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Recherche par mot-clé: Imaginaire -Dans la littérature

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Lu par : Xavier Clément
Durée : 2h. 41min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 79615
Résumé:Virtuose de renommée mondiale, Samuel Pakhchelian s'est lancé un nouveau défi : jouer toute l'oeuvre pour piano de Debussy au cours d'un marathon pianistique de douze heures. Mais le matin de son récital au Carnegie Hall de New York, il renonce, et disparaît de la scène musicale. Dix ans plus tard, Pakhchelian accepte l'invitation d'un festival situé du côté de Balbec, où il passait ses étés en compagnie de sa grand-mère, qui l'a élevé et avec laquelle il entretenait des liens intenses. Il revient alors sur la plage de son enfance, et rencontre sur la terrasse d'un ancien hôtel une vieille dame qui ressemble étrangement à sa grand-mère. Celle-ci, de son côté, croit reconnaître en lui le petit Samuel, cet enfant aux yeux gris qui venait là autrefois en colonie de vacances. Une relation particulière va se nouer entre cette femme écrivain et le pianiste. En situant son roman à Balbec, cette station balnéaire inventée par Marcel Proust pour A la recherche du temps perdu, l'auteur nous plonge, tout comme ses personnages, dans une dimension parallèle, un espace-temps suspendu. Retour à Balbec célèbre, avec un véritable charme, le pouvoir des livres et de l'imaginaire qui sommeille en chacun de nous.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 7h. 34min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16521
Résumé:Notre acheminement vers la parole malraucienne dans sa réalité transcendante ne se comprend qu'à la manière d'une géodésique et non d'une ligne droite, car de même que la courbe suit le mouvement et la forme de la terre, nous avons tenté de suivre, le mouvement et la forme du Miroir des limbes et de La Métamorphose des dieux. Avec L'Homme précaire et la littérature, Malraux acheva plus que son oeuvre, sa vie même. En le lisant, on pense aux dernières oeuvres des grands musiciens, aux derniers Quatuors de Beethoven et de Schubert, aux dernières compositions de Bach ou de Mozart, et tout autant aux Peintures noires de Goya, aux dernières toiles de Rembrandt et de Hals