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Recherche par lecteur : Jean Frey

429 résultats. Page 9 sur 22.

Lu par : Jean Frey
Durée : 5h. 42min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 20248
Résumé:« Certes, ce n'est pas en une génération Que l'on acquiert un Art qui frise l'excellence. Il fallut en manger des blancs à grosse panse, Goûter du missionnaire, en plats saucés ou non, Ou en sucer des os, sans presque rien autour, De trop maigres prêcheurs au regard de vautour ! »
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20237
Résumé:Quatrième tome de l'autobiographie de l'auteur. Cette fois, monsieur Bernhard, âgé de dix-huit ans est hospitalisé dans l'établissement pour poitrinaires Grafenhof. Il passe le temps en observant les autres malades et en réfléchissant à ses origines obscures. En effet, il n'a jamais connu son père et lorsqu'il ose aborder le sujet avec sa mère, il se heurte à une hostilité sourde et tenace. Son grand-père lui manque cruellement et bientôt, il devra affronter la perte d'un autre être cher en la personne de sa mère qui se meurt d'un cancer. Son état de santé est inquiétant et il doit subir un pneumopéritoine, intervention toute nouvelle à l'époque. Son univers se réduit donc à sa chambre de malade qu'il partage avec différentes personnes auxquelles il s'attache mais qui lui sont enlevées soit par une guérison miraculeuse ou bien une mort affreuse. Le jeune homme se sent de plus en plus seul au monde et son moral vacille. Il décide pourtant de se battre et de s'accrocher à ce qui lui reste de vie malgré toutes les épreuves et les perspectives d'avenir plutôt minces. Sa carrière de chanteur est sérieusement compromise et son certificat de commis d'épicerie ne lui est d'aucune utilité car qui va engager un poitrinaire pour servir la clientèle ? Il découvre « Les démons » de Dostoïevski ainsi que d'autres livres qui lui permettent de tenir le coup.
Lu par : Jean Frey
Durée : 1h. 10min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 20231
Résumé:"Oui, Monsieur. C'était une toute petite femme. Blonde, frêle, maquillée, elle se promenait dans la brousse en fumant des cigarettes américaines et, au début, nul au monde ne l'aurait empêchée de changer de robe deux fois par jour. [...]. Et c'est ainsi que la petite femme nous arriva avec un nombre prodigieux de malles et un pékinois. Car elle avait emporté son pékinois avec elle !»
Lu par : Jean Frey
Durée : 1h. 11min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 20202
Résumé:Jean-Jacques Rousseau a écrit quatre lettres adressées à Malesherbes, rédigées entre le 4 et le 28 janvier 1762, aux travers desquelles il dépeint le bonheur qu'il a eu de savourer son exil à la campagne alors que la « société » le croyait malade. Rousseau s'est rapproché de son ami académicien qui n'a eu de cesse de le défendre avec « une droiture à toute épreuve ». Après le Discours sur les sciences et les arts en 1750 et le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes en 1755, Voltaire ne s'est nullement privé en déclarant : « On n'a jamais employé tant d'esprit à vouloir nous rendre bêtes » et Diderot, plus lâche, s'est exprimé sur le sujet, par personnage interposé de l'une de ses pièces de théâtre : « L'homme de bien est dans la société, et il n'y a que le méchant qui soit seul ». Rousseau, quant à lui, tente de s'expliquer davantage sur les fondements de sa retraite dans La Lettre à l'Alembert sur les spectacles en 1758. Mais en vain. Il reste incompris.
Lu par : Jean Frey
Durée : 8h. 45min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 20142
Résumé:Depuis 2010, la crise financière des crédits subprime s'est transformée en une crise des dettes publiques, et tout semble indiquer que le pire est encore devant nous. L'impasse dans laquelle les marchés financiers enferment l'économie européenne va jusqu'à remettre en cause les institutions mêmes du vivre-ensemble européen. Y a-t-il d'autres issues que la généralisation des plans d'austérité budgétaire, le paiement des dettes bancaires par les contribuables et la déflation? L'auteur met en lumière les illusions qui brouillent le débat public actuel. Il montre que la transition écologique est un projet de société capable de sortir l'Europe du piège où l'a précipitée la démesure financière et suggère des pistes pour lever les obstacles financiers à sa mise en oeuvre.
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 34min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 20136
Résumé:Ni thèse, ni synthèse, cet essai peut être lu comme l'aboutissement d'une longue recherche. Et d'une réflexion sur l'histoire, sur les périodes de l'histoire occidentale, au centre de laquelle le Moyen Âge est mon compagnon depuis 1950. Il s'agit donc d'un ouvrage que je porte en moi depuis longtemps, des idées qui me tiennent à cœur. Écrit en 2013, à l'heure où les effets quotidiens de la mondialisation sont de plus en plus tangibles, ce livre-parcours pose des questions sur les diverses manières de concevoir les périodisations dans l'histoire : les continuités, les ruptures, les manières de repenser la mémoire de l'histoire. Traitant du problème général du passage d'une période à l'autre, j'examine un cas particulier : la prétendue nouveauté de la « Renaissance » et son rapport au Moyen Âge auquel j'ai consacré avec passion ma vie de chercheur. Reste le problème de savoir si l'histoire est une et continue ou sectionnée en compartiments ? ou encore : s'il faut vraiment découper l'histoire en tranches ? Jacques Le Goff
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 58min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20105
Résumé:Né discrètement en Hollande où sa mère va cacher un accouchement hors mariage, Thomas Bernhard est bientôt recueilli par ses grands-parents qui vivent à Vienne. La crise économique des années trente les force à s'établir dans un village aux environs de Salzbourg où l'enfant découvre avec ravissement la vie campagnarde. Le grand-père, vieil anarchiste, doit aller s'installer à Traunstein, en Bavière. Le jeune Thomas se familiarise avec le monde de la petite ville, commence à s'émanciper, fait l'école buissonnière et ses premières escapades à vélo. Il découvre aussi le national-socialisme et la guerre aérienne.«Le monde enchanté de l'enfance» n'est pas celui pourtant du petit Thomas. Persécuté par ses maîtres, souffrant du complexe de l'immigré et du pauvre, il a plusieurs fois la tentation du suicide, tentation qui plus tard hantera aussi l'adolescent et le jeune homme.
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 53min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20088
Résumé:Salzbourg, c'est la beauté. l'art, la culture. C'est aussi une ville au climat pourri, peuplée de bourgeois bornés, mesquins, matérialistes, hypocrites. une ville haïe de l'auteur qui y est né, qui ne peut jamais y retourner sans se sentir de nouveau accablé par l'atmosphère qui s'en dégage. où tout être sensible se sent condamné à tous les abandons et parfois au suicide. C'est l'idée du suicide qui obsédait le collégien lorsque. dans le cagibi à chaussures de l'internat où l'avait placé son grand-père, il étudiait le violon. Internat dirigé par un nazi. selon des méthodes éprouvées. guère différentes de celles des bons catholiques qui le remplacèrent après la défaite. Entre-temps il y a eu la guerre et les bombardements avec leurs visions d'horreurs. Premier volume autobiographique de Thomas Bernhard, L'origine nous plonge dans l'enfer quotidien de l'internat dans lequel il a passé son adolescence. D'abord tenu par les nazis, il est reconverti en établissement catholique, après la chute du III Reich. mais les méthodes restent les mêmes...
Durée : 2h. 52min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 20072
Résumé:La Répétition ou L'Amour puni est une pièce en cinq actes et en prose de Jean Anouilh, créée à Paris au Théâtre de Marigny le 25 octobre 1950, et publiée à Paris la même année. La Répétition fait partie des "pièces brillantes" où se rangent des œuvres plus tardives d'Anouilh et qui ont en commun que le théâtre dans le théâtre y est représenté. "La Répétition ou l'Amour puni" est une des grandes pièces d'Anouilh. L'auteur se livre dans cette œuvre à un des exercices les plus intéressants de l'histoire du théâtre. Celui d'animer des personnages qui vont animer eux-mêmes d'autres personnages en jouant une pièce dans la pièce." Anouilh combine dans ses pièces brillantes des éléments tragiques, réalistes mais aussi des éléments fantastiques. En outre, l'action se déroule la plupart du temps dans un environnement aristocrate.
Lu par : Jean Frey
Durée : 19h. 19min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20050
Résumé:L'Œuvre est un roman d'Émile Zola publié en 1886, le quatorzième volume de la série Les Rougon-Macquart. L'ouvrage nous entraîne dans le monde de l'art et des artistes, à travers le portrait d'un peintre maudit, Claude Lantier, dont le personnage évoque Paul Cezanne, grand ami de Zola, qui se brouillera avec l'écrivain après la publication du roman. (wikipedia.org)
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 15min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20007
Résumé:Après L'origine et La cave, ce troisième volet de l'autobiographie de Thomas Bernhard marque une étape décisive : la maladie l'ayant obligé à renoncer à sa carrière de chanteur, il se tournera désormais vers la littérature, avec cette passion qu'il met à devenir, envers et contre tout, lui-même.
Durée : 3h. 2min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19990
Résumé:L'Idée fixe est une pièce de théâtre, adaptée du livre de Paul Valéry L'Idée fixe ou Deux hommes à la mer (paru en 1932), par Pierre Fresnay et Pierre Franck. Elle fut créée au Théâtre de la Michodière le 17 janvier 1966. Un philosophe atteint par le mal d'amour, essaie de tuer cette douleur, cette "idée fixe " qui le ronge... Tout à ses idées tristes, il est dérangé par un médecin de ses connaissances, un véritable casse-pieds. Celui-ci, en vacances, vient peindre la mer si belle à cet endroit, et éventuellement, pêcher quelques poissons... En fait, il tente de tromper lui aussi son " mal ". Le mal de l'activité, même en vacances. Mal d'amour, mal de l'activité vont se rencontrer, s'opposer, se mesurer. Tout y passera, la vie, la mort, les hommes, les dieux
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19958
Résumé:«Partir dans la direction opposée» à celle qu'il a prise, comme chaque jour pour se rendre au lycée, voilà ce que décide soudain Thomas Bernhard à quinze ans. Ce demi-tour décidera de toute sa vie. Il ne le regrettera jamais. Pourtant les conditions sont dures dans la cave de M. Podlaha, le magasin d'alimentation où il a trouvé une place d'apprenti. Aucun travail ne le rebute. Et quelle clientèle ! Dans ce quartier que la ville tient à l'écart, c'est la misère, l'ivrognerie, le crime, le suicide.Dans ce style bien particulier où la répétition de mots, de groupes de mots, développe comme un thème musical une pensée à la fois obsédée et obsédante, Thomas Bernhard raconte son adolescence, les siens, entassés à neuf dans trois pièces, et son goût pour la musique.
Lu par : Jean Frey
Durée : 23h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19950
Résumé:À soixante-quatre ans, Mickey Sabbath est loin de vouloir remiser son audace, son insolence, sa libido ou son humour au magasin des accessoires. À l'occasion de la mort de sa maîtresse,plus audacieuse encore que lui, l'ancien marin, grand habitué de tous les bordels de la planète, le mauvais mari qui peut-être assassina son épouse, le marionnettiste scandaleux aux doigts maintenant tordus par l'arthrose entama un voyage dans le temps et la mémoire. Douloureusement atteint au plus profond de lui-même et poursuivi par les fantômes de ceux qu'il a le plus aimés ou le plus haïs, il est pris dans une suite d'événements à la fois terriblement tragiques et excessivement drôles. Un personnage gargantuesque au cœur d'une farce grotesque : la vie.
Durée : 3h. 14min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19947
Résumé:Le Prince aime Silvia, sa sujette, qui aime Arlequin, le naïf paysan. Les voici tous deux à la cour sur ordre du souverain. Séparés, ils sont l'objet de toutes les attentions, de toutes les flatteries. Mais ni les plus beaux présents, ni la promesse d'une fortune, ni même les lettres de noblesse apportées en grande pompe à Arlequin ne les font renoncer à leur amour. Comme le dit Silvia : «Une bourgeoise contente dans un petit village vaut mieux qu'une princesse qui pleure dans un bel appartement. » Le Prince se désespère car la loi lui interdit de faire violence aux filles de son royaume. Il lui faut donc gagner, d'une manière ou d'une autre, le coeur de Silvia et persuader Arlequin de lui céder sa fiancée. Flaminia, la confidente du Prince, se dit prête à relever ce défi et à « détruire » l'amour des deux innocents. (http://www.culture-cpge.com)
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 37min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 19946
Résumé:Malraux toujours chercha à faire œuvre des instants les plus fortement vécus de son aventure, et à faire de sa vie quelque chose qui ressemblât à une œuvre. Jamais, chez lui, action et fiction n'ont été aussi violemment mêlées qu'à l'heure de son équipée espagnole ; jamais, pour tout dire, le combat mené au jour le jour dans ces moments-là (en 1936 et 1937) n'aura frôlé d'aussi près ce qu'on est en droit d'appeler la légende. Au point que des esprits chagrins, déconcertés par cette trop belle histoire - écrite pourtant avec du vrai sang et de vraies larmes - ont été jusqu'à mettre en doute sa véracité : étrange façon de reprocher au poète, au tisseur de fables, d'être capable, quand il le faut, de tirer l'épée ! Paul Nothomb, qui fut dès l'été 36 l'un des compagnons de Malraux au sein de l'escadrille " Espana ", et qui le restera jusqu'au dernier raid sur le front de Malaga en 37, a tenu scrupuleusement la chronique de cette folle aventure, qu'il livre ici pour la première fois, texte et images à l'appui - et qui se confond, à fort peu près, avec celle de L'Espoir. Il y fait justice, irréfutablement, des insinuations fantaisistes dont on accabla Malraux à cette occasion. Mais surtout il fait revivre, en témoin et en écrivain, ce moment de l'Histoire où des hommes purent se dire qu'ils vivaient à l'altitude de l'épopée. Ce que Malraux résumait crûment par ces mots : " Ce fut une guerre d'hommes. Sans doute la dernière. " Jorge Semprun, dont le trajet intime est lui-même issu de cette guerre-là, a tenu à préfacer ce Malraux en Espagne : " Un beau livre utile et grave, simple et tragique ".
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19920
Résumé:La férocité de Thomas Bernhard fait rage dans les quatre récits rassemblés ici en un volume, selon le souhait de l'auteur. Qu'il s'agisse de Goethe mourant, de la haine de l'Autriche ou la détestation de la famille, l'humour et l'ironie du grand prosateur se révèlent toujours aussi percutants. Mais surtout, ces quatre miniatures contiennent tout l'univers de Bernhard et forment un condensé très maîtrisé des motifs qui traversent toute son œuvre.
Lu par : Jean Frey
Durée : 19h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19808
Résumé:Composé en 1923, La Conscience de Zeno est sans doute le premier grand roman inspiré par la psychanalyse. Mais il est bien plus que cela. Avec la confession de son héros - narrateur qui entreprend d'évoquer pour le médecin qui le soigne les faits marquants de son existence, il demeure l'un des livres fondateurs de la littérature européenne du xxe siècle. C'est Eugenio Montale, Benjamin Crémieux et Valery Larbaud qui révélèrent et imposèrent simultanément, en France et en Italie, pendant l'hiver 1925-1926, le nom d'Italo Svevo, l'écrivain triestin né en 1861, et qui allait mourir en 1928...
Lu par : Jean Frey
Durée : 7h. 13min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 19772
Résumé:Bukowski délivre aux lecteurs qui veulent bien le suivre dans sa démarche, les contes quelques peu exubérants de cette lente conquête de la déchéance. D'abord abrupte, trash, la folie se coule peu à peu dans la vie et se fait plus mature. Elle gagne en âge et arrondit les angles, estompe sa vulgarité, s'intériorise, pour finir par adopter le corps physique qu'elle habite. Sexe, alcool, et courses de chevaux sont son lot quotidien : Bukowski parle de Bukowski ; ou plutôt de son double, son extension littéraire au prénom poussif : Hank. Le barfly jubile de son petit tour d'auto-parodie. Il en rajoute avec quelques portraits taillés serrés : des ouvriers alcooliques, des jeunes auteurs déjà accomplis dont l'œuvre le révulse et qui lui renvoient l'image insupportable de son parcours d'écrivain à succès. Car Bukoswki vomit à la face de ses contemporains. Il vomit aussi ses pages, et vous somme de prendre son parti ou de le fustiger. Certes, l'auteur ne laisse pas indifférent, à la première lecture assurément... à la seconde, on se surprend à trouver les limite de ce trash qui apparaît finalement presque désuet. Et pourtant, cette thématique poursuit sa route, se charge d'une iconographie nouvelle, s'enrichit, s'épanouit, se modèle à l'image du monde moderne. Le trash est clean... il suffit de regarder du côté de la bande d'Irvine Welsh. Changement d'époque, mais même folie... Bukowski a fait des petits ! (Guillaume Folliero - Urbuz.com)
Lu par : Jean Frey
Durée : 12h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19774
Résumé:L'Enfant est un roman de Jules Vallès, premier volet de la trilogie des Mémoires d'un révolté qui parait pour la deuxième fois en feuilletons du 28 juin au 5 août 1878 dans la revue Le Siècle. Cette aventure de Jacques Vingtras est publiée en 1879 et sera suivie des deux autres épisodes de la trilogie : Le Bachelier et L'Insurgé. Ce roman est d'inspiration autobiographique même si certains points ont été modifiés par rapport à la vie de l'auteur : Jacques Vingtras est fils unique, et bien sûr il ne porte pas le même nom (mais on peut toutefois noter qu'il porte les mêmes initiales). Au départ, le manuscrit s'intitulait simplement Jacques Vingtras. C'est aussi un roman réaliste, qui représente les aspects ordinaires, et populaires de la vie.