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Recherche par auteur : Natsume, Soseki

5 résultats.

Durée:5h. 38min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:15311
Résumé: Botchan, le"petit maître" crée en 1906 par Sôseki, est aussi célèbre dans la littérature japonaise que Cosette pour nous, ou Tom Sawyer pour les Américains. Ce jeune professeur frais émoulu de Tôkyô, en butte, dans un collège de province, aux tracasseries de ses élèves et aux manoeuvres de ses collègues, est le personnage central d'une savoureuse galerie de portraits, d'un conte moral plein de vigueur, où se mêlent le grotesque caustique et une étonnante âpreté de ton.
Durée:5h. 27min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:36808
Résumé: Il faut lire ce texte d'une originalité et d'une poésie absolues, que Sôseki appelait son roman-haïku. Au printemps, un jeune artiste décide de se retirer dans la montagne, loin des passions et de l'agitation de la cité, rencontre une jeune femme malicieuse et fantasque, rêve de peindre le tableau qui exprimerait enfin son idéal et ne réussit qu'à aligner poème sur poème ! Dans ce manifeste poétique et esthétique, profond, piquant, passionné, indigné, éblouissant, Sôseki approfondit sa méditation sur la création et la place de l'artiste dans la société moderne. " Je ne crois pas qu'un tel roman ait déjà existé en Occident. II ouvrira de nouveaux horizons à la littérature ", prédisait Sôseki en l'écrivant. II est rehaussé de peintures d'une infinie délicatesse, aux couleurs veloutées, chatoyantes, issues d'une édition de 1926 en trois rouleaux où figuraient le texte entièrement calligraphié et une trentaine de peintures, toutes reproduites ici.
Durée:5h. 6min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:13989
Résumé: Natsume Sôseki (1867-1916) est l'écrivain le plus célèbre et le plus représentatif de l'ère Meiji (1868-1912), autrement dit de cette période charnière où le Japon s'ouvre à la modernité et à l'Occident, provoquant une mutation profonde de la société. Oreiller d'herbes appartient à ses premiers romans, et semble d'ailleurs être, tout du moins en Europe, l'un des ses moins connus.
Lu par:Olivier Rumpf
Durée:6h. 14min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20960
Résumé: La société civilisée est un champ de bataille où l'on ne voit pas le sang couler. Vous devez vous préparer à faire face. Vous devez vous préparer à tomber. Ceux qui restent debout dans la rue de la vie avec pour seul but la réussite sont tous des escrocs. Rafales d'automne occupe une place à part dans l'oeuvre de Sôseki, par la portée subversive de son propos, l'audace de son jugement moral sur son époque, qui est aussi un jugement politique. Deux jeunes gens, amis très proches depuis leurs études à l'université, font leurs premiers pas dans le monde. L'un est un esthète à la vie brillante d'un fils de famille prospère. L'autre est un aspirant romancier à la santé fragile, qui tire le diable par la queue. Leurs chemins vont croiser celui d'un professeur rebelle et excentrique, chassé pour insoumission à l'autorité de tous ses postes en province et décidé à faire entendre sa voix à Tôkyô. Et le vent qui se lève, ces rafales coupantes de l'équinoxe d'automne, sera celui de la révolte du savant, de l'homme de bien, face à la nouvelle société soumise aux puissances de l'argent qui s'installe en ce début de vingtième siècle au Japon. Une révolte que Sôseki défend avec cette passion teintée d'ironie qui le caractérise.
Durée:2h. 22min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20124
Résumé: « Un jour, tandis que j'étais dans mon bureau, occupé comme d'habitude à confier au papier des choses mélancoliques, un bruit étrange est parvenu à mon oreille. La véranda bruissait. On aurait d'abord pu croire qu'une femme avançait en retenant le bas de son kimono de soie, mais le froissement de l'étoffe sur le plancher était par trop vif pour un simple bas de robe. J'ai alors comparé ce bruit au crissement des plis de l'ample pantalon que porte le chambellan, lors de la fête des poupées, évoquant le glissement de la soie sur les marches du palais fictif. Laissant mon roman, je sortis sur la véranda, le stylo entre les doigts : le moineau de Chine prenait son bain. »