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Recherche par auteur : Millet-Guillon, M.

14 résultats.

Lu par : Marie Le Gac
Durée : 6h. 48min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 76186
Résumé:Déconcerté, Mathieu découvre une corde accrochée aux barreaux de bois de sa mezzanine.
Lu par : Francis Gantier
Durée : 3h. 41min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 67214
Résumé:Paul et Ninon se rencontrent un soir chez des amis. Alors que le premier se remet d'une rupture et que la seconde s'ennuie dans son mariage, ils succombent à l'attirance qu'ils éprouvent l'un pour l'autre. Faite de promenades et de rendez-vous, leur histoire commence à Paris que l'été a vidé de ses habitants. "Et si nous partions en amoureux ? " propose un jour Ninon. Cette idée enchante Paul. Ninon ne connaît pas les Cyclades. Paros, avec sa nature sauvage et sa mer turquoise, est l'endroit rêvé pour l'amour. Mais l'amour réserve parfois des surprises et le paradis peut devenir l'enfer. De sa plume délicate, Arnaud Guillon explore les vertiges du désir et met au jour la complexité des êtres.
Lu par : Jacques Bagge
Durée : 4h. 36min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 38608
Résumé:Dans son Journal d’un Infréquentable, Stéphane Guillon, avec son regard acéré et sa plume mordante, nous entraîne dans une balade insolite et exaltante au cœur de ce que fut cette année si particulière qui débute en septembre 2016 et s’achève en 2017. Une saison émaillée de scandales politico-financiers, de coups d’éclats, d’élections, de rebondissements, de faits divers et de faits « people »… Douze mois qui coïncident avec un changement radical du paysage politique français. Dans son récit personnel de « la grande Histoire », Stéphane Guillon mêle habilement ses souvenirs intimes. Des souvenirs d’enfance comme la disparition cruelle de son hamster Diabolo…, des rencontres marquantes : Jean-Paul Belmondo dans une boutique de prêt à porter, Charb directeur de Charlie Hebdo quelques mois avant sa mort… Au fil des pages, le lecteur accompagne au plus près « l’Infréquentable » et croise ceux qui émaillent sa vie quotidienne en tournée, dans les coulisses de la télévision, au sein de sa famille… On y découvre des personnages connus ou anonymes, mais toujours hauts en couleur : son patron, monstre télévisuel dépourvu d’affect, son assistant Antoine, féru d’humour noir, au point de choquer Guillon lui-même, Jacques, le régisseur des tournées, le papa poule aux petits soins avec l’artiste, gérant ses caprices et ses névroses, sa femme Muriel, son double, sa muse, son metteur en scène mais qui au fil de la saison tombera sous le charme d’Emmanuel Macron, obligeant Guillon à écrire ses punchlines en cachette… Et bien entendu, se dessine aussi en creux le portrait de Guillon qui ne s’épargne pas. « On pensait avoir à faire à Lenny Bruce, on se retrouve avec Jean Rochefort dans Tandem » écrit-il de lui-même ! Une plongée dans le monde impitoyable des médias, le témoignage d’une saison folle, mais aussi un récit amer et tendre à la sauce Guillon. Un Infréquentable qu’on adorera fréquenter.
Lu par : Marie Duchateau
Durée : 4h. 1min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 32406
Résumé:Un recueil des chroniques satiriques de l'humoriste qui s'en prend à l'ensemble de la classe politique.
Lu par : Jean Frey
Durée : 6h. 26min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 15220
Résumé:La sensation est la base de la connaissance. « Sans elle nous ne connaissons rien, pas même les principes universels et fondamentaux, car ils ne sont pas des données intellectuelles innées, mais ils sont saisis dans toute perception : ils sont universels parce que ce sont les principes de réalité » (Millet 1997). Aristote écrit « le sens est réceptif des formes sans leur matière ». Percevoir c'est recevoir par les organes des sens les effets des choses. Par exemple, un arbre a une forme matérielle, il existe sans nous. Lorsque je le reçois par mes sens (oeil, oreille...), il a un mode d'existence différente. De matériel dans la chose il devient spirituel en nous, mais c'est la même chose sensible (Saint Thomas d'Aquin). En d'autres termes, les données sensibles sont nécessaires. Elles résultent des propriétés réelles des choses. Ces propriétés causent dans nos organes sensoriels des effets, qui nous communiquent les formes sensibles des choses, sans la matière réelle de celle-ci. Par exemple, voir une pierre ce n'est pas l'avoir dans l'oeil ! Ce sont ses qualités sensibles (couleur, polie...) que je reçois.
Durée : 6h. 7min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 23203
Résumé:Le coup de tonnerre littéraire qu'a provoqué La Vie sexuelle de Catherine M. révélait le regard singulier que l'auteur portait sur son corps et sur sa vie. Aujourd'hui, elle raconte son " autre vie ", celle où s'effondre de manière étrange et imprévue un pan de son existence, cette crise traversée dans un mélange de rêves et de déchirements. Jour de souffrance est un défi d'écrivain : à la fois le prolongement d'une oeuvre puissante et son contraire implacable, maîtrisé et saisissant.
Lu par : Marie Bueno
Durée : 3h. 15min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 66657
Résumé:La campagne au bord de la mer. Accompagnée d'une fillette, une femme arrive une nuit et squatte la maison d'un peintre. La petite est muette. Elle dit pourtant des choses à travers les pages d'un cahier. Elle dit surtout qu'elle a tué sa mère. De nouveaux liens se tissent là, loin du monde, en tension. Suffiront-ils à briser le trauma ? Jusqu'au premier mot est un huis clos rédempteur qui emprunte aux contes et finit où s'envolent les âmes.
Lu par : Catherine Kunz
Durée : 6h. 26min.
Genre littéraire : Littérature érotique
Numéro du livre : 11383
Résumé:Bien connue dans les milieux de l'art, auteur d'essais sur l'art contemporain et de monographies consacrées aux artistes d'aujourd'hui, Catherine Millet entreprend de raconter sa vie sexuelle. Avec une crudité et une clarté dont on reste confondu. Le récit ne suit aucune chronologie, la relation des événements (non datés) et la description des scènes sexuelles étant distribuées selon quatre chapitres : " le nombre ", " l'espace ", " l'espace replié " et " détails ".
Lu par : Janick Quenet
Durée : 9h. 51min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14885
Résumé:C'est une histoire d'amants. Elle, Nicole veut mourir, car à quarante-quatre ans, elle craint la dégradation inévitable de son beau corps. Elle est médecin, et rien ne l'effraie plus que la déchéance physique. Elle s'adresse donc à son "amoureux", comme elle l'appelle, en réussissant la prouesse de donner un charme et une gravité inattendus à ce mot pourtant mièvre. Il saura bien non pas la comprendre... ce que ce mot est idiot ! pense-t-elle- mais l'accompagner vers sa fin. Le jour de l'éclipse, elle scelle un pacte avec la mort, avec sa mort. Lui en est le témoin silencieux. Tout s'est déroulé sans mot dire.
Lu par : Edgard Raeber
Durée : 2h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13270
Résumé:" Rien de plus difficile en littérature que l'art du portrait. Le voici renouvelé à soixante-dix reprises, par un écrivain qui varie ses attaques et soigne ses chutes, qui se montre attentif à un geste, à la couleur d'un regard, à un rire, à la carnation d'un visage, au volume d'une chevelure, à la grâce d'un mouvement ou d'une pose. Une à deux pages lui suffisent à chaque fois pour peindre ces jeunes nymphes qu'il veut perpétuer. " Journal de Genève, 17 avril 1993
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 4h. 28min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14989
Résumé:"On m'avait assez répété que j'étais laid : il me fallait le devenir, et j'avais, à quinze ans, assez de jugeote pour deviner que tout se jouerait dans le domaine amoureux, à tout le moins sexuel, puisque, je le savais déjà, j'étais de ceux à qui l'amour est refusé, et qui, par conséquent, doivent séparer ce sentiment du désir qui en est la dimension incendiaire, et consolatrice."
Lu par : Laurence Bardin
Durée : 3h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24289
Résumé:Une jeune Libanaise, chassée de son pays par la guerre de juillet 2006, se retrouve au Rat, près de Siom, dans le haut Limousin, avec son neveu et sa nièce, également exilés. Les étranges événements qui se dérouleront au Rat relèvent-ils de la peur, de la frustration sexuelle, ou de la folie? Ne faut-il pas plutôt croire que nous sommes tous, un jour ou l'autre, confrontés à de vrais fantômes?
Durée : 22h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13751
Résumé:...Ma vie parmi les ombres, son dernier roman, s'inscrit dans la droite lignée des récits corréziens. L'écrivain s'intéresse ici à sa propre famille, les Bugeaud, dont il est le dernier représentant. Le récit est construit sur une conversation entre deux amants d'aujourd'hui. Pascal, un écrivain de cinquante ans (dont on reconnaîtra parfois les traits dissimulés de Richard Millet), raconte à sa jeune maîtresse, Marina, elle-même d'origine corrézienne, sa jeunesse à Siom. Tous deux sont nus, enlacés, seuls dans une chambre parisienne. Le temps semble s'arrêter. Seuls comptent l'échange, la parole, qui vont redonner corps à un passé révolu. Cette conversation permet aux deux amants de replonger dans leurs origines corréziennes, dans ce monde souterrain et moribond dont ils sont issus. Ici, point de tentative de cristalliser ce pays, de glorifier les humbles qui l'ont habité. Il s'agit simplement de transmettre le souvenir d'une génération perdue et de lui rendre hommage.
Durée : 7h.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 73170
Résumé:Une grande maison de vacances au bord d’un lac. Cet été-là, cette maison est le domaine de douze adolescents à la maturité étonnante et de leurs parents qui passent leurs journées dans une torpeur où se mêlent alcool, drogue et sexe. Lorsqu’une tempête s’abat sur la région et que le pays plonge dans le chaos, les enfants – dont Eve, la narratrice – décident de prendre les choses en main. Ils quittent la maison, emmenant les plus jeunes et laissant derrière eux ces parents apathiques qu’ils méprisent et dont l’inaction les exaspère autant qu’elle les effraie.