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Qu'est-ce que le genre ?

Résumé
Etude sur le genre, les rapports sociaux et la domination entre les sexes en abordant les domaines de l'éducation, du travail, de la sexualité, de la psychanalyse, de la neurobiologie, du sport, des représentations culturelles, scientifiques, politiques et religieuses.
Durée: 7h. 18min.
Édition: Paris, Payot, 2014
Numéro du livre: 72448
ISBN: 9782228911597
Collection(s): Petite bibliothèque Payot
CDU: 301

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Durée:7h. 9min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:69582
Résumé: « Etre visibles. Marcher dans la rue sans peur. Exprimer haut et fort nos opinions. C’est ce que la société interdit aux femmes et aux minorités. Et c’est le programme de ce livre. Messieurs qui tenez les manettes, si vous voulez régler le problème, les ­chercheuses et militantes féministes ont fait le boulot. Les mécanismes sont identifiés, les solutions existent. Tout est là. Ce qu'il manque maintenant, c’est votre volonté. Or, chaque jour, on constate qu’elle est nulle. Manifestement, l'idée de vivre dans un monde où les femmes seraient vraiment les égales des hommes ne vous emballe pas plus que ça. » L.B. Avec Présentes, Lauren Bastide signe un manifeste féministe ultra-documenté, nourri par les réflexions des militantes les plus inspirantes de la génération #MeToo. Un livre à mettre entre toutes les mains pour mieux comprendre les nouvelles luttes féministes et antiracistes d’aujourd’hui.
Durée:11h. 47min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:26739
Résumé: Qu'il s'agisse d'inégalités de traitement en fonction du sexe, de la race, de la sexualité, de la religion, de l'origine, des handicaps, de la santé, les discriminations sont aujourd'hui perçues et combattues comme la figure centrale des injustices. S'il est indispensable de les décrire et de les mesurer, il faut aussi que l'on sache mieux comment elles sont vécues par celles et ceux qui les subissent. L'écart est grand, en effet, entre les inégalités objectives et la manière dont les personnes les ressentent et, surtout, dont elles les tiennent pour justes ou injustes. Pourquoi moi ? s'efforce de rendre compte de ce vécu plus divers qu'il n'y paraît. De l'"expérience totale" qui fait de la discrimination le coeur de l'identité et du rapport au monde des individus à la distanciation que d'autres parviennent à installer grâce à un ensemble de stratégies et de tactiques, se déploie un espace de discriminations ressenties de façon plus ou moins intense. Ces expériences sont déterminées par le jeu complexe des conditions sociales. Ainsi les plus discriminés ne sont pas nécessairement ceux qui éprouvent les sentiments d'inégalité les plus aigus. La comparaison entre l'école et l'hôpital montre que les discriminations sont perçues de façon très différente dans ces institutions pour lesquelles la diversité des cultures et des personnes ne constitue pas le même enjeu. Les discriminations et les luttes qu'elles entraînent révèlent de profondes transformations de notre vie sociale et de nos subjectivités ; non seulement elles dévoilent des injustices intolérables, mais elles montrent comment les individus essaient de se construire comme les sujets de leur liberté et de leur identité quand l'ordre social perd de son unité et de son ancienne légitimité.
Durée:6h. 51min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:16469
Résumé: Sous un angle à la fois philosophique et ethnologique, Sylviane Agacinski livre dans cet essai une réflexion renouvelée sur l'identité sexuelle et ses prolongements : la sexualité, mais aussi la parentalité ou le féminisme. Contre Simone de Beauvoir et Le Deuxième Sexe, elle refuse d'assimiler la fécondité à un simple "destin biologique", pour en faire au contraire une dimension essentielle de la féminité. Entre identité et différence, les mécanismes complexes qui régissent les relations
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Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:69767
Résumé: En Europe, on a brûlé les sorcières jusqu’au XVIIe siècle. Elles n’étaient coupables que d’une seule chose : être femme. À la veille de la Renaissance, un pape avait proclamé que toutes les femmes étaient sorcières. Bonnes à tuer pour protéger le « membre viril » disent les textes. Toutes ces cruautés à peine balayées par la Révolution française, l’impure sorcière fut bientôt transformée en son contraire : la très pure Sainte Vierge. Que reste-t-il aujourd’hui de ces sorcières jadis brûlées, écartelées, maudites ? Guérisseuses de choc cachées dans les campagnes, petites-filles du féminisme, activistes Femen ou membres du mouvement #Metoo, les sorcières du XXIe siècle sont libres et fières de l’être. Romancière, philosophe, critique littéraire, essayiste, Catherine Clément n’est pas entrée en sorcellerie par hasard. Après avoir profondément aimé sa mère, une « sublime sorcière juive-russe passionnée d’occultisme et de voyance », choisissant « la raison contre sa folie », elle nous offre aujourd’hui dans un essai lumineux une réflexion pertinente sur les liens subtils qui relient misogynie, féminisme, religion et sorcellerie.
Durée:6h. 8min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:25943
Résumé: Soudain, ils sont devenus riches. Très riches. Millionnaires. Et ce fut par le seul fait du hasard. Pour la première fois, la Française des Jeux a permis à des sociologues d'entrer en contact avec des « grands gagnants » du jeu Loto®. Pour la première fois aussi, ces gagnants ont accepté de participer à des entretiens approfondis. Ce qu'ils disent, c'est une vie bouleversée, c'est la joie, mais ce sont aussi de multiples questions touchant à la famille et aux amis, au travail, à l'argent, aux rêves à réaliser, avec en toile de fond ce paradoxe : parce que leur éducation ne les y a pas préparés, la plupart des gagnants doivent surtout apprendre à être riches ! Comment apprivoiser la richesse subite : tel est finalement l'un des principaux thèmes de cet essai qui, au-delà des magnifiques portraits de gagnants qu'il propose, est le premier à analyser en profondeur et à mettre en perspective cette forme de richesse.
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Résumé: De la guerre de Crimée à la chute de l'URSS, huit dates clés sont analysées pour mettre en lumière les conséquences des décisions politiques prises en Russie entre le milieu du XIXe et la fin du XXe siècle.
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Genre littéraire:Roman animalier
Numéro du livre:16939
Résumé: Je suis né dans un tonneau au fond d'un grenier à foin ; la lumière tombait sur mes paupières fermées, en sorte que, les huit premiers jours, tout me parut couleur de rose. Le huitième, ce fut encore mieux ; je regardai, et vis une grande chute de clarté sur l'ombre noire ; la poussière et les insectes y dansaient. Le foin était chaud et odorant ; les araignées dormaient pendues aux tuile ; les moucherons bourdonnaient ; tout le monde avait l'air heureux ; cela m'enhardit, je voulus toucher la plaque blanche où tourbillonnaient ces petits diamants et qui rejoignait le toit par une colonne d'or. Je roulai comme une boue, j'eus les yeux brûlés, les côtes meurtries ; j'étranglais, et je toussai jusqu'au soir.
Durée:2h. 47min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:17121
Résumé: Culpabiliser l'autre, un art ? Comment avons-nous appris à culpabiliser ? Et avec quelles techniques ? Comment utilisons-nous la culpabilisation, en particulier dans notre couple ? Parce que c'est aujourd'hui la manière la plus répandue d'exprimer un mécontentement, Robert Neuburger propose ici de repérer les tentatives de culpabilisation avant d'avoir à en subir les effets. Il montre ainsi que la survie d'un couple tient plus à sa capacité à inventer des compromis, à être tolérant et surtout à conserver un sens du relatif, de l'autodérision, de l'humour, qu'à ses facultés culpabilisatrices. N'oublions jamais que les conflits n'éclatent que si les partenaires pensent tous deux avoir raison, et que, comme dit le poète, " là où nous avons raison, il ne repoussera jamais de fleurs ".
Durée:3h. 21min.
Genre littéraire:Voyage/exploration
Numéro du livre:14481
Résumé: Au milieu des années 1920, Vita Sackville-West et son époux, le diplomate et célèbre écrivain Harold Nicolson, décident de suivre une ancienne piste empruntée par les caravanes à travers les montagnes qui se dressent au sud-ouest d'Ispahan. Dans la meilleure tradition des globe-trotters anglais, ils n'ont aucune raison particulière de faire ce voyage. Vita n'a rien d'une aventurière née : "J'ai horreur des montagnes" et "J'ai horreur des tentes", s'exclame-t-elle, tandis que son cher Harold, ayant "comme de bien entendu" oublié son veston, évolue drapé dans la cape des montagnards persans, avec l'air romantique d'un pingouin. Mais ne suivent-ils pas, après tout, la route empruntée jadis par Alexandre pour gagner l'Inde et ne sont-ils pas sur la trace d'oignons rarissimes d'iris et de tulipes pour leur jardin anglais ? Parmi tous les inconforts du voyage, Vita note ses impressions sur la vie des nomades contraints, année après année, de franchir ces montagnes d'un pas las ; elle photographie un derviche à cheval qui dégringole aussitôt de sa monture, tandis que Harold, absorbé dans la relecture de son manuscrit, ne perd pas une occasion de l'accabler de reproches parce qu'elle l'a emmené se perdre au milieu des nomades. A dos d'âne et en voiture, un voyage sentimental où l'on respire à six mille pieds d'altitude.
Durée:7h. 56min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:65293
Résumé: La stupidité, moteur de notre société ? L'idée est moins absurde qu'il n'y paraît. Un homme s'y consacre d'ailleurs depuis plus de vingt-cinq ans. Il s'appelle Matthijs van Boxsel. Du célèbre Club des Gaffeurs créé dans les années 1970 à la mystérieuse amstellodamoisitude, en passant par le ahah français et le haha anglais, il traque la stupidité sous toutes ses formes à travers les contes de fées, les dessins animés, les jardins paysagers, les oeuvres de science-fiction, la littérature, la peinture, la politique, la religion, les théories les plus sérieusement délirantes et... l'intelligence. Résultat : ce livre-ci, qui montre que la stupidité se manifeste partout, en chaque individu, depuis toujours, et qu'elle pourrait bien être la marque de la grandeur de l'homme.
Lu par:Jean Frey
Durée:6h. 5min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
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Résumé: Jean Améry, de son vrai nom Hans Mayer (1912-1978), propose une réflexion sur ses propres craintes, ses révoltes et ses propres tremblements humains, trop humains devant le cheminement vers une absence. Toute personne qui, ayant soudain «découvert» que le temps est l'adversaire de la vie, se met à ruser avec lui, est un être vieillissant. Alors, écrit Jean Améry, commence à s'installer la tentation de la litanie maniaque. Je vais mourir je vais-je vais mourir, rire, rire, je vais mou. Puisqu'il ne peut pas penser la mort, il croit devoir au moins la cerner. Je vais mourir, se dit l'homme vieillissant. Quand ? Où ? Comment ? Surtout : Comment ?»
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Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
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Résumé: C'est aux croyances sur l'au-delà qu'il s'attaque ici, en se livrant à une véritable Consolation parodique. Afin de ridiculiser et de mettre à bas les préjugés, les mythes et les pratiques funèbres, Lucien renverse les lois du genre en adoptant le point de vue d'un jeune défunt censé consoler son père. Le mort, paradoxalement, parle et se moque des lamentations des vivants. Pour démontrer que leur attitude est stérile, ridicule, que son sort est enviable, et qu'ils feraient mieux de se réjouir de son décès plutôt que de le déplorer, il mobilise et détourne avec ironie les lieux communs de la littérature consolatoire, ceux mêmes que l'on rencontre au fil des Consolations de Boèce, de Plutarque et de Sénèque, traduites également dans cette collection. Dans ce petit traité plein d'humour, Lucien se livre à une critique acerbe des funérailles...