Recherche par auteur : Cartarescu, Mircea
3 résultats.
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 5h. 14min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 68845
Résumé:Pourquoi nous aimons les femmes, c'est ce que s'ingénie à dévoiler Mircea Cartarescu dans ce recueil de nouvelles, petit joyau à la gloire de l'éternel féminin. Au fil des vingt histoires qui composent le livre, l'auteur distille sa vision de cette mystérieuse altérité : les femmes. Il raconte la beauté, l'incompréhension, la douceur, le désespoir aussi. Il raconte l'entêtement des hommes qui du berceau à l'âge mûr composent, nouent et dénouent une relation sans fin avec elles. Ici chaque femme, chaque récit ne prend sens que lorsque l'on regarde l'ensemble de loin ; s'offre alors à nous un étonnant paysage, sorte de mise en images de la féminité et des sentiments complexes qu'elle suscite. Tendres, perspicaces et profonds, ces textes témoignent de l'immense talent de Cartarescu, un des plus grands écrivains de la littérature roumaine contemporaine.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 33h. 11min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 67118
Résumé:Chef-d’œuvre de Mircea Cãrtãrescu, Solénoïde est un roman monumental où résonnent des échos de Borges, Swift et Kafka. Il s’agit du long journal halluciné d’un homme ayant renoncé à devenir écrivain, mais non à percer le mystère de l’existence. Le protagoniste fait trois rencontres capitales : celle d’Irina, dont il tombe amoureux, celle d’un mathématicien qui l’initie aux arcanes de sa discipline, et celle d’une secte mystique, les piquetistes, qui organise des manifestations contre la mort dans les cimetières de la ville. " Après avoir lu Solénoïde, d’une certaine manière, votre vie est divisée en deux, vous cessez de devenir un lecteur ordinaire, comme après avoir lu Homère, Kant ou Heidegger. "Gabriel Liiceanu
Lu par : Bernard Grandjean
Durée : 24h. 25min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 77867
Résumé:L’histoire de Théodoros se déroule au 19e siècle et raconte la vertigineuse ascension, puis la chute terrible, du fils de simples domestiques d’un petit aristocrate roumain. Teodor, dès son plus jeune âge, rêve de devenir empereur, d’égaler cet Alexandre dont sa mère, grecque, lui chantait les exploits. Comme possédé par son fantasme, le garçon va travailler sans cesse à s’élever et, devenu adulte, il ne reculera devant rien, aucun péché, aucun méfait. Les lettres fiévreuses qu’il écrit à sa mère nous le montrent occupé à sillonner l’archipel grec et le Levant, qu’il écume avec une bande d’affreux pirates, hommes et femmes. Il décrit autant qu’il rêve sa vie aventureuse et les actions cruelles et audacieuses qu’il entreprend dans sa quête de pouvoir et de richesses... Pour finir, Teodor, Théodoros, emportant tout sur son passage, deviendra empereur, comme il l’avait rêvé : il sera l’improbable Téwodros II, souverain d’Éthiopie. Et c’est dans ce costume et cette fonction qu’il mourra, en 1868, en combattant les soldats de la reine Victoria.