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Ma soeur se lance dans la chanson

Résumé
Jamais là où on l’attend, Thomas Sandoz nous surprend une nouvelle fois avec une comédie à l’humour féroce, aux allégories puissantes, faussement légère. Voici, racontée du point de vue de son frère emporté malgré lui dans cette aventure, l’histoire de Soline qui tente une carrière musicale en dépit du bon sens. Un roman riche en quiproquos et rebondissements.
Genre littéraire: Humour-satire
Durée: 8h. 12min.
Édition: Charmey, Les Ed. de l'Hèbe, 2024
Numéro du livre: 77806
ISBN: 9782889061440

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Résumé:Un minibus, quatre éclopés en vadrouille, une route de montagne... Une épopée rocambolesque et échevelée. Un beau jour de juin, sur les routes des Alpes, un minibus roule à vive allure. A son bord, quatre jeunes et leur éducatrice, Julia. Elle est bougonne et presque aussi maladroite que ses protégés. Eux, ce sont des ados que l’on désigne sous la redoutable étiquette de « handicapés ». Il y a Pauline, frêle et constamment malade, Bierrot, lunaire et lubrique, Goon, aussi costaud qu'irascible et fan d'André Rieu. Il y a Luc, enfin, qui cache mal sa panique. Quelques mois plus tôt, Luc s’est pris au jeu des forums psychologiques en ligne sous la fausse identité de Docteur GoodLuck. Sans le savoir, il a prodigué ses conseils à un ministre et inspiré une réforme controversée, au point que les médias se sont juré de démasquer ce dangereux gourou virtuel ! Terrifié, il veut absolument détruire les preuves de son imposture. Mais le voyage qui doit ramener la petite bande vers son institution se transforme en équipée rocambolesque. Nos zigotos pathétiques et drôles, attachants et exaspérants, vont faire face à d’innombrables incidents de parcours et à des rencontres pas toujours bienveillantes, avant de rejoindre leur destination… Une intrigue cocasse et poétique tout autant que dérangeante. Car derrière la dinguerie et le burlesque, Thomas Sandoz nous offre une satire mordante de l’obsession contemporaine pour la performance.
Lu par : Collectif BSR
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Résumé:« Même en terre, ne jamais abandonner un enfant . » Cet impératif de fidélité régit le protagoniste du fascinant récit de Thomas Sandoz. L'homme, vieilli avant l'âge, travaille comme jardinier dans un cimetière de février à décembre. Il désherbe les tombes, les habille de fleurs qu'il soigne de toutes ses forces. Il s'évertue à entretenir le souvenir de ceux que les vivants abandonnent trop vite - « cette lâcheté qui se fait passer pour de l'oubli » - pressés qu'ils sont de reprendre leur quotidien. Le cimetière devient paradoxalement le lieu de vie du jardinier, en particulier le quartier où reposent les enfants. Ce lot de tombes, « petit monde avec ses règles propres, plus facile à maîtriser que les cyprès qui ornent le cimetière et dont la taille mobilise tant d'énergie », fait écho aux dimensions modestes du texte de Thomas Sandoz, terre à sa mesure qu'il peut d'autant mieux cultiver. (Marion Rosselet, culturactif.ch)
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:« Qu'est-ce que tu fais pour les autres ? me sermonnait sans cesse mon frère, convaincu que son chemin de vie était plus méritoire que le mien. C'est lui qui perpétuait la tradition missionnaire de la famille, il en était fier et ne manquait jamais une occasion de me reprocher de n'être ni médecin ni instituteur, même pas croyant «. Appelé à prendre la parole lors d'un hommage rendu à son frère, longtemps missionnaire en Afrique centrale, un quadragénaire se remémore les lumières et orages de leur jeunesse. Qu'est-ce qui les a éloignés l'un de l'autre, et comment en sont-ils arrivés à adopter des positions radicalement opposées ? Pris au piège d'une assemblée composée de fidèles aveuglés sur la nature et les motivations d'un bon Samaritain dont lui seul est persuadé de connaître le vrai visage, le narrateur va devoir batailler pour faire entendre sa voix au milieu du concert des louanges imméritées et, ce faisant, faire le bilan de sa propre vie, corsetée par une éducation stricte à laquelle on ne tourne pas le dos sans en payer le prix. [Source : 4ème de couverture]
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Résumé:«La vieillesse ne sert à rien. Si j'avais créé le monde, j'aurais mis l'amour à la fin de la vie. Les êtres auraient été soutenus, jusqu'au bout, par une espérance confuse et prodigieuse. » Henri Roorda van Eysinga est né à Bruxelles en 1870. D'origine hollandaise, il vécut la plus grande partie de son existence dans le canton de Vaud, à Clarens et à Lausanne, où il se suicida à l'âge de 55 ans. Ses écrits et ses chroniques, des essais philosophiques s'inscrivant dans la lignée d'Alphonse Allais et de Desproges, - Le roseau pensotant, Le débourrage des crânes est-il possible? ou encore Le pédagogue n'aime pas les enfants - portent un regard amusé, caustique et sévère sur la société. A sa mort, en 1925, il laisse un ouvrage intitulé dans un premier temps Le pessimisme joyeux qui deviendra Mon suicide, le public ayant, selon lui, un goût plus prononcé pour le mélodrame.
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Résumé:Lors d'une fête entre voisins, Constantin Birgus fanfaronne. Il a prévu d'emmener sa femme et ses trois enfants au Iles Fidji cet été. Un rêve en réalité inaccessible, pour des raisons financières. Constantin pourtant s'obstine et raconte à tout le monde qu'il a réservé l'avion, l'hôtel, les excursions. Le jour du départ approchant à grand pas, il doit finalement exposer à sa femme son vrai projet de vacances.
Lu par : Collectif BSR
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Résumé:C'est l'histoire d'un homme qui se fait appeler Guillaume Tell. Un beau «morceau de l'humanité et de son patrimoine», d'après les propos de l'éditeur, à entretenir entre les faits d'hiver, d'été et de toutes les saisons. Un nom composé et décomposé et qui associe l'identité un peu fantôme, ni d'Orient ni d'Occident, mais qui épelle tant d'expressions sur le sujet en question et à propos de quelques autres, les sains et les mauvais esprits. A partir du conte de cet «étranger», condamné à être à vie un étranger- malgré sa totale intégration-, les petits contes surgissent à la surface d'une Méditerranée et surfent, lunatiques sur toutes les ailes. Sur les airs d'«une tache bleuâtre»- expression empruntée à Magid Houssi, un autre Tunisien qui a son mot dans les universités italiennes, sur les mots, les langues de routine ou de bois-, qui change de couleur selon les vents et les caprices des intempéries...
Lu par : Liliane Pierré
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Résumé:Aujourd'hui, on ne dispose que de 15 ans pour réussir sa vie. Entre 25 et 40 ans il faut du fric, du cul, des gosses, une carrière, du fitness, des voyages, des soirées échangistes, trouver un sens à sa vie, du shopping à new York, etc. Si vous êtes tout en bas de l'échelle de Richter de l'épanouissement personnel et de la reconnaissance sociale, il faut vous reprendre. C'est exactement ce que tentent de faire deux femmes et deux hommes.