Contenu

Les instants suspendus

Résumé
Recueil de textes courts en poésie en prose évoquant les bonheurs simples de la vie.
Genre littéraire: Poésie
Durée: 1h. 57min.
Édition: Paris, Seuil, 2023
Numéro du livre: 76682
ISBN: 9782021468243

Documents similaires

Durée : 15min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 77095
Résumé:Recueil de poèmes dans lesquels les rats sont les acteurs d'une société où ravocats, raracistes, rates, ratons, rats des villes ou encore rats des champs se côtoient.
Lu par : Clémence Adam
Durée : 6h. 32min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 78426
Résumé:Pierre de Ronsard est le poète le plus connu de la Pléiade. D'abord destiné à une carrière militaire et diplomatique, atteint d'une surdité subite, il devient humaniste et poète. Il sera proclamé «Prince des poètes».
Lu par : Pierre Gautier
Durée : 5h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22064
Résumé:Grez-sur-Loing, 1884. Autour de Carl Larsson vit une petite communauté de peintres scandinaves venus teste la lumière tant vantée par ceux que l'on nomme, encore par dérision, les « impressionnistes ». August Strindberg est là avec sa famille, Soren Kroyer les rejoint bientôt. Pour Ulrick Tercier, ils représentent la joie de vivre, la passion. Aussi, quand le groupe se délite, décide-t-il de parti pour Skagen, au Danemark, avec Soren Kroyer. Il est dès lors partagé entre différents lieux - Skageng Grez et Sundborn, en Suède - qui incarnent autant de conceptions de l'art et de la vie. Sundborn ou les jours de lumière, qui met en scène des personnages réels et romanesques, décrit par petites touches, légères et sensibles, les heurts, les cassures, les instants parfaits qui font une vie. Évocation de l'impossible conciliation entre l'absolu de l'art et les nécessaires compromissions de l'existence, ce roman empreint de nostalgie est également une célébration de la joie de vivre, et de peindre.
Lu par : Manon
Durée : 1h. 23min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 30512
Résumé:Sans doute, ce nouveau recueil est-il particulièrement "solaire", invités que nous sommes à goûter au plaisir transgressif du mojito, à se faire surprendre par une averse, à tremper nos lèvres dans la perfection transparente de la pastèque... Mais chez Philippe Delerm, le soleil ne va jamais sans pluie, et le bonheur sans mélancolie. Grand lecteur de Jules Renard, l'auteur le cite en exergue : "Le vrai bonheur serait de se souvenir du présent". Ce présent qui ne cesse de s'échapper, bien sûr, et dont nous avons déjà la nostalgie alors même que nous le vivons. Voici quelques exemples de ces textes. "Tendre est la vie cruelle" : sur l'amour fragile de deux personnes qui, à près de 60 ans, ont plus de passé que d'avenir à vivre ensemble, mais qu'un baiser volé va rappeler à leur adolescence. "On ne peut pas être plus près, plus chauds, plus confondus. Et pourtant c'est le fragile qu'on sent." Le bonheur de "Danser sans savoir danser" : on n'a jamais été de ceux qui fréquentent les boîtes de nuit. On admirait ceux qui, sur les pistes de danse, évoluaient si facilement. Mais un jour, à un mariage, "on choisit de danser. Danser, c'est un grand mot. On bouge comme un ours. Mais ce n'est pas grave. On a passé l'âge des susceptibilités. Chance, ça commence par un twist. On peut jouer son insuffisance au deuxième degré, en pliant les genoux, avec un mouvement de bras qui ne donne pas le change, mais semble se moquer de toute une époque - la nôtre." "Le mensonge de la pastèque" : "Elle est trop belle. Etrange. Est-ce qu'on la boit, est-ce qu'on la mange ? Elle est comme une fausse piste du désir. (...) La mangue et la goyave ont goût de mangue et de goyave. La pastèque n'a goût de rien et c'est donc elle qu'on désire en vain. Elle est la perfection de son mensonge (...) Elle n'est qu'un mirage de la chaleur et de l'été."
Lu par : Serpolier
Durée : 1h. 26min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21344
Résumé:Des textes courts. Ce sont des enregistrements pirates, des expressions, des bribes de phrases happées au passage, des scènes filmées à la dérobée dans la rue, dans des endroits publics, quais de gare, wagons de métro, places de marchés, plages. Parfois c'est simplement un bruit, un graffiti. Philippe Delerm pose sur ces éclats d'humanité un regard amusé qui débusque la saveur de l'instant. Comme dans les tableaux du peintre vénitien Longhi qui font l'objet du premier et de l'ultime texte du recueil, les révélations viennent des signes, des comportements les plus infimes, volés au quotidien.
Lu par : Laurence Bardin
Durée : 2h. 2min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21571
Résumé:Toute une foule, vue de dos ou de profil, assistant à un spectacle invisible. Au loin, la mer. Une facture surprenante. Des personnages saisis dans des attitudes familières au cours d'une scène publique. Mais le vrai secret, c'était le personnage grimpé sur un tabouret et qui tient à la main une longue badine, ou une espèce de perche, dont l'extrémité atteint le centre de la scène. Quel sens donner à son geste ?
Durée : 2h. 18min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 26883
Résumé:Publié pour la première fois en 1983, ce roman marque l'entrée en littérature de Philippe Delerm, et de son talent pour la peinture pudique des sentiments et des sensations fugaces. " Un jour tu t'es laissée glisser vers un ailleurs qui te guettait de sa force tranquille et blanche... Pour une raison inexpliquée la 2 CV... a quitté... et percuté... est décédée dans la soirée... Je n'ai pas lu dans un journal ces mots qui ont dû y figurer, qui sont si secs et rassurants pour parler d'une mort bien propre à effacer. Tu ne liras jamais ces pages que j'écris dans une école sage au vent mouillé d'automne. "
Lu par : Nicole Catherine
Durée : 2h. 30min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12918
Résumé:Quatrième de couverture : Professeur de lettres dans un collège, Sébastien dresse à quarante-cinq ans le bilan de sa vie. Ses deux grands enfants ont quitté le foyer familial où il vit désormais avec sa femme qu'il aime. Jusqu'alors, il a toujours vécu en accord avec les choses de la vie. Il les savourait dans leur fugacité. C'est dans la capacité de goûter chaque instant que réside pour lui le bonheur. Un jour cependant, il a un malaise en classe, une fêlure est survenue : " Un vertige, un malaise sourd, et tout de suite on sent que ça ne passera pas comme ça. " Un sentiment diffus l'envahit alors, un vide, une inquiétude qu'il a du mal à comprendre. Pour se défaire de ce mal-être, il entreprend une réflexion douce-amère sur le sens de la vie, du temps qui passe.
Lu par : Anne Botte
Durée : 1h. 14min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 23388
Résumé:Philippe Delerm décrit comme personne les instants familiers à chacun de nous, et restitue, presque intacts, nos petits agacements, nos plaisirs furtifs, les grands moments de solitude et les émerveillements... Au fil de ces petites phrases toutes faites, faussement anodines, il démasque les sentiments enfouis et met à nu l'émotion.
Lu par : Delphine Horst
Durée : 45min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 11556
Résumé:" Les premières fois, Monsieur Spitzweg s'est contenté d'un petit quart d'heure de footing - juste le temps que les poumons lui brûlent. [...] Deux cent cinquante mètres de tour, c'était bien assez pour un effort mal réparti qui ne lui procura d'abord aucun plaisir. Mais, au bout de quelques semaines, il apprit à reculer un premier seuil de fatigue, puis se surprit compter le nombre de tours, à les convertir en mètres. Douze tours en quinze minutes, oui cela faisait bien du douze kilomètres à l'heure - rien d'affolant, mais déjà une allure moins dérisoire. Le virus était pris. Arnold Spitzweg avait entrepris son combat contre le temps. " Dans cette nouvelle inédite, Philippe Delerm retrouve le personnage qui était déjà au cœur d' Il avait plu tout le dimanche.
Durée : 2h. 18min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 22499
Résumé:Dans le livre peut-être le plus personnel qu'il ait jamais écrit, Philippe Delerm retourne pour la première fois sur son enfance, et trace le portrait tendre et nostalgique des lieux et personnages qui l'ont vu grandir chaque été. L'auteur nous ouvre les portes de la Mascagne, la maison de ses racines, qui fut celle de ses grands-parents puis de ses parents. Aujourd'hui, ils s'y retrouvent en vacances, toutes générations confondues.
Lu par : Dr Martin Lebrun
Durée : 4h. 10min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22684
Résumé:Balades, flâneriesà Je cherche le mot le plus léger pour dire ce que furent ces instants volés au ciel de Normandie. Oui, tout autour de chez moi, et pas très loin le plus souvent. Mais après tout, cela pourrait aussi bien être partout ailleurs. C'est le regard qui compte, et cette envie d'aller par les chemins. Bien sûr, les rivières étaient belles. Mais d'un matin de gel à la lenteur d'un soir d'été, la lumière les appelait, chaque fois différentes. J'apprenais à nommer la campagne qui m'entourait, mais elle menait toujours plus loin. J'apprenais à me perdre plus qu'à me retrouver. Dix ans de flâneries à deux, et ça, c'est un tout autre privilège. Partager le silence des chemins avec la femme que l'on aime. Je griffonnais des notes, elle prenait des photos. De ces regards croisés passaient plus tard des images et des mots qui marchaient l'amble. Il n'y avait rien que des lumières échangées et quelquefois un café chaud, très tôt, au hasard d'un village. Mais aujourd'hui je vois qu'un livre est né ; je tremble un peu de voir qu'il nous ressemble, de maraudes en chemins d'eau. Léger, fragile, un livre de balades, de saisons, dix ans flânés à regarder ensemble.Les chemins nous inventent. Il faut laisser vivre les pas.