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Stalactites

Genre littéraire: Nouvelle
Durée: 3h. 49min.
Édition: Lausanne, La Guilde du livre, 1941
Numéro du livre: 15648
Collection(s): La Guilde du livre

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Durée:4h. 4min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:19045
Résumé: La Vita nuova de Dante, c'est 1292. Le Novellino peut lui être antérieur d'une trentaine d'années. " Dugentesco (mille-deux-centesque), qui est l'épithète d'évaluation consacrée par la critique italienne actuelle, est alors bien ce qu'il convient pour fixer l'âge de composition de ce capital monument de la pré-Renaissance. L'auteur est anonyme. Aucune des conjectures auxquelles on s'est livré n'a réussi à l'identifier. Ce n'est ni Francesco da Barberino, ni Brunetto Latini, ni Andrea Lancia, ni non plus Dante da Maiano. Il n'en demeure pas moins que c'est un écrit d'une robuste et belle fraîcheur, et si ce n'est pas, comme on l'a dit, un auteur qui parle, c'est - et c'en bien préférable - son siècle entier dans toute sa finesse dans sa vieille sagesse et sa force qui s'exprime par lui.
Durée:7h. 26min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:15573
Résumé: Quatrième de couverture : ce volume rassemble les écrits les plus importants de Charles-Albert Cingria consacrés à la Suisse. Que ces textes soient si nombreux est une espèce de paradoxe. Quoique né à Genève, C.--A. Cingria et son frère Alexandre, fervents lecteurs de L'Action française, Appartenaient au camp des Romains, universalistes, opposé à celui des Suisses (Robert de Traz, Gonzague de Reynold), qui luttaient pour la renaissance d'une culture helvétique. Un peu plus tard, toute idéologie oubliée, C.-A. Cingria savoure tout le plaisir d'exister en n'importe quel endroit du monde...
Durée:2h. 14min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:15324
Résumé: Inédit, La Grande Ourse témoigne à la perfection de ce qui fut, beaucoup plus qu'un thème littéraire des écrits de Cingria, l'un des ressorts de sa vie vouée par les astres à un perpétuel besoin de partir et de repartir. C'est presque un récit de fiction pure (comme "démantibulé", pour reprendre un de ses mots favoris), genre assez rarement illustré par son oeuvre si riche en imprévus. Autrement que dans ses chroniques mais avec la même liberté, le même génie verbal, s'y donne libre cours par bonds, virages, caprices, coups de théâtre, un sens à la foismystique, humoristique, pratique et sans doute autobiographique du merveilleux.
Durée:8h. 41min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:66051
Résumé: Fille de Bourcard de Souabe, Berthe fut reine de 922 à 937, ayant épousé Rodolphe II, roi de la Bourgogne transjurane...sous la plume de Cingria, l'histoire devient une succulente chronique...
Durée:3h. 43min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:67844
Résumé: Les autobiographies de Brunon Pomposo occupent une place de prédilection dans l'oeuvre de Charles-Albert Cingria, car ce texte, aussi mince soit-il, constitue en fait, au terme d'une longue maturation son premier récit d'envergure. Certaines ressemblances entre Brunon et Charles-Albert indiquent que ces Autobiographies sont aussi une autobiographie. Avec les transpositions les plus fantaisistes dont ses lecteurs feront postérieurement leur régal. Tout est vrai et rien n'est vrai dans Cingria. On reconnaît les paysages favoris qui défileront dans son œuvre : Genève, les Etats sardes, de Douvaine à Turin en passant par Aoste et la vraie Sardaigne, celle des récifs de Serpentera. Le charme des Autobiographies, tient en grande part de retrouver dans ce premier récit tout ce qui constituera par la suite l'univers intimiste, et la saveur inimitable de Cingria. N'est-ce pas lui, en prélude à toute son œuvre, qui confiait à son ami Adrien Bovy en 1903 : " Il n'y a guère que les paroles qui semblent d'abord inutiles qui comptent dans une œuvre " ?
Durée:2h. 17min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:9658
Résumé: "... il y a aussi dans le livre une analyse de l'âme romande. Telle que l'ont formée les circonstances particulières, historiques et religieuses. Telle que l'ont critiquée aussi Henri-Frédéric Amiel, lequel voyait dans les Vaudois " pesanteur, profondeur, rêverie, défiance, sauvagerie... ",
Lu par:Claude Fissé
Durée:4h. 36min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:12235
Résumé:
Durée:5h. 25min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:19053
Résumé: Avec finesse et lucidité, Jacques Mercanton ausculte l'âme de l'Italie dans ses recoins les plus secrets. De ce voyage fantasmé est né un recueil de nouvelles boulversantes : La Sibylle. L'un de ses éminents exégètes, Brooks Lachance, résume admirablement ce livre dans sa préface : "L'Italie est d'abord un lieu où les êtres se livrent dans leur vérité. Ils vivent jusqu'au bout leur destin tragique. (...) Au fil de ces nouvelles, l'auteur brosse donc, à petits traits, tout un tableau de la condition humaine, en même temps, bien sûr, qu'il exrime ses obsessions fondamentales de la sexualité et de la mort."
Lu par:Claude Fissé
Durée:3h. 9min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:16183
Résumé: Ces textes écrits entre 1931 et 1938, décrivent des paysages, des figures évoquent de brèves scènes, racontent des fragments d'histoires simples détails de la vie du monde, mais si chargés de sens qu'ils deviennent paraboles. Nul besoin qu'ils s'étaient : cette prose est dure comme le bloc de granit qui apparaît tel un amer à l'homme perdu dans le "veule éternité" des laines, dure comme ces montagnes toujours à l'horizon du désir de Hohl, comme ces trois vielles montagnardes dont il n'est pas surprenant qu'il n'ait pu les oublier, elles-mêmes plus massives simples et fortes que le roc. Mais ces montagnes ne représentent pas une certitude acquise, quelque idéal lointain ou un rempart contre le dehors elles sont à gravir comme la nuit, ici, est à franchir, dans le froid pour atteindre l'autre pour que le monde ne finisse pas.
Lu par:Serge Cantero
Durée:3h. 3min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:33127
Résumé: Treize nouvelles sur le thème, plus ou moins apparent, de la rupture et de la recomposition. On s'y immerge, pour la plupart, dans des scènes tirées du quotidien - une entraide au bureau entre collègues, une prise de pouvoir au sein d'une association, les envies d'un adolescent dans un village isolé ou une crise de colère en face d'un immeuble. Des détails symboliques, comiques ou absurdes, de plus en plus présents, malmènent pourtant la réalité. Ces petites histoires, dont témoigne un observateur scrupuleux et attentif, glissent vers des expériences altérées. Travaillée mais concise, l'écriture révèle des personnages exaspérés, heureux, ennuyés ou encombrés, juste avant un basculement. Une des nouvelles du recueil, "Molly", a reçu en 2012 1e Prix "Naples raconte" de la prestigieuse université de traduction, L'Orientale de Naples.
Durée:4h. 53min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:38234
Résumé: Avec ces vingt nouvelles qui font la part belle aux grands travers humains, jalousie, velléité, narcissisme, culpabilité, Sabine Dormond vous tend, se tend, un miroir sans complaisance, mais teinté d’humour et d?autodérision. Une caricature de notre époque dans ses dérives actuelles et ce qu?elle a d?intemporel. Certains personnages pris dans des engrenages résistent par la puissance du rêve ou la force du déni. D?autres tiennent plus de l?allégorie. On se laisse entraîner par la mort toujours dans les parages, la valse des idéaux et des compromis, des victimes de bizutage et des amis trop pressés de donner leur avis. On voit l?humain flirter avec l?absurde dès qu’il questionne sa condition. Et même Charron le passeur se laisse berner par le dernier voyageur.
Durée:1h. 42min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:66057
Résumé: Chacune des très courtes proses qui composent ce recueil met en scène un personnage « différent ». Une enfant attardée lors de la rentrée des classes. Une jeune femme dont les parents ont obtenu la garde de sa fille. Un vieil homme dans un hospice. Un SDF. Tous sont ce que l’on pourrait nommer des êtres dérangés, radicalement autres, des « inaptes à la vie » dont le seul maintien dans le monde qui les entoure tient du défi permanent ou du miracle. Grolo voulait acheter des cartouches pour son stylo à encre, mais le mot « cartouche » ne lui revenait pas à l’esprit, aussi écrivait-il au stylo à bille. En une page, une page et demi, rarement plus, Adelheid Duvanel parvient à nous enserrer dans ces vies bancales et à nous les rendre proches. Et, en nous permettant de percevoir l’équilibre fragile qui les rend malgré tout possibles, elle nous renvoie subtilement à nos propres tâtonnements. Maîtresse incontestée de la forme courte, elle est parvenue à conjuguer dans un même écrin l’extraordinaire originalité du regard « différent » (qu’il soit celui de l’enfant, du « dérangé » ou du rêveur) et la rigueur pointilliste d’une conteuse hors pair. C’est étonnant comme un mouvement de paupières efface le monde entier. Chacune de ces histoires forme un monde en soi. Une monade. Tout y est. Rien n’y manque. Elles sont comme des petits cercles dessinés à la main. Des petits cercles hésitants, délicats, qui entourent quelque chose. On ne sait pas toujours bien quoi. On sait juste que c’est infiniment précieux.