La ciociara
Résumé
Cesira est une jeune et jolie paysanne, une ciociara. Elle n'a que deux passions : sa boutique à Rome, et surtout sa fille de quinze ans. La politique, la guerre, elle n'y comprend rien. Mais en 1943, la guerre est bien trop proche pour qu'on puisse l'ignorer : Rome est bombardée, menacée de famine. Pour Cesira il n'y a qu'un seul salut : se réfugier auprès des siens, au pays... Et c'est l'exode, la découverte de la ferme familiale désertée, la campagne en proie au pillage et aux Errantes, éperdues, Cesira et sa fille désespèrent... Reverront-elles jamais Rome ?
Lu par :
Isabelle Nedjar
Genre littéraire:
Roman : au sens large et aventures
Mots-clés:
Littérature italienne
Durée:
13h. 52min.
Édition:
Paris, Flammarion, 1958
Numéro du livre:
5824
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
Collection(s):
La rose des vents
Documents similaires
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 8h. 2min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17165
Résumé:Mario de Sio a vingt ans. Ses parents sont séparés depuis son enfance. Son père vit à Rome. Mario, lui, a grandi à Paris avec sa mère jusqu'à la mort de celle-ci. Il retourne à Rome pour vivre un temps avec son père, cet homme qu'il connaît si peu. Mais, à peine arrivé dans l'appartement, Mario voit ressurgir le fantôme maternel, dans une scène violemment érotique.
Lu par : Alain Grundlehner
Durée : 5h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14004
Résumé:" On peut aimer et tromper. C'est une des choses les plus vraies qu'on puisse dire. L'amour n'empêche pas l'infidélité. Le sexe est infidèle, le coeur ne l'est pas. Je sais qu'il est infidèle, le sexe, mais je suis jaloux... Le coeur infidèle, c'est la fin de tout. On peut faire du sexe sans l'amour, mais on ne peut pas faire l'amour sans le sexe. L'infidélité du sexe peut être une défaillance. L'infidélité du coeur, un désastre... Vous le savez bien, j'ai toujours donné beaucoup d'importance à la femme, à l'amour, parce que c'est capital dans la vie de l'homme. J'ai beaucoup d'expérience. Et je parle d'expériences, pas de théories... La jalousie est délire et fureur. C'est une maladie, c'est une chose abominable. "Alberto Moravia, Extrait d'une conversation avec Jean-Noël Schifano in Désir d'Italie. Folio / Essais, 1990.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 12h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 5749
Résumé:Le jeune Marcello grandit, livré à lui même, dans une famille désunie. Le bouillonnement de l'adolescence l'effraie, il se sent traversé par des instincts violents, meurtriers. Terrorisé par le sentiment d'être différent des autres, Marcello décide, une fois adulte, de devenir comme tout le monde, irréprochablement normal. Dans l'Italie de Mussolini, être normal cela veut dire être fasciste. Marcello a mis le doigt dans un engrenage qui le conduira très loin.
Lu par : Jean de Rham
Durée : 7h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 4396
Résumé:Eduardo, fasciné par le voyeurisme, a des rapports très conflictuels avec son père et idéalise sa femme...
Lu par : Claude Garnier
Durée : 6h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32161
Résumé:Capri! Au pied des Faraglioni, l'île rayonne d'azur et de sérénité. Pourtant, le drame couve entre Emilia et Riccardo. Perdu dans les méandres d'un scénario sur l'Odyssée, Riccardo sent sa femme se détacher de lui. Emilia ne l'aime plus. Pire, elle le méprise. Drôle de coïncidence! Riccardo voit soudain sa propre vie se superposer à son scénario. Si Ulysse tarde à revenir à Ithaque, c'est par crainte de revoir Pénélope, sachant qu'il doit la reconquérir. Reconquérir Emilia! Voilà bien l'unique obsession de Riccardo! Sait-il seulement ce qui agite Emilia? Désenchantement? Ennui? Attirance secrète pour Battista, le fastueux producteur? Dans «le ciel bleu du mépris», l'orage gronde...
Lu par : Adriana Evequoz
Durée : 10h. 58min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 5526
Résumé:Dans Nouvelles romaines, Moravia se mue en conteur, dans le cadre d'une tradition typiquement italienne, et en conteur uniquement livré au plaisir de raconter. Pacifié, il retrouve une connivence foncière avec le petit peuple de Rome, sa patrie profonde et pittoresque, et le lieu d'un certain bonheur d'être, dans une dolce vita qui n'a rien de fellinien.
Lu par : Michel Guesdon
Durée : 3h. 57min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 37084
Résumé:Ces histoires d'amour tournent autour des thèmes de la séduction, du mensonge, de la manipulation, de la frustration amoureuse, de la possessivité insatisfaite.
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 17h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18500
Résumé:Leo Pontecorvo est un professeur de médecine reconnu et un père de famille respecté. Avec savoir vivre et discrétion, il mène une vie confortable. Les excès et les incartades font d'autant moins partie de son univers qu'il est issu d'une famille juive romaine qui a sa place dans la bourgeoisie depuis des décennies, ce qui lui confère une tranquille approche de la vie. Mais voilà qu'un soir, en regardant le journal télévisé, il apprend qu'une gamine de douze ans, petite amie de l'un de ses fils, l'accuse d'avoir tenté de la séduire. Un gouffre s'ouvre sous ses pieds. Rien dans sa vie ne l'a préparé à affronter une situation aussi humiliante. Rien ne l'a préparé à se battre en général. Depuis toujours il s'est déchargé des contingences matérielles sur sa mère et sa femme, Rachel. Au lieu d'affirmer son innocence, Pontecorvo se replie sur lui-même et commence une lente descente aux enfers, tout en se remémorant comment le piège s'est refermé sur lui entre l'indispensable et trop raisonnable épouse, la fillette mythomane, les clinquants parents de l'accusatrice, l'intraitable magistrat, l'ami avocat pervers... Dans ce roman magistral, Alessandro Piperno décortique les moindres détours de l'âme humaine, sa complexité, ses ambiguïtés. Avec une écriture aux milles subtilités, qui ne dédaigne pas l'inventivité, il enveloppe le lecteur dans un récit aux innombrables ramifications.
Lu par : Mousse Reymond
Durée : 2h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 10161
Résumé:A Palerme, en 1937, un homme tue: un triple crime, des meurtres ignobles. On est sous le fascisme, la peine de mort existe, il n'y a qu'à l'appliquer. Un juge s'y oppose, convainc le jury, brise ainsi sa carrière. " C'est une histoire qui a vraiment eu lieu et que j'ai traitée très librement... " dit Sciascia. Après Hugo, Tolstoï, Camus... un autre écrivain contre la peine de mort.Sciascia ne sort pas de sa manière habituelle, reconstruisant, en même temps que le fait divers et le procès, un certain milieu palermitain une certaine année de l'ère fasciste.
Lu par : Daniel Schreiber
Durée : 6h. 25min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23234
Résumé:Thriller politique, enquête journalistique, dénonciation d'un crime de masse. Ce roman de Pino Cacucci est tout cela à la fois. Mais c'est aussi le passionnant récit d'aventures humaines dans un pays immense et bariolé, avec ses paysans, ses Indios, ses révolutions avortées, ses riches corrompus : le Mexique. Un Mexique asphyxié par la pollution, exploité, ravagé par la violence, asservi et pillé par des hommes à la solde d'un pouvoir, occulte, mais organisé par les nantis qui l'entourent. Quant aux héros, ils sont épiques : un journaliste, reporter-télé, utopiste ; un jeune boxeur réaliste qui cherchera à comprendre comment et pourquoi son frère, médecin des pauvres, a été assassiné par la pieuvre américaine ; et un aventurier ex-capitaine des marines recyclé dans la sécurité privée, cynique et blasé mais lucide. Pino Cacucci modèle ses paysages et ses actions dans le moindre détail, façonne ses vérités, sculpte ses personnages avec des mots simples, dénonce les impostures d'une société rongée par l'égoïsme et l'argent. En effet, si son livre peut être appréhendé comme un violent pamphlet contre l'hégémonisme américain, le style incisif de Cacucci sait aussi se fait tendre lorsqu'il parle des déshérités et de leur soif de bonheur.
Lu par : Michel Zendali
Durée : 5h. 10min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 73587
Résumé:Un roman puissant sur les blessures du passé et la force du pardon. Rosa est née dans le quartier de San Nicola, un des plus pauvres de Bari. Parmi les maisons blanches bordant d'étroites ruelles qui courent vers la mer, la violence règne. A la maison, où le père de Rosa tyrannise la famille, la violence est aussi de mise. Quand elle rencontre Marco au sortir de l'adolescence, Rosa voit en lui une porte de sortie, la possibilité de reconstruire sa vie loin de Bari. Tous deux partent pour Rome, où ils s'installent et se marient. Mais très vite Rosa comprend que Marco n'est pas celui qu'elle croyait. Quand la mort de son père rappelle Rosa dans sa ville natale, la jeune femme n'a d'autre choix que de replonger dans son passé. Parviendra-t-elle à pardonner à son père pour tout ce qu'il a fait subir à sa famille ?
Lu par : Jean Frey
Durée : 5h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19723
Résumé:À la belle saison, comment s'enfermer entre quatre murs quand il fait si bon danser, marcher dans les rues de Turin ou se moquer des gens qui passent ? Le bel été, c'est le temps joyeux de la jeunesse, mais aussi de l'apprentissage doux-amer de l'existence pour les seize ans de Ginia qu'attire et effraie le monde des adultes, où l'étrange Amelia et le peintre Guido seront ses initiateurs. Le diable sur les collines raconte aussi l'histoire d'un été, celui d'étudiants heureux de se brunir au soleil sur le Greppo où chantent les grillons, tandis que le riche et jeune Poli cherche dans l'alcool et la drogue un sens à sa vie ou peut-être un dérivatif au vide de son âme. L'ennui. arme du diable, frappe en ville comme sur les collines les cercles de la jeunesse dorée où Clelia Oitana, l'héroïne d'Entre Femmes seules, a ses entrées de par son métier. Rien n'apaise cette «difficulté d'être» dont le grand romancier italien s'est fait le peintre attentif et sensible.