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Les bras noueux: des Waldstaetten aux Huit-Cantons

Résumé
9 contes suisses : Le peuple des bergers, les trois Suisses, Werner Stauffacher, Arnold de Melchtal, Walter Fürst, le Grütli, Tell père Tell fils, la fin des baillis, Adolphe de Nassau...
Genre littéraire: Nouvelle
Durée: 2h. 5min.
Édition: Lausanne, J. Rollan, 1964
Numéro du livre: 19010
Collection(s): Petit maltraité d'histoires suisses / Jack Rollan

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Genre littéraire:Humour-satire
Numéro du livre:18915
Résumé: Publié tout d'abord 1950, le Petit maltraité d'histoires suisses, revu et diminué par Jack Rollan a fait l'objet de 22 épisodes radiophoniques. Sous le titre Y'en a point comme nous, il revisite l'histoire suisse à sa manière. Hommages ironiques à la Suisse, ces sketchs ont également fait l'objet d'un livre et d'un spectacle hollywoodien qui, malgré son succès a causé la ruine de son auteur en raison des coûts de production.
Lu par:Jack Rollan
Durée:46min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:15880
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Résumé: Une suite d'évocations, de réflexions et d'historiettes écrites au fil du temps, au fil des humeurs, légères ou graves, tantôt sucrées, tantôt acidulées, qui se laissent savourer avec gourmandise au fil de la lecture. (www.payot.ch)
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Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:4327
Résumé: Ce livre est drôle, vif et insolent. Au fil de ces vingt-cinq histoires courtes, vous rencontrerez de curieux personnages tout occupés à remplir, au plus près de leur conscience, de bien étranges besognes dont dépendent la tranquillité du pays et la bonne marche du monde... S'il faut absolument une morale à ces fabulettes souriantes, c'est qu'il vaut mieux, dans la vie, ne pas tout prendre au pied de la lettre.
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Genre littéraire:Nouvelle
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Résumé: Quatrième de ouverture : Réveillon catastrophique, accouchement rédempteur, liste assassine, fantasmes, vache meurtrière, insupportables ronflements, agroglyphes et bucolique demande en mariage, règlements de comptes, despote amnésique, miracle de Noël... Autant de situations plus surprenantes les unes que les autres, mais... Il ne faut jamais dévoiler par avance les secrets promis par le paquet surprise. À chacune, à chacun de s'y plonger gaiement au gré des variations orchestrées par l'auteure. Le génie de son style, ses intuitions vives, cette capacité unique qui est la sienne de savoir communiquer à ses personnages autant d'étrangeté que d'épaisseur reconnaissable vous confirmeront que l'art de donner vie à toutes ces histoires n'est jamais que le fruit d'une vertu reine : l'imagination créatrice ! François Gachoud
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Résumé: Un roman drôle et décapant qui traite de sujets profonds : et si l'art pouvait nous (re)donner de la force, du courage, de la confiance, de l'envie ? De plus en plus de thérapeutes conseillent aux gens déprimés, en deuil ou en rupture de se ressourcer en allant voir un tableau qui a parfois traversé les siècles et les continents, et a un message libérateur à transmettre. La vie passe et on se retrouve à 50 ans, souvent fraîchement divorcée et hélas plus toute fraîche sur le marché ingrat de la séduction. A cet instant précis, on peut gémir sur l'injustice du temps qui file, sur ces salauds de mâles qui font leur crise, cassent leur vie comme on casse une construction en Lego et n'arrivent plus à la reconstruire, sur l'ingratitude des jeunes qui nous considèrent au boulot comme des vieux cons avec notre vie de bureau bien réglée " en présence " comme on dit désormais, alors qu'eux sont mobiles, exigeants, online, volatiles, égocentrés, vénaux assumés, tout ce que nous avons toujours rêvé d'être sans jamais oser le réclamer, on peut geindre sur nos parents âgés qui ont eu une retraite en platine dont nous ne bénéficierons jamais et qui ont le mauvais goût de vivre hyper longtemps, avant de nous bouleverser quand ils meurent parce que ce sont nos parents et qu'après eux c'est nous qui sommes au bord du précipice, on peut grincer sur nos enfants merveilleux forcément merveilleux mais pour lesquels on panique car on se dit qu'ils ne trouveront ni emploi ni logement et qu'ils resteront agglomérés à nous et à leur portable, confinés ad vitam aeternam à la maison pour se protéger du monde extérieur. Oui on peut se plaindre de tout ça et je le fais régulièrement car c'est très jouissif de se plaindre même si cela ne mène à rien. Mais la réalité, c'est qu'on bouge encore.."