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Recherche par mot-clé: Imposteurs et impostures -Histoire

3 résultats.

Durée:7h. 22min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:32047
Résumé: De retour à Londres après trente ans passés chez les cannibales d'Australie, l'explorateur Louis de Rougemont fascine en cette année 1898 le public et le monde scientifique avec ses «aventures extraordinaires». Personne ne le sait alors mais l'aventurier le plus célèbre du moment est un Suisse. Un Vaudois né Grin, un coquin à l'imagination débordante...
Lu par:Pierre Biner
Durée:2h. 22min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:20197
Résumé: «Vivant aux Etats-Unis pendant la guerre, Bertrand Russell publie son « Outline of intellectual rubbish» (Esquisse de la foutaise intellectuelle) en 1943, d'abord chez un éditeur de pamphlets socialistes et antireligieux (Haldeman-Julius Publications), puis en 1950, année où il reçut le Prix Nobel de littérature, dans une collection de ses écrits intitulée Unpopular Essays. Désespérant de voir de « grandes nations, qui avaient guidé la civilisation, être dévoyées par des prêcheurs d'absurdités grandiloquentes», il se tourne vers l'étude du passé, pour découvrir, comme l'avait fait Erasme, « que la folie est éternelle et que pourtant l'humanité a survécu ». La lecture de cet essai peut nous fournir au moins une sorte de consolation, à une époque où les passions identitaires et religieuses menacent de plonger une nouvelle fois l'humanité dans le désastre.
Durée:1h. 42min.
Genre littéraire:Arts
Numéro du livre:18217
Résumé: Qu'est-ce que le faux en art ? On pourrait le définir comme « le travail volontairement trompeur de personnages habiles visant à faire passer pour authentiques des imitations d'objets réels afin d'en tirer profit ». Ainsi, serait faussaire le copiste qui tenterait de faire passer son travail pour une oeuvre réelle d'un maître... Mais ce serait un peu trop simple et un peu court : que dire, en effet, d'un peintre qui signerait des faux qu'on lui attribue, par complicité ou par étourderie, parce qu'il y trouve avantage ou ne se souvient plus de ce qu'il a fait des années plus tôt ? Ou qui signe des feuilles vierges, comme Dali ? Que dire d'un faussaire qui n'imite pas des oeuvres existantes, mais en crée, comme Van Meegeren et ses Vermeer inconnus ? Ou des artisans russes qui, dans la banlieue parisienne, au milieu des années 1980, inventèrent de toutes pièces un mouvement pictural néo-impressionniste, l'École de Vladimir, que le régime communiste aurait occulté ? Surtout, au fond, est-ce le faussaire qui trompe le public ou le public qui ne demande qu'à être trompé ? D'autant plus que les faussaires sont des gens quelquefois sympathiques et souvent très divertissants...