au final, quinze chapitres qui sont autant de thrillers mettant en scène attentats, meurtres, complots, exécutions et coups d'Etat.
Durée:5h. 16min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:7609
Résumé: Raspoutine, surnommé "le débauché", de son vrai nom Grigori Efimovitch Raspoutine, est né le 10 janvier 1869 et mort assassiné dans la nuit du 16 au 17 décembre 1916. Originaire des confins de la Sibérie, c'est un mystique errant, un "staretz", proche de la secte des "Khlysty". "Staretz" était un titre donné à des mystiques, laïcs ou religieux, qu'on venait consulter. Il était d'une stature moyenne mais avec une carrure imposante. Il était de nature sale et grossière, mais dégageait un magnétisme envoûtant et étrange. Il portait des cheveux et une barbe longs et hirsutes mais possédait avec ses yeux bleus clairs, très perçants, un curieux regard hypnotique qui semblait avoir le pouvoir de transpercer l'âme de ses interlocuteurs. Son père était fermier dans le village sibérien de Pokrovskoïé, du district de Tioumen, dans la province de Tobolsk, à 2500 km à l'Est de la capitale russe Saint-Pétersbourg. Le 23 janvier 1871, un météore avait traversé le ciel au-dessus du village de Pokrovoskoïé, et ce phénomène annonçait, disait-on, la venue au monde d'un personnage exceptionnel.
Durée:12h. 1min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:26649
Résumé: L'histoire contemporaine, à l'image de toute l'Histoire, s'est construite sur des imprévus fulgurants. Comme on le verra ici, les meurtres politiques sont une manifestation éclatante et dramatique de ces inattendus qui changent brutalement le cours des événements. Parmi les plus célèbres, celui de John F. Kennedy en 1963, celui de Trotski au Mexique en 1940, sans oublier celui de l'archiduc François-Ferdinand, héritier des Habsbourg, le 28 juin 1914, qui déclencha la Première Guerre mondiale et entraîna la fin de l'ancien monde européen. L'enjeu de ces meurtres à répétition qui décapitent un Etat ou un symbole fort est incommensurable. Ainsi l'assassinat, en 1911, de Pierre Stolypine, Premier ministre de Nicolas II, va-t- il ouvrir la voie à la révolution bolchevique de 1917. Quand Alexandre ler, roi de Yougoslavie, alors en visite officielle à Marseille, succombe aux balles d'un terroriste croate, en 1934, tout a été filmé. Hitler se repassera, fasciné, ces images terribles: preuves des failles profondes de la société française. La violence va alors décider de tout ou presque...Trotski, l'homme du matérialisme historique, n'est-il pas rattrapé en exil par une de ses "créatures" ? Hitler, lui-même, a failli périr dans l'attentat fomenté par le colonel von Stauffenberg le 20 juillet 1944. Avec le temps, la guerre réelle s'efface pour laisser le meurtre faire place nette. L'assassinat d'Aldo Moro en 1978, par les Brigades Rouges à Rome, nous projette ainsi au coeur du terrorisme international, dont les ramifications s'étendent aux services secrets des grandes puissances. Mais la "mort" n'arrive pas qu'aux autres. Dominique Venner nous confiera pour finir le "suicide" d'un ami survenu en 1994: François de Grossouvre, un proche de François Mitterrand, qui n'avait aucune raison de mourir...