Recherche par auteur : Triolet, Elsa
4 résultats.
Lu par : Paula Viala
Durée : 2h. 28min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 78573
Résumé:"Je me suis encore réveillée à midi. C'est que je n'ai pas dormi de la nuit. Une insomnie noire. Le monde nage dans le sang, n'empêche qu'un clou dans mon soulier me fait tout aussi mal, n'empêche que dans cet aujourd'hui de mitrailleuses, on peut trouver la mort en glissant sur une peau de banane. Oui, le coeur peut battre à l'unisson avec des millions d'hommes et avoir en même temps des battements secrets qui ne dépassent pas les limites du coeur. Il y a des crimes passionnels en temps de guerre. Oui, oui, il y en a... Un petit crime dans un coin, malgré la grande machine à hacher la viande. Cette disproportion me dérange bien plus que l'idée du crime même... Une insomnie noire". Dans ces nouvelles écrites pendant la guerre, Elsa Triolet brosse les portraits, tragiques et ambigus, de deux femmes brisées.
Lu par : Anne Ballandras
Durée : 13h. 12min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 77651
Résumé:Le titre de ce recueil reprend l'un des mystérieux messages entendus à la radio de Londres pendant l'Occupation, destinés à la Résistance. Dans les quatre nouvelles qui le composent, les personnages ne peuvent échapper au destin de leur pays, la vie privée, l'amour, la famille et la vocation devenant inséparables des événements historiques.
Lu par : Jacques Batteau
Durée : 5h. 45min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 77572
Résumé:Ces quatre nouvelles mettent en scène, pendant la Seconde Guerre mondiale, les illusions perdues et les destins brisés d'une réfugiée se croyant veuve, d'un célèbre écrivain, d'un trio amoureux et d'une femme ordinaire.
Lu par : Elisabeth Duclert
Durée : 12h. 37min.
Genre littéraire : Science-fiction
Numéro du livre : 39536
Résumé:Le cheval roux commence alors que la bombe, les bombes atomiques, ont presque totalement détruit la vie sur la terre, et l'auteur reprend connaissance seule, dans ce monde brûlé, elle-même brûlée, défigurée. C'est d'abord un soldat américain, un aviateur, Henry, lui aussi ayant pris cet aspect terrible, qui sera son compagnon à la recherche des survivants. Et c'est pourquoi, parce que d'abord elle était la seule femme qui demeurât, pour lui elle portera le nom d'Ève. Mais il n'y a pas dans ce roman que l'enfer, l'apocalypse. Le sous-titre ou Les intentions humaines implique une autre anticipation. «C'est l'avenir au bien, comme il y avait dans la première partie un avenir au mal», disait Elsa Triolet. C'est l'homme en devenir, à l'heure où il prend en main sa destinée, où il va dompter les fatalités anciennes, et dans le monde extérieur et dans lui-même, que l'écrivain ici a l'ambition fantastique d'exprimer, d'incarner, de tirer d'elle-même.