Recherche par auteur : Saint-Loup
115 résultats. Page 4 sur 6.
Lu par : Claude Garnier
Durée : 8h. 28min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 28952
Résumé:Le cap de Bonne-Espérance! Le bien nommé pour ceux qui abordent la pointe sud-africaine, ce 20 avril 1688. Des aventuriers ? Non. Des exilés. Des bannis. Pour la plupart huguenots, boutés hors de France après la révocation de l'édit de Nantes. Au début l'aventure leur est douce. Rien ne les rebute. Ni l'effort, ni la peine, ni la précarité de leur condition. Mais voilà qu'on veut les asservir ! Et ceux-là mêmes qui les ont attirés, les Intendants du Cap, avide,, et arrogants. A nouveau il faut partir. L'exode cette fois-ci. Vers Veld, où hommes et femmes, sous l'impulsion d'Alonse Joubert et de l'intrépide Barberine, affrontent la steppe et ses dangers. Des temps héroïques qui voient naître une nouvelle race, celle des Boers.
Lu par : Paula Viala
Durée : 6h. 31min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 29302
Résumé:Grégoire de Tours est né en 538. Après avoir étudié la Bible à Clermont- Ferrand, il a été élu évêque de Tours à l'âge de trente-quatre ans. Cette ville était un centre religieux et politique que se disputaient les Mérovingiens. Pendant vingt ans, Grégoire a gouverné ce diocèse que troublaient sans cesse les luttes fratricides de nos rois. Il trouvait néanmoins le temps d'écrire l'histoire à laquelle il était mêlé de près. Quand il est mort en 594, il laissait donc un témoignage hors pair sur ce VIe siècle si peu connu et si important. C'est l'époque où l'esprit francien succède à la mentalité gallo-romaine. Une nouvelle langue orale se forme, et le latin de Grégoire en épouse les mouvements naturels, les juxtapositions brutales, la rude vitalité : "Nous tenons en haute estime ta manière d'écrire, parce que le peuple peut la comprendre". De fait, ce texte a une dimension d'édification : il fonde la légende noire des rois Mérovingiens, êtres de vice, jusqu'à ce que Clovis se convertisse et fasse de la France celle que l'on nommera « la fille aînée de l'Eglise ».
Lu par : Hubert Charly
Durée : 5h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24113
Résumé:Delacroix, Wagner, Rossini, Stendhal, Musset, Lamartine furent ses admirateurs et soupirants. D'origine espagnole, la Malibran est la plus célèbre cantatrice du XIXe siècle. D'une remarquable beauté, dotée d'une voix exceptionnelle, elle connaît une ascension fulgurante et une vie sentimentale tumultueuse. Un personnage de légende raconté par l'historien du romantisme.
Lu par : Chantal Dejoie
Durée : 8h.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21788
Résumé:Au début des années cinquante, en Angleterre, un petit garçon, fils de diplomate français se retrouve placé par ses parents dans un asile de vieillards à Brighton. Dans ce manoir gothique, face à la mer, cet enfant de cinq ans déambule au milieu d'un cauchemar et lutte pour survivre, au cœur de la vieillesse. " On m'isole, on me camisole. À six heures du soir, on m'a déjà donné à dîner et je ne sais pas pourquoi on me force à me coucher avant les autres. La crainte de voir arriver les vieillards est grande car je ne m'habitue pas à leur cortège de fantômes qui progresse dans le dortoir. " Ainsi défilent le grand Will, écrivain maudit. Lady Beckford, grande dame au caractère altier, le Brigadier Général, ancien officier des Indes et espion de l'Intelligence Service, Faïence Folie, pute au grand cœur, Somerset, loup de mer sadique, Oscar, cuisinier gay, et l'abbé Corentin qui a pour cultes Dieu et les chemins de fer. C'est toute une Angleterre qui ressuscite, de Shakespeare à Jack l'Éventreur, en passant par l'impératrice Victoria et Winston Churchill. Dans ce livre poignant, Gonzague Saint Bris révèle le secret de son enfance : Les Vieillards de Brighton est le roman de sa vie.
Lu par : Claudine Hennevin
Durée : 5h. 9min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 28192
Résumé:Rosa Bonheur a connu, dans la seconde moitié du XIXe siècle, un succès si extraordinaire en France, ainsi qu'à l'étranger, qu'on la considérait comme le peintre le plus célèbre de son temps, alors que cette même époque maintenait les femmes dans une dépendance totale, ne leur reconnaissant aucun droit et, le plus souvent, les empêchant autant de s'exprimer que de créer. Mais Rosa Bonheur, petit bout de femme en apparence et grande artiste dans l'âme, sut très jeune s'affranchir des préjugés, avant d'assurer, par son talent, une émancipation qui fit d'elle un des peintres les plus essentiels de son temps, une femme qui aimait les femmes avec franchise et la première femme artiste à recevoir la Légion d'honneur. Acharnée au travail et jalouse de son indépendance, cette rebelle qui se forma toute seule apprit, au fil des années, à devenir un être pleinement libre. Emule de Delacroix, de Géricault et de Corot, qui lui vouèrent une grande admiration, très appréciée de l'impératrice Eugénie, du duc de Morny, de la reine Victoria ou de Buffalo Bill, la petite bordelaise d'origine modeste, qui finit châtelaine dans la forêt de Fontainebleau, sut imposer à l'Europe cultivée la force de son caractère et la virtuosité de son style. Saint-simonienne convaincue, adorant les animaux, cette vestale de l'art qui, selon sa volonté, vécut et mourut vierge, n'a cessé de peindre ces présumés inférieurs parce que, disait-elle, " ils ignorent les passions ". En leur compagnie, celle que Rustin surnommait la " French Lady " a ainsi composé, à travers des milliers de dessins, de tableaux et de sculptures aussi subtilement savants que formidablement vivants, la dernière grande géorgique de l'histoire de l'art occidental, signant ainsi un véritable épilogue du temps passé.
Lu par : François Goy
Durée : 7h. 35min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 21419
Résumé:Cinq princes caracolent à la grille du château de Versailles. Ils ont pour nom Orléans, Nemours, Joinville, Aumale et Montpensier, sont les fils du dernier de nos rois, Louis-Philippe, et comme tels incarnent pleinement l'époque romantique, puisque c'est sur elle que règne leur père, de 1830 à 1848. Ces cinq princes sont jeunes, beaux, intelligents et courageux, ce qui explique pourquoi les Français en général - et les Françaises en particulier - n'ont d'yeux que pour eux, d'autant que leur existence prend le plus souvent la couleur de l'aventure avec, pour indispensable complément féminin, leurs trois sœurs, Louise, Marie et Clémentine. Héritier du trône, Ferdinand-Philippe, duc de Chartres puis d'Orléans, incarne l'espoir des libéraux, tandis que son cadet Louis, duc de Nemours, manque de peu de devenir le premier roi des Belges puis celui des Grecs. Marin intrépide, François, prince de Joinville, se distingue en ramenant de Sainte-Hélène le cercueil de Napoléon, ouvrant ainsi toutes grandes les portes de la légende impériale. Général rayonnant sous le ciel d'Algérie, Henri, duc d'Aumale, remporte sur Abd el-Kader la première des victoires coloniales, manque de devenir président de la République et finit dans la peau d'un académicien lettré, tandis qu'Antoine, duc de Montpensier, se cherche un destin dans l'Espagne de Carmen. Première reine des Belges, Louise incarne une magnifique image de la résignation sur un trône au moment où Marie, duchesse de Wurtemberg, s'impose comme un audacieux sculpteur et que Clémentine, princesse de Saxe-Cobourg-Gotha, rallie à son charme et à ses intrigues tous les cours d'Europe. Dans leur sillage gravitent d'inoubliables visages de femmes, ainsi que nombre de camarades complices, écrivains, peintres et musiciens, d'Alexandre Dumas à Victor Hugo, d'Alfred de Vigny à Ary Scheffer, et d'Eugène Delacroix à Hector Berlioz. Historien inspiré par la sensibilité nationale au cours des âges, l'auteur du Romantisme absolu signe ici une fresque intimiste sur un aspect encore peu connu de l'Histoire de France, dans lequel ces huit personnages en quête d'auteur incarnent, peut-être mieux que les opposants politiques de leur temps, la démocratie retrouvée, le panache en plus, une profonde modernité et un tempérament raffiné, faisant d'eux de véritables acteurs de l'épopée romantique.
Lu par : Claude Rozier
Durée : 13h. 5min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 22455
Résumé:Il y a 250 ans, le 6 septembre 1757, naissait au Château de Chavaniac, dans les montagnes d'Auvergne, Gilbert Motier, Marquis de La Fayette. Orphelin et millionnaire à 14 ans, marié à 16 ans à la femme de sa vie, major général dans l'armée des États-Unis à 19 ans, tel est La Fayette, célèbre sur les deux rives de l'Océan à 20 ans. Gonzague Saint Bris a consacré vingt ans de recherches sur les deux continents à la poursuite de son héros. Accumulant révélations surprenantes, documents inédits, archives de familles et correspondances privées, il éclaire d'un jour nouveau les soixante-dix-sept ans d'un homme d'idéal et d'action qui bouleverse sur son passage quatre royaumes, deux révolutions, deux républiques et un empire. Tour à tour défenseur des Indiens et des Noirs en Amérique, des protestants et des juifs en France, pionnier des droits de l'homme, prophète du suffrage universel, partisan de l'ouverture, avocat des Irlandais, des Polonais, des Italiens, qui sont à la recherche de l'idée d'une nation, La Fayette anticipe tous les combats de la Liberté. Au-delà d'une biographie considérable, Gonzague Saint Bris met en scène la superproduction d'une époque dont les rôles principaux sont joués avec éclat par Marie-Antoinette, Beaumarchais, le chevalier d'Éon, Alex de Fersen, Philippe Égalité, Choderlos de Laclos, Benjamin Franklin, Thomas Paine, la belle Aglaë, la fascinante Diane, Georges Washington, Louis XVI, Napoléon Bonaparte, sans oublier les portraits polychromes et les cocardes tricolores d'une galaxie de personnages emportés par le vent de l'Histoire.
Lu par : Bernard Goyez
Durée : 10h. 10min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 24419
Résumé:400 ans après son assassinat, le 14 mai 1610, la popularité d'Henri IV est toujours au pinacle. Loin des portraits convenus, Gonzague Saint Bris, dans la lignée de son François t, nous dépeint, par des révélations surprenantes, un Henri de Navarre aussi complexe qu'attachant, aussi intime qu'inattendu, dans sa vie publique comme dans sa vie privée. Une enfance ballottée entre deux maîtresses femmes, sa mère Jeanne d'Albret et la régente Catherine de Médicis, une longue marche vers le pouvoir révélant son éclatant courage et son inlassable obstination dans le chaos d'un pays ravagé par les guerres de religion, un règne exemplaire de vingt ans qui pose les jalons d'une nouvelle France politique et économique. Pour le bien de son peuple, Henri IV choisit une agronomie novatrice, un urbanisme sans ségrégation, une industrie du luxe stimulée par les manufactures, dans un pays irrigué par un nouveau réseau de canaux et de ponts, symboles d'une prospérité qui va fasciner l'Europe. De la correspondance scandalisée d'un envoyé du roi d'Espagne découvrant la frénésie sexuelle du Béarnais à la Cour de Navarre au naturel des bains improvisés du roi, à Paris, sur les berges de la Seine, de sa quasi noyade à Neuilly jusqu'au sort rocambolesque de sa dépouille mortelle, cette biographie captivante foisonne d'anecdotes et de documents inédits. Ce portrait d'un roi magistral est aussi la fresque d'un monde en ébullition : Shakespeare y met en scène les intrigues de Nérac, Montaigne y conseille le prince, Boris Godounov devient tsar, Cervantès est blessé à la bataille de Lépante et Lope de Vega s'engage dans l'Invincible Armada tandis que le Caravage peint à Rome pour le frère de Sully. Dans ce monde bouleversé par l'édit de Nantes, les racines ont des ailes : on apprend dans ce livre que les présidents Washington et Obama descendent tous deux de huguenots français. Guerrier amoureux de la Paix, champion de la tolérance et monarque absolu, le Vert-Galant est aussi cet amoureux insatiable qui voue un attachement très moderne à son innombrable progéniture. A l'heure des déchirures identitaires, il est l'incarnation de la France réconciliée. Henri IV est le seul de nos rois qui aurait pu être élu président de la République.
Lu par : Françoise Sellem
Durée : 5h. 46min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 29895
Résumé:L'Europe a d'abord adulé ce jeune roi de vingt ans follement romantique. Avant de tourner en dérision ce personnage extravagant qui aimait les gens du peuple, préconisait la paix lorsque tous la plupart des pays ne désiraient que la guerre, se ruinait en châteaux féériques et faisait de Wagner un véritable dieu. On l'a dit fou enfin parce qu'homosexuel en ce XIXe siècle si puritain. Mais Louis II de Bavière, solitaire épris de beauté et de poésie, ne disait-il pas de lui-même : « Je veux rester un mystère pour moi-même et pour les autres » ? C'est ce mystère qu'explore la romancière Isaure de Saint Pierre dans un livre qui, à rebours des clichés, rend à Louis II toute sa dimension. Celle d'un amoureux des arts un peu fantasque certes, mais surtout d'un homme politique exigeant qui sut faire face à Bismarck et imposer ses choix.
Lu par : Manon
Durée : 21h. 9min.
Genre littéraire : Littérature fantastique
Numéro du livre : 28094
Résumé:Les jumeaux Raphaël et Raphaëlle sont initiés au mystérieux pouvoir du Strom qui permet de développer des capacités surnaturelles et de communiquer avec le monde de l'Indivisible. A côté de leur emploi du temps scolaire, ils suivent des cours de biologie sur les créatures fantastiques ou apprennent à voir le monde invisible. Leur première mission est d'affronter un spectre venu de l'enfer.
Lu par : Paula Viala
Durée : 3h. 47min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 25561
Résumé:Le narrateur découvre les ruines de deux cabanes dans une plaine intérieure de l'Île de France. Un vieillard lui raconte l'histoire de ses habitants. Deux Françaises, une jeune veuve, Mme de La Tour, et une paysanne séduite et abandonnée, Marguerite, étaient venues y cacher ce que le monde considérait comme leur déshonneur. Elles y avaient accouché de Virginie et de Paul. Aidées par un couple de Noirs, elles y exploitent la terre et élèvent leurs enfants comme frère et soeur. Le bonheur semble devoir les dédommager des malheurs passés. La violence vient pourtant tout contrarier : violence naturelle sous la forme de la puberté de Virginie, puis d'un ouragan qui ravage l'exploitation, violence sociale sous les traits d'une pauvre esclave noire qui sollicite la pitié de la jeune fille. Enfin, Virginie part pour la France rejoindre une riche tante qui veut l'élever selon son rang et en faire son héritière...
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 19h. 8min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 20271
Résumé:Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 14h. 35min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 20272
Résumé:Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 14h. 50min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 20273
Résumé:Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.
Lu par : Jacqueline Duperret
Durée : 10h. 46min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19240
Résumé:Chargée d'interviewer Françoise Giroud pour le magazine Elle, Alix de Saint-André était bien décidée à lui rentrer dans le chou. Cette figure tutélaire du journalisme, fondatrice de L'Express, et ancienne secrétaire d'État, chargée de la Condition féminine, promue grande conscience nationale, lui courait sur les nerfs. Mais elle tombe sur une vieille dame en pleine dépression qui lui fait du thé et la bouleverse. Elle range son revolver. En ce mois de décembre 1987, quarante ans les séparent, elles n'ont pas deux idées en commun, mais elles aiment les mots, leur métier et les chats. Elles deviennent amies. Après la mort de Françoise, en janvier 2003, Alix envoie à sa fille, Caroline Eliacheff, psychanalyste et pédopsychiatre, une lettre de quatorze pages. Caroline lui répond par courrier électronique ; elles ne cesseront plus de s'écrire. Car, très vite, une première biographie vitriole Françoise, et Alix a envie de ressortir son flingue. Signant Sherlock, elle entraîne alors Caroline Watson dans une grande enquête à la recherche de sa mère. Ce livre captivant, joyeux et de belle amitié raconte les aventures de nos deux détectives, et résout quelques-uns des vrais mystères de Françoise Giroud.
Lu par : Pierre Luisoni
Durée : 18h. 31min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19181
Résumé:Longtemps, Jean-Loup Chiflet s'est levé de bonne heure, pour se plonger dans le monde jubilatoire de l'humour. De Montesquieu à Coluche, de Feydeau à Frédéric Dard, de Jules Renard à Bourvil, des Pataphysiciens aux Oulipiens et de Molière à Blondin, il a essayé d'en analyser le mécanisme complexe : l'humour est-il vraiment un «excès de sérieux», comme le pensait Tristan Bernard, ou «une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie» comme le laissait plutôt entendre Raymond Queneau ? Vaste débat... Dans ce Dictionnaire amoureux, et du fait même subjectif, il laisse aussi libre cours à ses passions pour le nonsense anglo-saxon ou les magiciens de la langue que sont Vialatte, Ponge, Prévert et tant d'autres.
Lu par : Simon Corthay
Durée : 6h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19066
Résumé:C'est l'apaisement, une espèce de lumière heureuse qui dominent dans L'Arrosoir rouge. Cette paix, c'est celle de l'accompli. Contrairement aux trois premiers romans de la Chronique qui mêlent à la remémoration le souci et l'appréhension de l'avenir, L'Arrosoir rouge est uniquement le livre du passé revécu. Le temps a fait son oeuvre; les douleurs et les deuils ont perdu leur âpreté; s'il n'y a pas d'amour heureux, les morts sont toujours vivants dans les coeurs, et les souvenirs sont "les jardiniers de l'ombre" qui "préparent à notre insu des corbeilles étincelantes".
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 3h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18059
Résumé:A vingt-cinq ans, il mène une vie simple : des collègues d'usine avec qui faire la fête le samedi soir, des aventures amoureuses sans lendemain et surtout une passion : la chasse et l'amour de la nature. Son existence paisible bascule le jour où il trouve sous les arbres un homme mort avec à ses côtés un carnet aux écrits sibyllins. Obsédé par cette découverte, le jeune homme part sur les routes à la recherche du passé de celui qui a choisi de venir mourir dans sa forêt...
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 6h. 44min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18033
Résumé:En Angleterre, le règne de Henri VIII est marqué par les abus, la corruption et l'iniquité des lois. La société féodale offre un tableau d'une violence révoltante aux âmes éprises d'humanité. Thomas More, juriste au service de la couronne, rêve alors d'un autre monde... 'Malheur au pays où l'avarice et les affections privées siègent sur le banc des magistrats !' Une république exemplaire où la propriété individuelle et l'argent seraient abolis, une république de citoyens vertueux, amoureux de sagesse et de paix. Ce pays, c'est l'Utopie. Seuls les philosophes, hélas, ou les fous, sont capables d'y croire.
Lu par : Francine-Charlotte Gehri
Durée : 11h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17845
Résumé:Les jours que nous passons à travailler dans des bureaux, à faire des visites, à voyager, à nous distraire ou à nous battre de mille façons. M. Saint-hélier les passait à se souvenir, à retrouver le monde, les lieux et les êtres qu'elle voyait, du temps qu'elle circulait parmi eux... telle est la puissance du souvenir. mais plus il est vivace et péremptoire, plus il réclame d'effort et de travail pour parvenir à cette réalité seconde qui est la réalité convaincante... (Blaise Briod)