Recherche par genre: Essai/chronique/langage
952 résultats. Page 1 sur 48.
Lu par : Michel Zendali
Durée : 3h. 24min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 80263
Résumé:Une première édition de ce livre est parue aux éditions P.O.L en 1986 sous le titre Le Détroit de Behring. Il n`a jamais été publié en collection de poche ni connu de nouvelle édition depuis. 40 ans plus tard, cette enquête narrative sur l`uchronie éclaire plus que jamais notre rapport complexe à l`Histoire du monde, mais également l`art de l`écrivain Emmanuel Carrère : "Notre vie peut changer à tout moment, explique-t-il, la réalité n`est qu`un choix parmi tant d`autres. Ce qui pousse certains d`entre nous à s`intéresser aux possibilités que nous n`avons pas pu donner aux choses." Avec un texte inédit d`Emmanuel Carrère pour la présente édition.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 5h. 5min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 80137
Résumé:Dès le mois de septembre 1944, Rivaz écrit pour l’hebdomadaire Servir une série d’enquêtes consacrées à des métiers féminins. Elle y décrit les conditions de travail de femmes de ménage et de travailleuses à domicile dont elle rapporte les propos. Le ton de ces articles est résolument empathique : il s’agit, comme le titre de la série l’indique, de se mettre « à l’écoute de celles qui travaillent », autrement dit à l’écoute de celles dont la parole n’est guère entendue ou considérée. Rivaz ne se contente pas d’exposer des parcours de vie laborieuse de manière impartiale ; elle s’implique dans le portrait des femmes qu’elle rencontre tout en donnant à voir leurs gestes et leurs savoir-faire. Elle les interroge aussi sur les aspects les plus matériels de leurs tâches (activités, emploi du temps, revenu chiffré, budget familial, etc.) en cherchant à mettre au jour la réalité matérielle de leurs métiers précaires. Une de ces enquêtes lui inspirera plus tard l’écriture d’un court récit, « La machine à tricoter », lequel donne son titre à notre volume. Paru en 1973 dans De mémoire et d’oubli, ce texte relate la rencontre bouleversante d’une travailleuse à domicile, ancienne élève de Ferdinand Hodler, à Carouge. Au terme de son récit, Alice Rivaz développe une réflexion critique sur le misérabilisme littéraire auquel succombent parfois les romanciers qui, comme elle, écrivent sur le malheur des autres.
Lu par : Pierre-Bernard Elsig
Durée : 5h. 36min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 80111
Résumé:La majeure partie du livre est constituée d'une cinquantaine de chroniques parmi une centaine publiées régulièrement dans le quotidien Le Courrier, entre 2016 et 2023. S'y ajoutent quelques fragments de documents écrits à diverses occasions, ainsi que – et c'est plus inattendu - de courts extraits des "carnets" de l'autrice. Ce livre hybride aspire à rassembler de manière inclusive les différents registres nécessaires à une appréhension de soi-même, de ses rapports avec autrui, des aspirations profondes de notre humanité et d'une compréhension extensive du mond
Lu par : Pierre Biner
Durée : 1h. 45min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79893
Résumé:Depuis quelques années, un malaise s’est installé dans la culture contemporaine. Ici on récrit des textes classiques ou certains best-sellers pour les purger du racisme et du sexisme, ailleurs on en appelle à une surenchère de contextualisations. Et si la question qui sous-tend ce vaste débat était mal posée ? S’il s’agissait, dans bien des cas, d’argent et non d’éthique ? Et si la censure n’était pas du côté qu’on croit ? Et si les précautions prises à tout contextualiser produisaient à terme un effet pervers ? À l’aide de quelques exemples, Laure Murat tente de rebattre les cartes d’une polémique qui, à force d’amplifier, brouille les vrais enjeux de la création et de sa dimension politique.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 7h. 22min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79842
Résumé:Jean Marc Turine n'a pas cherché à écrire une nouvelle biographie de Marguerite Duras, ni un journal de bord relatant vingt-cinq ans d'amitié avec l'une des figures les plus emblématiques de la littérature et du cinéma de la deuxième partie du XXème siècle. Il s'agit d'un texte intimiste, d'un regard de complicité posé sur une amie qu'il sait fort bien distinguer de la Duras, personnage public, mondain, bientôt "mondial" , et dont les indiscutables défauts sont évoqués avec une indéfectible tendresse. C'est ainsi que Marguerite nous devient presque familière et que nous lui découvrons d'étonnantes couleurs : d'une avarice devenue légendaire chez ses proches à une folle générosité, de la douleur d'une solitude grandissante à l'humour et aux rires partagés, de ses absences à l'autre de plus en plus fréquentes dans ses dernières années à la plus rayonnante intensité de présence. A travers toutes ces sautes d'humeur et jusque dans l'épreuve de la maladie voire d'accès de folie, Jean Marc Turine restera d'une fidélité qu'aucun vent ne saura plier, d'une amitié "inoxydable" , pour le meilleur et pour le pire. Jean Marc Turine n'a que vingt-quatre ans et toutes les audaces quand il écrit pour la première fois à Marguerite Duras, en 1971. Elle refusera sa proposition de tourner Le Ravissement de Lol V. Stein, l'une de ses grandes oeuvres, mais l'invitera à participer au tournage de Jaune le Soleil. De cette première rencontre naîtra leur amitié. Au fil des récits et des ans, nous faisons connaissance avec le groupe d'amis autour du 5 rue Saint-Benoît, 3ème étage gauche. Edgar Morin, Elio Vittorini, Robert Antelme, François Mitterrand... - des personnalités qui ont fait le XXème siècle. Pour la première édition (2006), l'auteur a attendu dix ans après la mort de la romancière-cinéaste avant de publier ses souvenirs. Il les complète ici par les événements marquants qui ont entouré la mémoire de Marguerite Duras jusqu'en 2023.
Lu par : Isabelle Savoy
Durée : 9h. 52min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79690
Résumé:En mars 1945, l’Armée rouge entre en Poméranie. À deux cents kilomètres au nord-est de Berlin, l’immense bibliothèque du château de Plathe, trésor de plusieurs générations, se volatilise dans l’Europe en ruine. Sept décennies plus tard, Vanessa de Senarclens accueille dans son bureau un meuble à tiroirs appartenant à sa belle-famille: un catalogue qui recense seize mille ouvrages, dont un volume clandestin de Voltaire, un Aristote préfacé par Érasme, les fleurs de Maria Sybilla Merian. C’est la bibliothèque perdue de Poméranie. Armée d’une solide formation d’historienne et d’un sens de l’humour salvateur, l’enquêtrice décide d’en retracer la trajectoire. Elle dresse le portrait de celles et ceux qui l’ont fondée, conservée et enrichie, de la Prusse des Lumières jusqu’à l’horreur nazie. En interrogeant aussi les derniers témoins de la collection intacte et le silence qui s’est imposé après la guerre, ce livre fait le pari qu’un récit peut transmettre même ce qui a disparu.
Lu par : Nahoé Curtet Muller
Durée : 7h. 13min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79647
Résumé:Quand Selina Mills, malvoyante de naissance, apprend qu’elle ne verra bientôt plus à cause d’une cataracte, elle se heurte à de nombreux préjugés : ceux des autres, qu’elle connaît déjà bien, mais aussi les siens. Elle décide alors de se pencher sur les origines des multiples croyances qui entourent la cécité. D’OEdipe et Tirésias à Helen Keller en passant par sainte Lucie de Syracuse, l’autrice explore les représentations des personnages aveugles et malvoyants – fictifs ou historiques, héroïques ou tragiques – au prisme de sa propre expérience, pour mieux comprendre pourquoi la cécité est toujours envisagée comme un état ne méritant que d’être réparé. Mêlant analyse et anecdotes personnelles, elle livre une réflexion vivifiante sur notre rapport au corps, aux sens, sur notre façon de voir le monde et, surtout, de le regarder.
L'enclos des Lumières: essai sur la culture littéraire en Suisse Romande au XVIIIe siècle
Rosset, François
Lu par : André Jol
Durée : 10h. 26min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79645
Résumé:Au temps où "Rousseau était à peine né et Louis XIV était encore assis sur son trône", l'espace régional et néanmoins cosmopolite qui donnera naissance à la Suisse occidentale un siècle plus tard amorce le développement d'une réelle culture littéraire. C'est sur cette culture romande des Lumières que se penche le Pr. François Rosset dans cet essai, de Soleure à Genève, en passant par Lausanne, petit Paris des Bernois. S'appuyant sur le langage, les figures et les images auxquels la littérature "romande" se réfère, cet ouvrage présente les enjeux culturels d'interaction, de dépendance et de domination, de structure et d'esthétique propres à la Suisse francophone de cette période, riche en émulation culturelle et scientifique.
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 2h. 54min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79627
Résumé:La foufoune est révolutionnaire, not so in love ces jours ci, étoile marine, au bois dormant. La foufoune est au doigt mouillé, ou du grand large, ou de la nuit rouge. Elle est amoureuse, mais voilà... Elle est des premiers temps.Et si le sexe des femmes était à la fois l`origine du monde et son centre ? C`est explorant cette question que Léonora Miano conçoit les dix épisodes des Aventures de la foufoune, une série de monologues portés par l`expérience intime des femmes. On y découvre la véritable histoire des commencements du monde, des rites initiatiques, des tranches de vie réjouissantes ou cruelles, ayant toujours en leur coeur le sexe d`une femme. Léonora Miano porte, avec rage, humour, insolence, dans une langue parfois crue, les voix de la liberté des femmes, qu`elles soient subsahariennes ou d`ailleurs. Une exploration sensuelle, jubilatoire, subversive, troublante, qui donne à penser autant qu`à ressentir. Un ouvrage d`une étonnante beauté.
Lu par : Bruno Delacoste
Durée : 2h. 40min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79162
Résumé:Le bibliothécaire aime les livres comme le marin aime la mer. Il n'est pas nécessairement bon nageur mais il sait naviguer. L'océan du savoir qui grise tous les savants, rend modeste le bibliothécaire. La bibliothèque est ce lieu indispensable où le savoir décante. Regardez comme cet océan furieux se calme dans la bibliothèque ! Le bibliothécaire sait lire les livres sans les ouvrir. Son regard transperce les couvertures. Il visite la page de titre, l'auteur, les éditeurs, va directement au colophon, relève la date, le format, le nombre de pages, s'attarde sur la table des matières, vérifie s'il y a des index. Il évalue enfin sa robustesse et la qualité de son papier, celle de sa mise en page et de son impression. Tout est dit. Si les auteurs savaient cela, ils feraient de faux livres uniquement pour les bibliothèques.
Lu par : Bruno Delacoste
Durée : 3h. 46min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79149
Résumé:Dans ce livre où la folie d'écrire produit "des milliers de ronds" dans l'eau de la mémoire, l'auteur de "La Maison indigène" prolonge l'exploration à la fois poignante et ironique de ses origines d'écrivain - afin de vérifier sans doute la fameuse hypothèse de Proust : "La vraie vie, la vie enfin découverte et éclaircie, la seule vie par conséquent pleinement vécue, c'est la littérature"
Lu par : Elodie Marrel
Durée : 3h. 41min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79140
Résumé:Le déséquilibriste (à ne pas confondre avec le déséquilibré ou l’équilibriste) est un artiste de la traversée des micro-désastres. Il parvient à transfigurer les bévues du maladroit ordinaire, ses chutes ridicules ou douloureuses, en embellies : œuvre d’art, œuvre de vie. Les figures ici évoquées sont des aventuriers et aventurières de l’instable. La puissance de dérangement qui émane de leurs œuvres apprivoise le provisoire, l’incertitude angoissante, l’absence de vérité. De Nietzsche à Kafka, Baptiste Morizot, Nastassja Martin ou Paul B. Preciado, de Louise Bourgeois à Miriam Cahn ou Laura Lamiel, ce livre explore la force vitale du déséquilibre, celle qui nourrit des créations et pensées divergentes où les anciennes bipartitions vacillent : masculin et féminin, humain et non-humain, vivant et non-vivant.
Lu par : Christine Février
Durée : 4h. 11min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 80240
Résumé:Écrivain, musicologue, biographe, essayiste, romancier et dramaturge, Roman Rolland (1866-1944) est l'auteur d'une oeuvre considérable. Si de nombreux textes inédits notamment son Journal éclairent le parcours de cet homme, sa véritable personnalité demeure méconnue. Victime de partis pris et de préjugés, Romain Rolland vécut une Histoire qui a bouleversé l'Europe, avec deux guerres mondiales et l'avènement des totalitarismes.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 14h. 54min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79049
Résumé:"Voici les lettres intimes que j'ai reçues, en dix ans, d'une des femmes les plus rares que j'aie eu à connaître. Ces lettres racontent sa vie du jour et de la nuit, ses clients (immigrés turcs ou arabes, pour la plupart), ses rêveries de vieillesse, ses amants imaginaires, ses coups de gueule, ses imprécations contre Dieu, ses verres de royal-kadir, ses maladies à répétition, ses usures. Même si Grisélidis se dit encore prête à tout pour les hommes, prête à tout pour l'amour. Et surtout si elle rit de tout. Férocement. Grisélidis a peut-être le bonheur de la désespérance. C'est en tout cas sa dignité". Jean-Luc Hennig. Ouvre maîtresse de Grisélidis Réal, La Passe imaginaire est le fruit d'une correspondance entretenue de l'été 1980 à l'hiver 1991 avec Jean-Luc Hennig. Ce document sur la prostitution au quotidien dévoile le panorama secret de la misère sexuelle masculine avec rage, crudité et tendresse. Au fil des lettres, l'autoportrait de cette P... irrespectueuse met à jour les autres femmes qui vivent en elle : la grande voyageuse, la lectrice éclectique, l'amoureuse passionnée, la sociologue amateur, l'altruiste libertaire et l'épicurienne raffinée.
Les dessous de la langue française: histoires piquantes et culottées de 200 mots et de leurs origines
Scoriels, Joëlle
Lu par : Dominique Daniel
Durée : 5h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79918
Résumé:Une sélection de chroniques dans lesquelles l'animatrice belge raconte avec humour l'origine de certains mots français utilisés au quotidien : août, biscuit, épice, fissa, humain, insulte, mélancolie, opéra, pisselit, résoudre, saucisse, travail ou encore vergeture.
Lu par : Wanda Asnar
Durée : 3h. 16min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79943
Résumé:56 lettres inédites, découvertes et mises en vente en 2009, qui révèlent l'histoire d'amour méconnue d'Edith Piaf avec le champion cycliste Louis Gérardin, de 1951 à 1952, jusqu'au mariage de la chanteuse avec Jacques Pills.
Lu par : Isabelle Savoy
Durée : 1h. 33min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 78847
Résumé:Sa vie de journaliste consciencieux cachait des tourments intimes qui finiront par l'anéantir. Du plus profond de ses douleurs, Crisinel a pu extraire cependant une poésie incroyablement pure. Dans les rues de Lausanne, on croisait sa silhouette fuyante, son allure élégante. Modeste journaliste, Edmond-Henri Crisinel (1897- 1948) cachait sous le sourire fragile du bon camarade des tourments intimes qui n'ont cessé de le supplicier. A trois reprises, ces souffrances que lui-même qualifiait d'infernales l'ont conduit en hôpital psychiatrique. Le 25 septembre 1948, à Nyon, il s'en est échappé pour se jeter dans le lac, laissant derrière lui ces mots : " Pas une main amie. J'ai expié plus que mes fautes. / Le silence, après le siècle de douleur. " Cette expérience de la maladie mentale, Crisinel l'a regardée en face. Il en a tiré une poésie intense, déchirante. Au coeur de cette oeuvre brève, mais d'une densité exceptionnelle, brille Alectone, prose cristalline, douloureuse, qui offre le témoignage de ce que d'aucuns appelaient encore, en ce milieu de XXe siècle troublé, la folie.
Lu par : Nahoé Curtet Muller
Durée : 49h. 1min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 78799
Résumé:« La vie est tellement incandescente. Ici comme là-bas. Vieux frère je te lance un grand pont. » Ces propos de Vernet à Bouvier du 17 août 1955 traduisent l’intensité d’une relation faite de passion et de fraternité. Depuis l’âge du collège, Nicolas Bouvier (1929-1998) et Thierry Vernet (1927-1993) ont rêvé ensemble d’accords majeurs avec le monde, par le voyage et par la création. L’un devient écrivain, l’autre peintre : en mots et en images, ils diront ce que l’on ne peut connaître qu’une fois. De Cologny à Paris, de Kaboul à Colombo, de Tokyo à Genève, leur correspondance est un fil tendu entre deux vies mises en commun. Nourrie de l’expérience de la route, elle exprime aussi la beauté d’une aventure humaine, celle d’une amitié sans réserve. La Correspondance des routes croisées réunit les lettres échangées par Nicolas Bouvier et Thierry Vernet jusqu’à la parution, chez Julliard en 1964, de l’édition française de L’Usage du monde, le récit de leur traversée de l’Asie.
Lu par : Claire Martinez
Durée : 2h. 53min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79726
Résumé:Texte d'un spectacle dans lequel Clément Vitkorovitch joue le rôle d'un ancien communicant qui révèle tous les artifices qu'il a utilisés dans son métier pour écrire les discours de responsables politiques élus aux hautes fonctions. Il est complété d'un florilège de formules prononcées par des figures en responsabilité, illustrant cet art de ne pas dire qui affaiblit le pacte républicain.
Lu par : Francine du Pouget
Durée : 2h. 7min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79814
Résumé:" Ce petit livre hybride tisse des fils en apparence distincts : la trajectoire extraordinaire de Gertrude Stein et le caractère périlleux du succès dont elle a fait l'expérience, mais aussi ma fascination esthétique pour le passé, certaines spécificités de la langue anglaise à laquelle je me frotte régulièrement en tant que traductrice, le travail complexe et sans cesse recommencé de l'écriture, et ce que signifie être une femme en littérature, hier et aujourd'hui. " Avec cette évocation littéraire et personnelle de Gertrude Stein, Julia Kerninon livre une forme d'autobiographie par détours ponctuée de fulgurantes réflexions sur l'écriture et la force du passé.