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Vialatte à La Montagne

Résumé
A l'occasion du quarantième anniversaire de la mort d'Alexandre Vialatte, La Montagne a tenu à rendre hommage à cet écrivain exceptionnel qui, pendant plus de vingt ans, a donné à ce journal plus de huit cents chroniques hebdomadaires qui continuent à ravir les lecteurs. Outre la création d'un club des amis d'Alexandre Vialatte, celle d'un prix Alexandre-Vialatte décerné désormais chaque année et de nombreuses animations organisées dans les lycées et les bibliothèques d'Auvergne, la rédaction de La Montagne a donc choisi treize chroniques, qui seront publiées chaque mois dans le supplément dominical du journal durant toute l'année 2011. Cet ouvrage reprend ces treize livraisons auxquelles s'ajoutent une dizaine de chroniques choisies par de fervents admirateurs de l'écrivain comme Amélie Nothomb, Eric Orsenna, Yann Queffélec, Laurence Cosse, Phillipe Meyer, François Tallandier, Philippe Vandel, Pascal Ory, Bertrand de Saint Vincent et quelques autres.

Pas disponible en CD.

Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 5h. 33min.
Édition: Paris, Julliard, 2011
Numéro du livre: 26118
ISBN: 9782260019619
CDU: 8

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Résumé:De son vivant "auteur notoirement méconnu", comme il aimait lui-même à se présenter, Alexandre Vialatte (1901-1971) vit pourtant, année après année, le cercle de ses lecteurs s'agrandir, et sa gloire posthume ne cesse de prospérer. Méconnu, Vialatte le demeure cependant encore du grand public. L'explication tient peut-être à la richesse et à la profusion de son oeuvre, dont témoignent les chroniques prodigieuses qu'il a livrées pendant vingt ans au journal La Montagne. Une richesse et une profusion qui peuvent également provoquer chez ceux qui souhaiteraient la découvrir un léger sentiment de vertige au moment de sauter le pas... Une autre raison explique le déficit de notoriété dont continue de souffrir l'auteur des Fruits du Congo : sa personnalité. D'un tempérament discret, peu porté sur les mondanités, ce graphomane, forçat des lettres, consacrait la majeure partie de son temps et de son énergie à l'écriture, laissant à d'autres le soin de s'exposer sous les feux de la rampe. "Un abécédaire" vient opportunément lever le voile à la fois sur l'oeuvre et sur l'homme et réparer ainsi une forme d'injustice. De l'Auvergne d'où il était originaire à Kafka qu'il traduisit, de l'hippopotame qu'il chérissait à l'Homme, motif d'inspiration inépuisable, en passant par Napoléon, Sempé ou le western, cet abécédaire, qui puise à toutes les sources de l'oeuvre (chroniques, romans, correspondance...) propose une manière ludique de faire connaissance avec l'univers à nul autre pareil de Vialatte et révèle en filigrane le portrait sensible d'un auteur désormais culte.
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Résumé:"Les racistes sont des êtres inférieurs", la phrase revient comme un boomerang : celui qui pense qu'il y a des êtres inférieurs est raciste... et s'autoproclame ainsi être inférieur. Quel crédit lui accorder ? Énoncer une telle phrase, c'est aussi suggérer l'opposé. Regardez autour de vous, les livres et les conversations regorgent de ces incongruités. Ce fourmillement fait ce livre. La définition du paradoxe doit être paradoxale : depuis le calamiteux "Je mens" des Grecs, et en disant "Je mens", je dis la vérité, donc je ne mens pas, mais alors... une caractéristique du paradoxe est ainsi que son contraire semble aussi pertinent. Cette constatation du "contraire vrai" a donné naissance à des théorèmes de logique prouvant l'existence inéluctable de propositions mathématiques indémontrables, une des grandes découvertes logiques du XXe siècle. Le paradoxe est le ferment de vérités ; en prime, il est drôle car nous aimons prendre en défaut des pseudo-certitudes qui se révèlent absurdes et nous goûtons les phrases apparemment stupides qui font surgir la vérité : "Je le crois parce que c'est absurde" (Credo quia absurdum) proclamait le Carthaginois Tertullien.