Contenu

Recherche par lecteur : Ghislaine Pérésan

20 résultats.

Durée:9h. 52min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:23029
Résumé: Les savoirs scientifiques et médicaux permettent aujourd'hui d'identifier de très nombreux facteurs d'altération de la santé par le travail. Pourtant, on constate la généralisation de la mise en danger délibérée d'autrui dans les choix d'organisation du travail, ainsi que dans les politiques publiques les rendant légitimes. Comment expliquer cette contradiction ? Par la pression des " décideurs ", chargés d'abaisser constamment les coûts et qui sous-traitent le travail et ses risques. En bout de cascade de la sous-traitance, la figure de l'intérimaire et de tous les travailleurs " invisibles " témoigne d'un retour à l'insécurité et à l'indignité, formes modernes de servitude. À partir de nombreux témoignages recueillis dans divers secteurs de l'industrie et des services, et à partir de l'exemple phare de l'amiante, ce livre met en lumière l'" angle mort " de la santé publique : les atteintes à la vie, à la santé et à la dignité des travailleurs. Se situant en référence au code de procédure pénale, l'auteure montre comment, au nom des règles du capitalisme néolibéral, l'impunité des responsables est totale, qu'il s'agisse de l'homicide, du délit de mise en danger d'autrui, des atteintes à la dignité ou de la non-assistance à personne en danger. Elle montre aussi les dérives d'une recherche sous influence. Un livre salutaire qui appelle à la vigilance citoyenne et à la résistance individuelle et collective. Prix 2008 de l'Association des journalistes médicaux de la presse grand public (AJMED). Prix Prescrire 2008.
Durée:5h. 59min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:23355
Résumé: Il est question d un accident dans l acception littérale du mot : un taxi quittela route, il y a deux tués, un homme et une femme, un couple d amants àl évidence, et quant au chauffeur survivant, il est bien incapable d expliquer lacause de l accident.Il semble que cette cause ait un rapport avec ce qu il a vu ou cru voir dansson rétroviseur. Mais il n est pas en état de préciser ce qu il a vu au juste, nimême de dire ce qu étaient les deux passagers, où ils allaient, pourquoi toutchez eux paraissait si indéchiffrable.Autant une histoire d amour peut sembler la chose la plus banale qui soit aumonde, autant elle peut aussi paraître inextricable. Des millions, voire desmilliards d hommes ont beau la connaître, cette expérience de masse, au lieud en tirer plus de clarté, en devient plus énigmatique.On finit par croire qu en cela même réside son pouvoir. À l immémorialequestion « L Amour existe-t-il ou n est-il qu une illusion ? » fait à présent échocette autre interrogation : « S il existe, se peut-il raconter ? »Dans cette oeuvre magistrale où il atteint le summum de son art, IsmailKadaré a essayé de raconter l irracontable : une histoire d amour ou l histoired un meurtre, voire encore une toute autre histoire les recouvrant toutes deuxcomme un masque ? Jusqu à la fin, la question ne cesse d obséder le lecteur.
Durée:5h. 30min.
Genre littéraire:Sciences/technologie
Numéro du livre:23515
Résumé: Clones, robots, cyborgs, organes artificiels…: la science-fiction d’hier devient notre réalité et l’on se demande déjà comment préserver une définition de l’humain. Chez ceux que les machines fascinent, Jean-Michel Besnier perçoit une forme de lassitude – voire de honte – d’être seulement hommes. Aux autres qui, au nom d’idéaux humanistes, refusent les progrès techniques, il reproche en revanche leur inconséquence: n’ont-ils pas cru que la liberté humaine consistait à s’arracher à la nature – ce que la technique permet d’obtenir effectivement? Les métaphysiciens de toujours souhaitent que l’Esprit triomphe de la Nature. Les visionnaires d’aujourd’hui, proclamant l’avènement du posthumain, annoncent la réalisation concrète de cette ambition. Grâce à son ingéniosité, l’homme n’aura bientôt plus le souci de naître: il s’autoproduira. Il ne connaîtra plus la maladie: des nanorobots le répareront en permanence. Il ne mourra plus, sauf à effacer volontairement le contenu téléchargé de sa conscience. Mais comment vivrons-nous dans ce monde-là? Quelle éthique nous mettra en harmonie avec une humanité élargie, capable d’inclure autant les animaux que les robotsou les cyborgs? Quels droits, par exemple, devrons-nous accorder à ces robots chargés, là où les hommes sont défaillants, de rendre nos fins de vie plus humaines? Les utopies posthumaines nous obligent à affronter ces questions, à évaluer nos dispositions à engager le dialogue avec cet autre, hier animal ou barbare, aujourd’hui machine ou cyborg. N’est-ce pas là justement, aujourd’hui comme hier, que se joue la grandeur de l’humain?
Durée:20h. 22min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:22464
Résumé: 1959: à la tête de leurs troupes, trois hommes, Fidel Castro, Camilo Cienfuegos et Huber Matos, ce dernier commandant de la fameuse « colonne 9 », s'emparent de La Havane et prennent le pouvoir à Cuba. Neuf mois plus tard, Castro fait condamner Huber Matos, coupable d'être démocrate, à 20 ans de prison, peine que Matos purgera au jour près. Et la nuit est tombée sont les mémoires du commandant Matos, qu'il publia en 2002. Huber Matos, né en 1918, instituteur idéaliste, raconte d'abord comment il a rejoint la guérilla, en est devenu l'un des chefs, et a conquis, avant la victoire finale, Santiago de Cuba témoignage exceptionnel sur l'homme qu'était alors Castro, témoignage aussi sur la vie clandestine des combattants de la Sierra Maestra, leur organisation, leurs histoires individuelles, amitiés et rivalités, revers et succès, portraits de ses proches camarades: Che Guevara, Raul Castro... Ensuite viennent la rupture avec Castro, et la prison: vingt ans de tortures et humiliations de toutes sortes. Écrit dans une langue simple, directe, la langue d'un instituteur, Et la nuit est tombée est un livre bouleversant, par ce qu'il contient d'horreurs et d'espérances déçues il est aussi un document unique sur l'une des figures majeures de notre temps, Castro, dont Matos nous trace un portrait au quotidien, sans haine, et une exceptionnelle leçon de courage: comment survivre au goulag cubain.
Durée:32h. 3min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:24213
Résumé: «L'être ne saurait engendrer que l'être et, si l'homme est englobé dans ce processus de génération, il ne sortira de lui que de l'être. S'il doit pouvoir interroger sur ce processus, c'est-à-dire le mettre en question, il faut qu'il puisse le tenir sous sa vue comme un ensemble, c'est-à-dire se mettre lui-même en dehors de l'être et du même coup affaiblir la structure d'être de l'être. Toutefois il n'est pas donné à la "réalité humaine" d'anéantir, même provisoirement, la masse d'être qui est posée en face d'elle. Ce qu'elle peut modifier, c'est son rapport avec cet être. Pour elle, mettre hors de circuit un existant particulier, c'est se mettre elle-même hors de circuit par rapport à cet existant. En ce cas elle lui échappe, elle est hors d'atteinte, il ne saurait agir sur elle, elle s'est retirée par-delà un néant. Cette possibilité pour la réalité humaine de sécréter un néant qui l'isole, Descartes, après les Stoïciens, lui a donné un nom : c'est la liberté.»
Durée:32h. 3min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:25520
Résumé: «L'être ne saurait engendrer que l'être et, si l'homme est englobé dans ce processus de génération, il ne sortira de lui que de l'être. S'il doit pouvoir interroger sur ce processus, c'est-à-dire le mettre en question, il faut qu'il puisse le tenir sous sa vue comme un ensemble, c'est-à-dire se mettre lui-même en dehors de l'être et du même coup affaiblir la structure d'être de l'être. Toutefois il n'est pas donné à la "réalité humaine" d'anéantir, même provisoirement, la masse d'être qui est posée en face d'elle. Ce qu'elle peut modifier, c'est son rapport avec cet être. Pour elle, mettre hors de circuit un existant particulier, c'est se mettre elle-même hors de circuit par rapport à cet existant. En ce cas elle lui échappe, elle est hors d'atteinte, il ne saurait agir sur elle, elle s'est retirée par-delà un néant. Cette possibilité pour la réalité humaine de sécréter un néant qui l'isole, Descartes, après les Stoïciens, lui a donné un nom : c'est la liberté.»
Durée:11h. 20min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22220
Résumé: A travers l'histoire mouvementée d'une famille, toute l'épopée du jazz, depuis sa naissance à La Nouvelle-Orléans jusqu'à sa consécration à New York, en passant par Chicago et Paris. 1956. New York. Lenny Williams, célèbre saxophoniste de jazz, vient de mourir. Son fils, Dexter, journaliste, est chargé de lui consacrer un article. A contrecœur, le jeune homme plonge dans le passé mystérieux de ce père distant avec qui il entretenait une relation tendue. Ses recherches le conduisent à La Nouvelle-Orléans sur les traces d'un pianiste, descendant d'une lignée d'esclaves, Clarence Melrose. Un homme brisé par des amours impossibles. Une légende du jazz qui interrompit sa carrière brutalement. Et surtout un être merveilleux pour le petit Lenny, qu'il recueillit un jour et à qui il confia son secret... Un roman bouleversant autour de la réconciliation difficile entre un fils et son père en Amérique, terre des grands mythes modernes.
Durée:10h. 20min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:25534
Résumé: Les meilleures années appartiennent-elles toujours au passé ? En est-on responsable ? Ces questions viennent hanter Ingrid Dreyer, architecte et mère divorcée, au cours de quatre jours dramatiques, où plus rien ne se révèle être comme elle le croit. Lorsque son fils adolescent est arrêté pour des actes de violences, lorsque sa relation à un homme plus âgé et marié prend un tour inattendu, Ingrid Dreyer replonge dans les souvenirs de sa jeunesse solitaire et de son mariage raté, afin de tenter de comprendre pourquoi sa vie commence à ressembler à une impasse. Est-elle condamnée à reproduire les comportements, les lubies et les erreurs de sa mère, femme de lettres, qui a connu jadis son heure de gloire ? Les histoires de ces femmes ne sont-elles que les variations díun même thème et díun même drame ? Après Sous un autre jour et Les mains rouges, Jens Christian Grondahl propose ici un nouveau portrait de femme de notre temps, avec cette profondeur psychologique et cette subtilité stylistique qui sont sa marque. Les trajectoires díun certain nombre de personnages reliés entre eux par le sang, les rencontres ou les circonstances síinterpénètrent, se racontent par épisodes alternés, faits en grande partie de discours intérieurs, de va-et-vient entre présent et passé, de souvenirs, de drames muets et intimesÖ Classique dans sa construction, le récit est pourtant plus exigeant quíil níy paraît : les péripéties sont toujours celles de líâme plus que celle de líhistoire ou des corps. Díoù cette impression de minutage précis des journées, de mélange de suspens, de fluidité, díactes anodins et de pensées vertigineuses. Il faut, à líévidence, être maître de son art pour garder líintensité du récit díensemble, ce que Grondahl réussit une fois de plus.
Durée:9h. 37min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:23464
Résumé: Quelle est la toute première religion de l'humanité ? Comment sont apparues les notions de dieu, de sacrifice, de salut, de délivrance, de prière, de clergé ? Pourquoi est-on passé du culte de divinités féminines à celui de divinités masculines ? De la croyance en plusieurs dieux à la foi en un Dieu unique ? Pourquoi la violence est-elle souvent liée au sacré ? Pourquoi y a-t-il plusieurs religions ? Qui sont les fondateurs des grandes traditions et quel est leur message ? Quelles sont les ressemblances et les différences fondamentales entre les religions ? Des premiers rituels funéraires des hommes préhistoriques aux grandes religions actuelles, Frédéric Lenoir explore de manière limpide l'univers foisonnant du sacré. Une question parcourt ce livre : à quoi servent les religions et pourquoi accompagnent-elles l'aventure humaine depuis l'aube des temps ?
Durée:7h. 7min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:23978
Résumé: Tout allait bien pour les Mérour. Un quotidien paisible et heureux au coeur du pays breton, jusqu'à ce matin terrible où Mélodie voit son père, accusé des pires crimes, quitter le domicile familial encadré par des policiers. L'incrédulité cède rapidement la place à l'angoisse, la douleur, puis la colère? Sur la foi d'un témoignage improbable, l'existence de Mélodie et des siens sombre dans le chaos : père emprisonné, déménagement dans un quartier sordide, nouveau lycée, travail de nuit de la mère, mutisme inquiétant du petit frère. Après avoir touché le fond, la jeune fille trouvera-t-elle la force de renouer avec la vie, de retrouver sa dignité et de pardonner ?
Durée:3h. 13min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:23502
Résumé: Café, thé, chocolat, riz, jus de fruits, épices mais aussi jeans, tee-shirts, couettes, ou encore gel douche, des centaines de produits du quotidien, souvent distribués en grande surface, sont estampillés "commerce équitable". Or, devant la multitude des marques fleurant bon l'alter-mondialisme et l'exotisme bio, il arrive au consommateur de douter : l'étiquette "commerce équitable" ne serait-elle pas une invention marketing destinée à glisser quelques kilos de bonne conscience dans les rayonnages des supermarchés ? Joaquin Munoz, directeur général de Max Havelaar - France, organisation non gouvernementale dont le logo est aujourd'hui présent sur plus de 2000 produits, répond sans langue de bois aux multiples interrogations suscitées par cette nouvelle utopie concrète. Enjeux et impacts mais aussi polémiques et avenir, cet essai pratique et dictatique décrypte le commerce équitable pour nous permettre d'en faire une réalité durable.
Durée:9h. 4min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:22866
Résumé: Le 11 avril 1770, le jeune Mozart, âgé de 14 ans, entend le célèbre Miserere d'Allegri, dont la partition est tenue secrète. De retour chez lui, il en retranscrit, de mémoire, l'intégralité. Comment est-il possible de mémoriser une telle pièce ? Que se passe t-il dans la tête de celui qui écrit, de celui qui écoute ? Est-ce une aptitude technique ? Emotionnelle ? Peut-on expliquer le génie de Mozart ? Et que sait-on aujourd'hui des enfants prodiges ? A partir des épisodes les plus emblématiques de la vie de Mozart, Bernard Lechevalier explore les mécanismes de la perception musicale. Nous faisant entrer avec lui dans le cerveau de Mozart, il montre ce que veut dire " avoir de l'oreille " ou " chanter juste ". Et qu'il existe une intelligence de la musique.
Durée:15h. 19min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:22873
Résumé: Un vieil homme se fait tabasser et voler son portefeuille par un groupe de petits voyous mais il récupère vite son bien, arme à la main... Quand il chuchote à l'oreille du voleur son nom, le gamin se met à trembler. Il pourrait le laisser partir, ce serait plus sage, mais il pense: "Et depuis quand avons-nous été sages?" Après avoir tué le petit voleur, il hurle: "J'étais avec le Libanais !" Le Libanais, le Froid, le Dandy, le Buffle, Patrizia... une bande de petits voyous a fait main basse sur Rome, entre la fin des années 70 et celle des années 90. Voici l'histoire authentique de la "bande de la Magliana ", qui a mis la capitale en coupe réglée. Toute l'histoire souterraine de l'Italie de ces années récentes (loge P2, terrorisme noir, assassinat d'Aldo Moro, politiciens et policiers corrompus, services secrets...) défile ainsi sous nos yeux, sans que jamais Giancarlo De Cataldo renonce aux moyens de la littérature: avec une écriture jubilatoire il alterne les scènes de roman noir et les tableaux de mœurs, la bouffonnerie et le drame. Il crée des personnages forts et originaux, notamment de magnifiques figures de femme. Ce roman épique d'une incroyable puissance a été unanimement salué par la presse italienne avant d'être adapté au cinéma par Michèle Placido.
Durée:1h. 54min.
Genre littéraire:Arts
Numéro du livre:23784
Résumé: De l'esclavage à la ségrégation raciale, l'histoire du jazz est intimement mêlée à la lutte pour les droits civiques menée par les Afro Américains. C'est une vibration qui secoue les blues people, l'Amérique en lutte contre elle-même, les anciens esclaves noirs qui hantent l'histoire blanche. C'est un rythme qui balance ses accents swing ou be-bop et qui habite les corps à tout jamais. C'est un souffle sensuel qui plante ses douloureuses racines et ramifie ses mille branches, pour s'adapter encore et toujours. Des chants d'esclaves au free jazz, Philippe Hucher pénètre le jazz et nous livre l'histoire de cette musique protéiforme et intemporelle.
Durée:10h. 30min.
Genre littéraire:Science-fiction
Numéro du livre:23369
Résumé: Léonie, une jeune Libérienne d’une vingtaine d’années, s’enfuit de chez sa tante qui la prostitue depuis l’âge de huit ans. Pour survivre dans la France des blancs, elle expérimente des médicaments pour un étrange laboratoire. Des médicaments qui lui font entendre des voix et la rendent quasiment folle. Condamnée à l’expulsion, elle s’échappe du foyer d’accueil qui l’avait recueillie et entame une errance dangereuse. Cyrian, riche et brillant étudiant de l’École Européenne Supérieure des Sciences, est soumis par Johannes, son parrain, à diverses épreuves avant d’être intronisé dans la confrérie des Titans, une société très secrète qui a mis au point une invention révolutionnaire. Jusqu’où est-il prêt à s’abaisser pour accéder au voyage ultime promis par Johannes ? Edmé, un flic de la Criminelle proche de la retraite et désenchanté, retrouve le goût de vivre lors d’une enquête menée en compagnie de Sylvaine, une collègue plus jeune : une trentaine de cadavres mutilés repêchés dans la Marne, une bande de tueurs sadiques, une plongée dans les bas-fonds humains, rien de tel pour rallumer un feu que l’on croyait à jamais éteint. Quel rapport entre une africaine clandestine qui se croit possédée, un jeune privilégié en mal de sensations fortes et un flic en marche vers une nouvelle vie ? À part le fait, peut-être, qu’ils sont tous les trois des porteurs d’âmes, comme tous les êtres humains. Et que, parfois, les âmes ne sont pas où elles devraient être…
Durée:4h. 10min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:23245
Résumé: L'histoire débute de nos jours au moment où le commissaire Legrand et le docteur Hauterive assistent à la levée du corps de Gabrielle d'Estrée, favorite d'Henri IV, et se termine avec les résultats des analyses scientifiques pratiquées sur les restes de son squelette. Entre ces deux épisodes contemporains qui encadrent l'action, ce sont les dernières semaines de celle que l'on nommait " la putain du roi " qui sont retracées. Ses angoisses, ses interrogations, ses soupçons. A la veille de monter sur le trône de France et de Navarre, enceinte d'un quatrième enfant, se sachant menacée, ne pouvant plus accorder sa confiance à personne, elle tentera, seule, de déjouer les plans macabres de ses nombreux ennemis...
Durée:11h. 34min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:23068
Résumé: Souvenez-vous : le 23 novembre 2006, une heure avant de mourir, Alexandre Litvinenko, ancien agent du KGB réfugié à Londres, apprend qu'il est victime d'un empoisonnement au polonium 210. Une microscopique bombe nucléaire ravage ses cellules sanguines, les médecins ne peuvent plus rien faire pour le sauver... Lors d'un rendez-vous secret dans un hôtel londonien, ce dissident proche de Boris Berezovski (l'homme d'affaires exilé, bête noire de Vladimir Poutine) aurait bu une tasse thé contenant la dose radioactive fatale. Relayée par la presse du monde entier, cette mort atroce devient rapidement une affaire d'État. Elle ébranle les relations diplomatiques entre Londres et Moscou, et nous laisse cette question sans réponse officielle : pourquoi Alexandre Litvinenko a-t-il été éliminé ? Alex Goldfarb, lui-même dissident, a aidé son camarade à fuir la Russie, il a coécrit ce livre avec la veuve de Litvinenko, Marina. Tous deux reviennent sur les événements qui ont précédé l'empoisonnement. Dès le premier chapitre, la tension est à son comble ; nous suivons la folle cavale de Litvinenko et de sa famille en Turquie. Ils ont quitté précipitamment leur pays, sont à la recherche d'un visa, mais l'ambassade américaine rejette leur demande. La CIA, les services secrets russes et turcs entrent en action, Litvinenko est traqué, sa femme et son fils sont en danger. Une course contre la montre et un incroyable retournement de situation vont leur permettre de trouver asile en Grande-Bretagne... Au-delà même du thriller, les auteurs brossent dix ans d'histoire de la Russie, après l'effondrement soviétique, les échecs du gouvernement Eltsine, puis l'arrivée de Poutine au pouvoir suprême. Ils dénouent, sur fond d'espionnage et de police secrète, le système des oligarques, Berezovski en tête, la guerre de Tchétchénie et, bien sûr, l'irrésistible ascension du président russe.
Durée:4h. 2min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:22637
Résumé: L'auteure continue de raconter une saga familiale, celle des grands maîtres de forges du Creusot, commencée dans son précédent livre, O Dix-neuvième. Cette fois, c'est autour de son grand-père, Eugène Schneider, qu'est centré ce récit, qui se termine avec le bombardement des usines du Creusot et la mort d'Eugène. On aurait pu craindre le pire, tant les liens familiaux, s'ils donnent accès à des archives inaccessibles autrement, ne favorisent pas l'indispensable distance entre l'historien et son sujet, sans laquelle le récit risque toujours de basculer dans l'anecdotique ou l'hagiographique. Mais, servie par une écriture remarquable - à la Toussaint, "les jours abandonnent du jour à qui mieux mieux" -, elle évite largement ce piège. Pas totalement, cependant: dans le conflit entre Eugène et ses deux fils (les oncles de l'auteure), elle passe bien vite sur le despotisme du premier, qui se vit en patron de droit divin, oint du Seigneur.
Durée:5h. 1min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:24305
Résumé: Un policier « PJPP » est victime d’une machination qui l’implique avec son arme professionnelle dans un assassinat, à deux pas de sa résidence secondaire normande… « Il prend un an de prison, sort la semaine dernière, et fonce se faire tuer devant chez moi. Que venait-il me dire ? » Un an plus tôt, sa femme s’est-elle vraiment suicidée ? Coupable ? Culpabilisé ? Il s’est mis à boire. La police locale diffère sa décision de mettre en garde à vue un collègue apprécié de ses supérieurs du 36. Pour prouver son innocence, celui-ci met à profit cette hésitation en menant sa propre enquête et en doublant ceux qui en ont la charge. Au terme d’épreuves professionnelles et affectives accablantes, cet homme est déstabilisé dans l’amour qu’il portait à sa femme et dans celui qu’il réserve à sa fille. Isolé et victime d’un faisceau de suspicions, il trouve la force de cesser de boire et celle de faire éclater une vérité particulièrement violente. L’amitié y est perdante, mais l’honneur de la police sort renforcé de cette intrigue émouvante et mouvementée où il apparaît que la principale qualité du policier n’est pas forcément l’orthographe mais la confiance en sa hiérarchie. A l’ombre d’une jeune fille en…pleurs, un policier qui n’a plus peur de son ombre, tire plus vite qu’elle et s’en tire… Maintenant que la vérité n’est plus dans le whisky, à quoi peuvent bien se mettre à rêver les jeunes filles ?
Durée:11h. 13min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:23519
Résumé: 10 septembre 2001, WorldTrade Center. Le pasteur Ari Fliakos quitte sa permanence, troublé par le dernier appel téléphonique d'une des âmes égarées qu'il s'efforce de remettre dans le droit chemin. Après avoir prononcé des paroles dans une langue inconnue, Angela Wayne a récité une liste de 2 973 noms parmi lesquels Ari Fliakos n'en a reconnu qu'un : le sien. Le pasteur n'entendra plus jamais parler d'Angela Wayne. Le lendemain, mardi 11 septembre 2001, la tour l'engloutit dans sa chute. Trois ans plus tard, les agents Pills et Grossman découvrent cet incroyable enregistrement. Piège ? Manipulation ? Andy Grossman est certain d'une chose : cet appel a bel et bien été passé la veille des attentats les plus meurtriers de l'histoire contemporaine.