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La confusion des valeurs

Résumé
En moins de trois décennies, de nombreux changements sont intervenus dans le domaine des valeurs, de la science, de l'économie, des religions, de la politique. Regard sur la modernité, qui est celle d'un univers mondialisé, et sur la confusion des valeurs. A travers ses lectures et son analyse de l'actualité, J.-C. Guillebaud introduit un questionnement centré sur l'homme. Jean-Claude Guillebaud nous aide à arpenter cette modernité foisonnante, pleine d'incertitudes et de surprises. Bien plus, il introduit un questionnement où l'homme garde toute sa place. Faut-il se résigner au cynisme de l'économie libérale, à la violence qui marque nos sociétés ? Globalisation rime-t-elle avec choc des civilisations ?
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 7h. 36min.
Édition: Paris, Desclée de Brouwer, 2009
Numéro du livre: 16657
ISBN: 9782220061054
CDU: 177.7

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Lu par:Nina Macquet
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Résumé: L'auteur s'interroge sur la possibilité de promouvoir le gouvernement responsable de soi-même ainsi que le respect d'autrui et de la nature, aux dépens de l'intérêt et de l'égoïsme. Il défend ainsi une conception rationnelle de valeurs sur lesquelles asseoir une telle liberté.
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Résumé: L'ivresse qui traverse les romans de Rabelais ; la fougue qui emporte les corps sculptés par le Bernin ; le plaisir de tête qui préside aux stratégies libertines des "Liaisons dangereuses" ; l'effervescence de la pensée et des sens à l'oeuvre dans les fictions sadiennes ; le trouble suscité par la peinture érotique de tous les temps, telle que Bataille l'a scrutée : ce livre postule un lien intime entre les plaisirs de l'art et l'art du plaisir. Rabelais, Laclos, Sade, Bataille : on n'a cessé, en France, de vouloir les censurer, les discréditer, ou, pire encore, les rendre inoffensifs. Alors qu'ils représentent ce que l'esprit français a apporté au monde de plus singulier et de plus libre ; et qu'ils sont, aujourd'hui plus que jamais, le meilleur contrepoison au déferlement de bien-pensance que nous subissons. Ceux que j'évoque ici, pourtant, n'ont pas élaboré de morale hédoniste à proprement parler. Romanciers, artistes, c'est d'abord l'imagination qu'ils sollicitent, plus que la conscience ou la raison. D'où une réflexion, en contrepoint, sur l'art du roman, sa lucidité spécifique, son aptitude à dissoudre les préjugés. L'horizon indiqué, en tout cas, est celui d'un plaisir paradoxal : à la fois sans innocence et sans culpabilité.
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Résumé: Quatrième de couverture : Le passé parle au présent. Il s'adresse à nous. Il nous interpelle. Il réclame. Mais comment le présent doit-il répondre? Comment être au rendez-vous ? Alain Finkielkraut s'interroge sur le devoir de mémoire. Nous sommes passés d'une mémoire encombrante (personne ne parlait des camps de concentration) à une mémoire débordante, où la Shoah est sollicitée de toutes parts. Aujourd'hui, toute guerre, toute souffrance fait invoquer ou nommer Auschwitz, exercice inquiétant que critique l'auteur : " Il n'est pas moins déloyal de s'approprier les morts que de les laisser tomber. Il n'est pas moins désinvolte d'oublier leur transcendance que d'oublier leur existence. "
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Résumé: « Pour chanter les vingt ans du Pommier, mon éditrice me demanda d’écrire quelques lignes. Les voici. Pour une fois, j’y entre en morale, comme en terre nouvelle et inconnue, sur la pointe des pieds. On disait jadis de l’Arlequin de mes rêves, bienheureux comédien de l’art, qu’il corrigeait les mœurs en riant. Devenu arrière-grand-père, son disciple a, de même, le devoir sacré de raconter des histoires à ses petits descendants en leur enseignant à faire des grimaces narquoises. Parvenus ensemble à l’âge espiègle, j’en profite pour leur dire de l’humain en pouffant de rire. » Un éloge de l’humilité et de l’espièglerie qui fait du bien en ces temps bousculés !
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Résumé: Présentation de l'éditeur : L'Europe n'a plus conscience d'être une civilisation. Au nom de ses crimes anciens, elle a renié le meilleur d'elle-même. Mais en ce début de XXIe siècle, elle n'a plus rien à renier parce qu'elle a tout oublié. Appauvrie et démunie, elle veut être bien avec tous ses voisins, proches et lointains. Elle veut surtout faire le Bien : nos artistes, nos politiques, nos médias, et jusqu'à notre langage, sont maniaques de la vertu. Hélas, c'est la vertu des faibles. Notre Bien est peureux, négatif, superficiel, et surtout il est vide. Et si, au lieu de vouloir être bons, nous essayions d'être nous-mêmes ? Et si, face aux grandeurs des autres civilisations, nous songions à notre grandeur propre, qui n'est pas de chercher la perfection, mais de nous vouloir perfectibles, et de chercher le bien sans jamais quitter des yeux la beauté ni la vérité ?
Lu par:Carole Beuron
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Résumé: Comment défendre les Lumières aujourd'hui ? Leur idéal d'émancipation a-t-il encore un sens ? On ne saurait se borner à invoquer un esprit des Lumières immuable dans un contexte marqué par le réveil du nationalisme, les crises environnementales et sanitaires et l'augmentation des inégalités. Faire face au danger d'effondrement de notre civilisation sans renoncer à la rationalité philosophico-scientifique, mais en tenant compte de notre dépendance à l'égard de la nature et des autres vivants : telle est la démarche qui fonde ce livre. Pour combattre les anti-Lumières qui souhaitent rétablir une société hiérarchique ou théocratique et répondre aux accusations des postmodernes qui suspectent tout universalisme d'être hégémonique, il faut donc proposer de nouvelles Lumières. Celles-ci supposent de revisiter l'histoire des Lumières, mais aussi de lutter contre l'amputation de la raison qui a été réduite à un instrument de calcul et d'exploitation. L'objectif des Lumières à l'âge du vivant et de leur projet d'une société démocratique et écologique est bien de destituer le principe de la domination - une domination des autres et de la nature à l'intérieur et à l'extérieur de soi qui traduit un mépris du corps et de la vulnérabilité.
Durée:4h. 55min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:19522
Résumé: Jean-Claude Guillebaud refuse de baisser les bras, de se laisser endormir par l'esprit de défaite qui guette le monde contemporain. Un mal, une langueur qu'il compare au péché d'«acédie», quand s'affadit le goût de la foi. Plus de projet collectif, plus d'utopie : le monde nous échappe, alors choisissons plutôt de nous occuper de nous-mêmes, dorlotons-nous, cherchons notre seul bonheur, notre bien-être. Voilà une tentation que le journaliste-écrivain n'a pas. Au contraire même, plus la partie lui semble difficile, plus elle vaut d'être engagée... Comment réhabiliter l'action, en politique notamment, pour changer ce qui ne va pas, pour «réparer le monde», selon la belle expression de la théologie juive à laquelle l'essayiste s'est toujours montré très sensible ? Il a essuyé bien des sarcasmes de la part de ceux pour qui pessimisme et désabusement sont des postures intellectuelles : il assume son regard optimiste, «en connaissance de cause», car il n'est pas le ravi de la crèche ; les réalités, il ne les ignore pas... L'optimisme engagé, que Jean-Claude Guillebaud défend ardemment tout au long de ces pages, n'est pas seulement justifié, il est stratégique. «L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre»... (Dominique Quinio - La Croix du 29 août 2012)
Durée:7h. 15min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
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Résumé: Une autre facette de Jean-Claude Guillebaud est celle de l'observateur des medias, en particulier de la radio et de la télévision, lieu idéal pour mesurer les évolutions, tout ce qui bouge en profondeur. D'où l'idée de reprendre ici une sélection des meilleurs chroniques de J.C.Guillebaud dans le Télé-Obs,