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RSVP: 124 questions à propos du savoir-vivre

Résumé
Compilation des chroniques de l'auteure parues dans le quotidien Le Temps traitant de questions ayant trait au savoir-vivre - être - boire - aimer - manger réorganisées par grands thèmes: invitations - réceptions - communication - éducation - relations de voisinage - cadeaux - relations de travail Mon regard, certes, ne prétend absolument pas arriver au niveau de la recherche sociologique. Mais c’est ma passion pour l’être humain dans tous ses états qui est à l’origine de mon intérêt pour ces questions de vie sociale, et ma démarche n’est pas loin de celle qui m’a, naguère, amenée à écrire quelques romans. Car le savoir-vivre est loin de n’être qu’une simple liste de conventions sociales surannées. Il constitue la base de la vie sociale. Comprendre la politesse, comment et pourquoi elle fonctionne, savoir ce qui la sous-tend et à quoi elle sert, c’est pénétrer au cœur même des cultures, et c’est aussi comprendre la logique profonde qui préside aux relations humaines.
Genre littéraire: Psychologie/médecine
Durée: 7h. 31min.
Édition: Orbe, B. Campiche, 2010
Numéro du livre: 18128
ISBN: 9782882412775
Collection(s): CamPoche
CDU: 392

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Numéro du livre : 18349
Résumé:Un jour, dans un magasin où j'essayais des vêtements en bavardant avec une amie, j'ai été abordée par une jeune femme inconnue. À brûle-pourpoint, elle m'a demandé quel était mon métier. Puis, comme je lui répondais, un peu étonnée, que j'enseignais la littérature française, elle a voulu savoir si je connaissais des écrivains. Elle nous a expliqué qu'elle avait quelque chose à raconter, quelque chose qui pourrait intéresser un écrivain. Ce genre de situation arrive plus souvent qu'on ne croit. Les gens ont tendance à penser, assez généralement, que leur vie est un roman... D'habitude, je m'enfuis aussi poliment que possible. Là, non. Tout de suite il m'a semblé que le devais écouter cette jeune femme brune qui me parlait déjà comme si on se connaissait depuis longtemps. Elle m'a dit qu'elle s'appelait Marie-Rose. Je lui ai donné mon adresse. Quelques jours plus tard, on s'est donné rendez-vous dans un salon de thé. Je me rappelle que c'était l'hiver et qu'il y avait un vent terrible. J'étais fatiguée, un peu malade. Je marchais dans la rue en pestant, en me demandant pourquoi je perdais ainsi mon temps.
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Résumé:La chanson, c'est le PPPC, le Plus Petit Produit Culturel ! En trois minutes, en quelques couplets, quelques refrains, vous avez une histoire, un roman, un film entier ! Que l'on pense à « La Mère à Titi » de Renaud : tout est là, le décor, la vie quotidienne, la banlieue, les rapports entre les personnages ! Que Jacques Brel chante son « Plat pays », vous voyez défiler devant vous mieux que tous les documentaires sur la Belgique ! Avec la poésie et les frissons en plus. Écoutez « La Pinte vaudoise » ou « La Partie de Cave » de Jean Villard-Gilles, c'est tout le canton de Vaud, c'est toute l'âme vaudoise qui est là, ce sont les vignes pentues du Lavaux, et la lune qui « se reflète au profond de l'eau qui dort »... Contrairement à tous les autres produits culturels, la chanson peut vivre sans support. Vous pouvez la mettre au fond de votre mémoire, l'emmener partout, et la faire renaître au moment que vous choisirez !