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L'enquête immobile: roman

Résumé
En près de quatre cents pages, le narrateur conte deux histoires en une: la quête de la femme ultime et une enquête sur la disparition mystérieuse du fils aîné d'une marquise. «La police était sur les dents et les dentistes ne chômaient pas» au cours des péripéties de cette fiction éclatée - comme son titre ne l'indique pas - en plusieurs lieux, Mexico, Beijing, Lausanne (entre autres dans le cimetière de La Sallaz, sur le pont Bessières et place Saint-Laurent) et Madrid. Le lecteur croise un homme vert, trois soeurs étranges, un piéton cheminant en sandales en plein hiver, tandis que le narrateur en vient, à un moment, à écouter «la pythonisse à la voix de fer forgé dans un gant de velours». En bref, un roman proche du surréalisme où Lador s'en prend aux travers du monde actuel, joue avec les mots et les sigles - créant par exemple les SJC, synodes de joyeux chrétiens. (Marc-Olivier Parlatano, www.lecourrier.ch)
Durée: 8h. 41min.
Édition: La Chaux-de-Fonds, O. Morattel, 2011
Numéro du livre: 18213
ISBN: 9782970070146

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Résumé: Un roman drôle et décapant qui traite de sujets profonds : et si l'art pouvait nous (re)donner de la force, du courage, de la confiance, de l'envie ? De plus en plus de thérapeutes conseillent aux gens déprimés, en deuil ou en rupture de se ressourcer en allant voir un tableau qui a parfois traversé les siècles et les continents, et a un message libérateur à transmettre. La vie passe et on se retrouve à 50 ans, souvent fraîchement divorcée et hélas plus toute fraîche sur le marché ingrat de la séduction. A cet instant précis, on peut gémir sur l'injustice du temps qui file, sur ces salauds de mâles qui font leur crise, cassent leur vie comme on casse une construction en Lego et n'arrivent plus à la reconstruire, sur l'ingratitude des jeunes qui nous considèrent au boulot comme des vieux cons avec notre vie de bureau bien réglée " en présence " comme on dit désormais, alors qu'eux sont mobiles, exigeants, online, volatiles, égocentrés, vénaux assumés, tout ce que nous avons toujours rêvé d'être sans jamais oser le réclamer, on peut geindre sur nos parents âgés qui ont eu une retraite en platine dont nous ne bénéficierons jamais et qui ont le mauvais goût de vivre hyper longtemps, avant de nous bouleverser quand ils meurent parce que ce sont nos parents et qu'après eux c'est nous qui sommes au bord du précipice, on peut grincer sur nos enfants merveilleux forcément merveilleux mais pour lesquels on panique car on se dit qu'ils ne trouveront ni emploi ni logement et qu'ils resteront agglomérés à nous et à leur portable, confinés ad vitam aeternam à la maison pour se protéger du monde extérieur. Oui on peut se plaindre de tout ça et je le fais régulièrement car c'est très jouissif de se plaindre même si cela ne mène à rien. Mais la réalité, c'est qu'on bouge encore.."
Durée:4h. 18min.
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Résumé: Publié tout d'abord 1950, le Petit maltraité d'histoires suisses, revu et diminué par Jack Rollan a fait l'objet de 22 épisodes radiophoniques. Sous le titre Y'en a point comme nous, il revisite l'histoire suisse à sa manière. Hommages ironiques à la Suisse, ces sketchs ont également fait l'objet d'un livre et d'un spectacle hollywoodien qui, malgré son succès a causé la ruine de son auteur en raison des coûts de production.
Lu par:Collectif BSR
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Résumé: C'est l'histoire d'un homme qui se fait appeler Guillaume Tell. Un beau «morceau de l'humanité et de son patrimoine», d'après les propos de l'éditeur, à entretenir entre les faits d'hiver, d'été et de toutes les saisons. Un nom composé et décomposé et qui associe l'identité un peu fantôme, ni d'Orient ni d'Occident, mais qui épelle tant d'expressions sur le sujet en question et à propos de quelques autres, les sains et les mauvais esprits. A partir du conte de cet «étranger», condamné à être à vie un étranger- malgré sa totale intégration-, les petits contes surgissent à la surface d'une Méditerranée et surfent, lunatiques sur toutes les ailes. Sur les airs d'«une tache bleuâtre»- expression empruntée à Magid Houssi, un autre Tunisien qui a son mot dans les universités italiennes, sur les mots, les langues de routine ou de bois-, qui change de couleur selon les vents et les caprices des intempéries...
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Résumé: Lors d'une fête entre voisins, Constantin Birgus fanfaronne. Il a prévu d'emmener sa femme et ses trois enfants au Iles Fidji cet été. Un rêve en réalité inaccessible, pour des raisons financières. Constantin pourtant s'obstine et raconte à tout le monde qu'il a réservé l'avion, l'hôtel, les excursions. Le jour du départ approchant à grand pas, il doit finalement exposer à sa femme son vrai projet de vacances.
Durée:2h. 44min.
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Résumé: «La vieillesse ne sert à rien. Si j'avais créé le monde, j'aurais mis l'amour à la fin de la vie. Les êtres auraient été soutenus, jusqu'au bout, par une espérance confuse et prodigieuse. » Henri Roorda van Eysinga est né à Bruxelles en 1870. D'origine hollandaise, il vécut la plus grande partie de son existence dans le canton de Vaud, à Clarens et à Lausanne, où il se suicida à l'âge de 55 ans. Ses écrits et ses chroniques, des essais philosophiques s'inscrivant dans la lignée d'Alphonse Allais et de Desproges, - Le roseau pensotant, Le débourrage des crânes est-il possible? ou encore Le pédagogue n'aime pas les enfants - portent un regard amusé, caustique et sévère sur la société. A sa mort, en 1925, il laisse un ouvrage intitulé dans un premier temps Le pessimisme joyeux qui deviendra Mon suicide, le public ayant, selon lui, un goût plus prononcé pour le mélodrame.