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Recherche par lecteur : Vincent Siegrist

3 résultats.

Durée:2h. 40min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:76080
Résumé: Il y a des choses que l'on écrit parce qu'on n'a pas pu les dire. Nora envoie une longue lettre à son père, qui vit dans une autre ville. Cette ville, elle l'a quittée pour apprendre le chant à Bruxelles. Mais aussi pour autre chose. " Ma vie n'est pas exactement comme je te l'ai racontée. " L'enfant que connaît ce père était un " il " . Il se prénommait Raphaël. Tout ce que le père ignore, le voici, depuis l'enfance, la mort de la mère. Les déguisements que portait le petit garçon. Les princesses qu'il dessinait. Les brutalités subies dans la cour du collège. Les mensonges. La douleur. Et puis, un jour, une lumière : le chant. Et le départ. Et ce que Nora est devenue, sa nouvelle vie. Voici un sens inédit ajouté au " Je est un autre " de Rimbaud. Loin d'être une lettre d'amertume, de vengeance ou de règlement de comptes, la lettre de Nora est une lettre d'amour. Lettre d'amour à un père, dans l'espoir qu'il comprendra. Lettre pour s'aimer soi-même, aussi, enfin. Un roman bouleversant, et d'autant plus qu'il évite les excès de la plainte comme de la caricature, sur l'identité, mais aussi sur le passage à l'âge adulte, le perfectionnement d'un art, le renouement avec l'acte d'aimer.
Durée:7h. 11min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:75688
Résumé: " Notre agent à La Havane n'est pas un roman d'espionnage comme les autres : c'est, de l'aveu même de son auteur, " un conte de fées moderne ". Le happy end est assuré, la force frôle le drame sans jamais y tomber et, pour une fois, le hasard des circonstances se plie complaisamment aux spéculations abstraites des hommes. Notre agent à La Havane, c'est un peu James Bond au pays des merveilles. [Source : François-Olivier Rousseau, Le Matin]
Durée:39min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:74444
Résumé: Ce court récit inédit de Julien Gracq met en scène une fascination. C’est la vision initiatrice, brève mais répétée, d’une demeure, aperçue à chaque trajet depuis un car traversant la campagne pendant l’Occupation, qui pousse le narrateur à se mettre en route, cheminant seul dans les sous-bois pour s’approcher de la maison. À travers le récit de ce parcours aussi sensuel et contemplatif qu’intériorisé, La Maison déplie, comme une intrigue, la naissance d’un désir.