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Recherche par auteur : Pasolini, Pier Paolo

3 résultats.

Durée:2h. 44min.
Genre littéraire:Voyage/exploration
Numéro du livre:11570
Résumé: " Ce sont les premières heures de ma présence en Inde, et je ne sais pas dominer la bête assoiffée, en moi emprisonnée, comme en cage. Je persuade Moravia de faire du moins quelques pas près de l'hôtel et de respirer quelques bouffées de cet air, d'une première nuit en Inde... " En 1961, Pasolini fit un voyage avec Alberto Moravia et Elsa Morante. Le livre intensément lyrique qu'il en rapporta n'est pas vraiment un récit, mais une " odeur " respirée au cours de ses errances nocturnes. Les visions de l'extrême misère, les spectacles d'une étrange spiritualité sont pour lui comme autant d'étapes d'une descente au sein d'une humanité primitive, moins éloignée qu'on ne pourrait le croire du décor des Ragazzi ou d'Une vie violente.
Durée:1h. 59min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:13111
Résumé: Récit en trois parties d'un voyage, entrepris au cours de l'été 1959, le long des côtes italiennes. Dans ce journal, Pasolini développe une réflexion sur la vie et la mort, que lui inspirent les grands ciels d'été et les plages étincelantes de soleil.
Durée:5h. 8min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:17768
Résumé: OLNI (Objet Littéraire Non-Identifié) total naviguant entre roman pur, essai, et poésie/théâtre, Théorème est scindé en deux parties: la première dresse le tableau d'une famille de la haute-bourgeoisie habitant du côté de Milan. Il y a le beau-père Paul (son nom n'est dit que tardivement dans le livre), la mère Lucie, le fils Pierre, la fille Odette, et la servante Emilie. Ceux-là se font annoncer par l'"angelot" (nom donné au jeune facteur) qu'un "hôte" (il est appelé ainsi tout le long de l'histoire) arrive chez eux. On ne sait absolument rien de cet homme, pas son âge, pas son identité... On sait juste qu'il va séduire tous les membres de la famille, de manière à ce que, quand il ne s'agit pas d'un rapport sexuel, tout le monde ait au moins connu quelque chose de suggestif avec lui. Puis quand il part, c'est la chaos. La seconde partie montre la famille qui se décompose totalement, c'est le mot. Un par un, on suit chaque personnage qui n'est finalement plus qu'un pâle reflet de lui-même, comme si l'hôte avait emporté leurs morales et leurs esprits.