Recherche par auteur : Holbach, Paul Henri Dietrich (1723-1789
725 résultats. Page 37 sur 37.
Lu par : Elisabeth Barth
Durée : 5h. 9min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 1898
Résumé:Ce court roman, sobre et cruel, est un grand roman. Le cadre enchanteur, le bonheur tranquille des personnages y dissimulent longtemps la tragédie qui couve et, au-delà de l'anecdote, c'est tout le problème de la paternité, vraie et fausse (mais où est la vraie ?), qu'Henri Troyat évoque magistralement jusqu'à ses conséquences les plus démentielles.
Lu par : Simone Reeve-Gagnebin
Durée : 4h. 56min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 1775
Résumé:Recueil de textes extraits des "Souvenirs entomologiques" du même auteur. " Dans l'esprit bourgeois, l'insecte vit en fait comme un paria dans le règne animal ; une race souvent superflue, inutile et laide qui ne fait qu'incommoder l'homme au lieu de faire montre d'une serviabilité totale comme la bible l'imposait aux animaux ; l'insecte est en même temps l'icône d'une menace ; on fabrique facilement des rêves sur le gigantisme et la mutation ; l'insecte devient métaphore de blindage, char, soldat et engin de guerre, un véhicule à antennes télescopiques ; une créature qui anéantit, paralyse, emprisonne dans sa toile et broie ses ennemis... "
Lu par : Pierre Monneron
Durée : 15h. 11min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 1572
Résumé:Petit-fils de Catherine la Grande, Alexandre Ier est dès son plus jeune âge un être double, ondoyant, mystérieux, déchiré entre ses illusions lumineuses et les dures réalités de l'heure. Pour monter sur le trône, en 1801, il enjambe le cadavre de son père, l'empereur maniaque Paul assassiné avec son consentement tacite. Rongé de remords, il voudrait se racheter en travaillant au bonheur du peuple. Mais de ses élans libéraux ne naissent que des décisions autoritaires. Le grand événement de sa vie est sa lutte farouche contre Napoléon, en 1805, puis en 1812. Alors, toute la nation russe se réunit autour de lui contre l'envahisseur. Après le désastre de la Grande Armée en Russie, il se croit investi d'une mission providentielle : détruire l'esprit du mal incarné par Napoléon et par les révolutionnaires de tout acabit. Soi-disant éclairé par Dieu, il institue une fraternité internationale contre les fauteurs de troubles en Europe, la Sainte-Alliance, et crée dans son pays une sorte de monarchie théocratique, patriarcale et policière. Tout ce qui en Russie pense, tout ce qui lit devient hostile au pouvoir.
Lu par : Serge Vulliens
Durée : 6h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 1550
Résumé:... Jean et Madeleine vivent une existence paisible et forment un couple harmonieux, une certaine idée du bonheur tranquille et souriant. S'il ne brille pas à l'extérieur, il est éclatant au dedans. Jean est chercheur, absolument passionné par ses expériences, sa vie de laboratoire. Madeleine écrit. Bernard, le vieil ami, et Jean se sont perdus de vue depuis longtemps, jusqu'au jour où le hasard les fait se recroiser. Le passé resurgit en même temps que cette rencontre fortuite. La passion est intacte entre les deux hommes. Car c'est bien elle qui unit Jean et Bernard, une extrême amitié.
Lu par : Jean de Rham
Durée : 16h. 41min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 605
Résumé:Il nous donne une biographie complète, entièrement revue et, mêlant étroitement l'existence et l'œuvre, il nous montre leurs points de jonction. Il a dit dans une interview : " Combien d'hommes illustres ont des vies qui ne sont pas à la taille de leurs œuvres ! Devant ces destins honnêtes, le biographe se découvre des envies de romancier. Il complète, il interprète, il invente... Il pense plus à son art qu'à la vérité, à lui-même qu'à son héros. Il ne sert pas un grand homme, il s'en sert. Mais, envers Dostoïevski, c'est par timidité qu'on pécherait plus facilement que par audace. Son histoire est tellement riche en désespoirs démesurés, en joies miraculeuses, qu'on serait tenté non de la " romancer " mais de l'éteindre. Il semble que cet écrivain de génie ait organisé son existence dans le style des romans, qu'il ait fait de son existence le plus passionnant de ses romans. " Et c'est ce roman que Henri Troyat nous raconte avec un sens humain bouleversant. Jamais modèle n'a trouvé peintre plus respectueux, plus sensible, plus digne aussi de rendre sa grandeur, d'évoquer son drame intérieur, ses détresses, mais aussi ses forces prodigieuses. On suit Dostoïevski dans les difficultés d'une vie souvent misérable, en prison, devant le peloton d'exécution, au bagne, en exil, dans les élans de ses passions. Touche après touche, minutieusement et pourtant avec ampleur, le portrait se compose, grandit jusqu'à devenir une fresque de l'époque, une évocation hallucinante de violence et de vérité.