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Recherche par mot-clé: Roman français -21e siècle

3 résultats.

Lu par:Marion Duboc
Durée:7h. 58min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:67380
Résumé: Arthur, 6 ans, est atteint du syndrome d'Asperger. Il vit avec sa mère, Camille, dans une bulle qu'elle a spécialement créée pour eux afin de les protéger d'un monde qu'elle perçoit comme un danger. Un soir, cependant, ils croisent la route d'Aurélien, qui trouve en eux ce qui manque tant à sa vie. Il tente ainsi de se rapprocher de ce duo mère-fils sans rompre leur fragile équilibre.
Durée:7h. 57min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:31185
Résumé: Cette nuit-là, Robespierre frappe à la porte de Marie, une céroplasticienne à laquelle il va ordonner de modeler dans la cire le visage d'un vieillard arraché aux cachots de la Bastille. C'est en vérité un mort-vivant qu'il confie à une artiste dont les pouvoirs lui sont inconnus. Comment imaginerait-il qu'une aussi jeune femme sache capter l'essence physique, morale et psychologique des êtres auxquels, par son toucher, elle donne un autre visage? Stupéfait de voir cette magicienne rendre la vie à qui semble l'avoir à jamais perdue, il revient dans l'étrange Cabinet de curiosités. S'en remettant lui-même aux mains de la modeleuse d'âme et de chair, du tréfonds de la Terreur dont il est le premier instrument, c'est le chemin de son propre destin qu'il entrevoit et sur lequel il s'engage sans retour possible, mais avec la folle espérance d'y percevoir ne fût-ce qu'une trouée de lumière. Ce roman s'inscrit dans le droit-fil des livres précédents d'Alain Absire, en particulier Lazare ou Le grand sommeil. Au fil de tableaux saisissants évoquant les toiles de Goya, il offre une lueur d'espoir aux âmes les plus déchirées, capables, par-delà l'effroi de la guillotine, d'éprouver la plénitude de l'amour humain.
Durée:4h. 14min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16206
Résumé: Mais voilà que cette noirceur le rattrape vraiment. Il n'en fait pas mystère, la suicidée à laquelle le narrateur de Lacrimosa, son dernier livre, s'adresse par lettres est une femme qui a réellement traversé sa vie, avant de disparaître tragiquement. Noyé dans un torrent de larmes - «Pendant huit jours, les caniveaux de la rue de Charonne avaient débordé de tes sanglots, et les bouches d'égout n'en pouvaient mais», dit le roman en écho à ce que confie Régis Jauffret lui-même dans ses interviews -, l'écrivain prend la plume (ou plutôt le clavier) afin d'offrir un tombeau de papier à sa chère disparue.