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Aimer: cheminements au coeur de l'amour

Résumé
L'amour est sans doute le sentiment le plus universel, celui qui se vit le plus naturellement et qui pourtant se conjugue dans toutes les diversités et richesses culturelles. Il fait soulever des montagnes, parcourir des distances infinies. Il semble que rien ne lui résiste, ni la peur de la mort, ni le temps qui passe. C'est pourquoi, quand on aime, c'est forcément pour toujours. Et pourtant, derrière cette diversité incroyable qui fait varier le verbe « aimer » au sens de l'amitié, au sens filial ou parental, au sens passionnel, dans toutes les circonstances où la vie d'un être acquiert une valeur absolue pour un autre être, derrière toutes ces différences, il doit bien y avoir une réalité accessible à la raison. Comprendre de quoi il s'agit lorsque nous parlons « d'amour » constitue donc la première étape de notre réflexion. Encore faut-il savoir si nous sommes libres, responsables du fait d'aimer, et enfin quelle place nous devons accorder à l'amour dans notre vie. L'amour de la sagesse qui définit la « philosophie » doit nous aider à inventer le chemin d'une sagesse de l'amour.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 6h. 6min.
Édition: Paris, L'Harmattan, 2022
Numéro du livre: 73341
ISBN: 9782343253411
Collection(s): Ouverture philosophique
CDU: 100

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Lu par : Nelly Reymond
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Résumé:L'obsession de Flaubert, les virulences de Rimbaud, de Léon Bloy, de Dada dénonçant la bêtise bourgeoise font partie de l'histoire littéraire et de celle des mentalités? Mais la connerie ? Le sujet reste bizarrement sous-exploité. Par une sorte de fausse pudeur, on le cantonne dans les départements périphériques et bas de l'esprit. Réfléchir sur la connerie, peut-être, mais à condition de mettre des gants et de s'essuyer les pieds en sortant. Pourtant la connerie est un sujet profond, multiforme et universel, indissociable de la condition tragique et dérisoire de l'espèce humaine. Il ne relève qu'accessoirement de la plaisanterie et de la polémique, que ce petit essai, du reste, ne cherche pas à éviter. Il y a ce qu'il faut de rire et de mauvaise foi dans ces pages pour dérouter les tâcherons du discours en trois points. Car, à l'encontre de ce qui st généralement admis, l'auteur soutient que la Raison n'est pas l'ennemie jusrée de la connerie, qu'il existe entre elles une connivence, que la Raison est conne, au moins dans un certain usage grossier de ses pouvoirs. Contrairement à la bêtise, cette marche loupée de l'intelligence, la connerie déborde notre pouvoir de lucidité. Monsieur Teste pouvait prétendre : la bêtise n'est pas mon fort ; il n'aurait pas pu en dire autant de la connerie.
Lu par : Delphine Horst
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Publiée en 1953 aux Éditions de Minuit, La Fausse Parole ne donne à découvrir qu'une partie de son oeuvre, celle consacrée aux investigations radiophoniques. Cette réédition s'enrichit de deux textes ayant trait au travail de l'écoute, et de quelques bulletins ronéotypés, tels qu'il les distribuait à ses abonnés (parmi lesquels figurait l'Élysée). La Fausse Parole peut être tenue pour la lecture théorique et critique que Robin formule après dix ans de pratique sur son propre travail, qui visait à obtenir des renseignements inédits et à tenter de prévoir l'événement (par exemple la dénonciation du culte de la personnalité après la mort de Staline en 1953 et la tension des relations sino-soviétiques).