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Contes

Genre littéraire: Nouvelle
Durée: 4h. 51min.
Édition: Paris, H. Geoffroy, 1893
Numéro du livre: 11494

Documents similaires

Durée:2h. 43min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:65852
Résumé: C’est dans son village natal, près de Belluno, que Dino Buzzati, atteint d’un cancer, va passer les derniers mois de sa vie. Conscient que l’échéance fatale est proche, il écrit alors une série de textes courts qui marquent l’aboutissement de ses réflexions majeures. La métaphore de la vie militaire, vers laquelle il revient ici après son célèbre Désert des Tartares, est le moyen pour le grand écrivain italien de se pencher sur les thèmes du sacrifice, de l’obéissance, de la fatalité, de la grandeur, de la vacuité… Derrière l’apparente retenue, l’impassibilité à la fois inquiétante et ironique de ces récits, l’émotion est tangible. On veut bien croire Buzzati lorsqu’il déclare que son « régiment » est prêt à partir. C’est l’« avis de départ » d’un voyageur immobile. Un recueil de nouvelles qui apparaît comme l’apothéose d’une oeuvre tout entière vouée au mystère de la vie… et de la mort.
Lu par:Pierre Biner
Durée:5h. 3min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:68318
Résumé: Les hommes et la poussière regroupe l'intégralité des nouvelles d'Elio Vittorini des années 1930 et 1940 —toutes inédites en langue française. Elles ont été écrites au moment où Vittorini est au plus fort de son activité et de son rayonnement, et publie ses oeuvres les plus importantes. Deux voix se trouvent puis se rétractent dans le noir, une jeune fille se voit vieillir aux côtés d'un homme qui ne la touche pas, des ouvriers jouent aux cartes en évoquant leur désert, ou crient des noms de villes dans la nuit. Ces nouvelles brèves et énigmatiques, à l'écriture essentielle et d'une musicalité rare, témoignent de la mise au point d'un langage symbolique et prophétique, capable de "dire sans déclarer", appelant à une communauté humaine manquante et désirée.
Durée:5h. 44min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:39495
Résumé: Acclamé comme véritable chef-d’œuvre, Prophétie, qui ouvre ce recueil, traite des difficultés d’un fils qui accompagne son père tout le long d’une maladie aussi éprouvante qu’incurable. Veronesi nous conduit dans son monde où règnent l’obsession du mal, l’amour, la mort. On saisit les personnages au tournant de leur vie, ou à l’époque de leur maturité tourmentée, hantés par des questions irrésolues aux conséquences parfois dramatiques. Un briquet atterrit dans le moteur d’une voiture, une vieille voix au téléphone veut parler à une inconnue, une simple promenade à Paris se termine par l’inquiétante traversée à pied des Champs-Élysées... Il faut le lire pour le croire. Ce que vivent les protagonistes de ces nouvelles est banal et extraordinaire à la fois, si bien que l’on a envie d’accompagner ces gens ordinaires pour donner un sens à ce qu’ils font. Magistral.
Durée:5h. 42min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:71616
Résumé: Le néoréalisme italien traduisait les anachronismes et les paradoxes d'un pays en gestation, chloroformé par vingt années de dictature, et soudain réveillé par les horreurs de la guerre. Telle est l'optique dans laquelle se situe La mer ne baigne pas Naples. Paru en 1953, ce livre révélait la personnalité marquante d'un nouvel auteur. Or, encore aujourd'hui, ce document sur Naples, qui a valeur de témoignage littéraire, n'a rien perdu de sa force et de son originalité. Deux nouvelles et trois "reportages" composent le recueil. Le naturalisme des deux nouvelles se prolonge avec les descriptions goyesques de "L'or de Forcella" et de "La ville involontaire", ainsi qu'avec la visite du royaume des morts que constitue "Le silence de la raison". Dans ce dernier texte, l'évocation des intellectuels napolitains, dont l'autrice partagea la jeunesse et les enthousiasmes à la fin de la guerre, se mêle au déchirement des illusions perdues et à la lucidité implacable du jugement. Le regard d'Anna Maria Ortese envoûte, et à travers celui-ci c'est la ferveur d'une intelligence et l'authenticité d'une vision qui s'imposent.
Lu par:Manon
Durée:1h. 45min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:29927
Résumé: Deux personnages se rencontrent à trois reprises. Un homme commence à parler avec une femme dans le hall de son hôtel et, quand celle-ci a un malaise, il l'héberge dans sa chambre. Leur conversation se poursuit, l'homme s'ouvre à elle mais mal lui en prend. Un portier d'hôtel aide une jeune cliente à s'enfuir afin d'échapper à son compagnon, un individu violent et dangereux. Plus âgé qu'elle, il lui révèle qu'il a passé treize ans en prison à la suite d'un meurtre. Malcolm, le personnage de la première rencontre, est encore enfant quand ses parents meurent dans l'incendie de leur maison. Pour le soustraire aux suites de ce drame et l'emmener dans un endroit sûr, une inspectrice de police le conduit chez un de ses amis. Trois histoires nocturnes qui se concluent à l'aube et qui marquent, chacune à sa façon, un nouveau départ. Trois facettes qu'Alessandro Baricco rassemble en un récit hypnotique et puissant, non dépourvu d'élégance et même de sensualité.
Durée:5h. 54min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:26249
Résumé: Longue nouvelle, rédigée en 1925, alors qu'Italo Svevo commençait à rencontrer un succès très tardif, après la publication de La Conscience de Zeno. Comme la plupart de ses personnages, Monsieur Aghios est un avatar de Svevo. Homme respectable à tous points de vue, il prend congé de sa "vieille épouse", pour entreprendre un voyage en train de Milan à Trieste. Ce périple ferroviaire traversant l'Italie d'ouest en est prend des allures d'épopée burlesque, dans laquelle Monsieur Aghios serait une sorte de Don Quichotte qui aurait lu Freud. Il se laisse griser par un sentiment de liberté retrouvée qui lui permet d'échapper à la prison conjugale, à laquelle il retournera pourtant docilement à l'issue de cette escapade.
Durée:3h. 16min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:23684
Résumé: P’tite Canaille est prête à tout pour sortir du quartier impitoyable où elle est née, se faire une place au soleil et s’entendre dire « chère madame » au pied du Vésuve : le Cagneux, le Prince ou le Sénateur, chacun à sa manière pourra l’aider à étancher son insatiable soif d’ascension. Et Adriana, l’emportera-t-elle dans sa lutte contre la spéculation immobilière qui risque de défigurer le littoral napolitain ? Et Anna, dont le mari a été poignardé, comment pourra-t-elle assurer seule l’éducation de Tonino ? Les personnages de Valeria Parrella évoluent dans un climat de criminalité généralisée, où le trafic de drogue remplace peu à peu la contrebande des cigarettes, où le chômage est devenu inévitable et l’ombre de la Camorra omniprésente. Pourtant, grâce à une écriture sèche et précise, capable de brusques accès d’une ironie irrésistible, c’est avec légèreté que l’auteur pénètre dans le ventre des périphéries napolitaines, le plus souvent à travers le regard des femmes, racontant la difficulté de vivre et d’aimer aujourd’hui dans cette ville belle et terrible à la fois, violente, féroce mais extraordinairement vivante.
Durée:10h. 58min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:5526
Résumé: Dans Nouvelles romaines, Moravia se mue en conteur, dans le cadre d'une tradition typiquement italienne, et en conteur uniquement livré au plaisir de raconter. Pacifié, il retrouve une connivence foncière avec le petit peuple de Rome, sa patrie profonde et pittoresque, et le lieu d'un certain bonheur d'être, dans une dolce vita qui n'a rien de fellinien.
Durée:4h. 18min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:3640
Résumé: Parmi les cauchemars dont les esprits de la nuit s'amusent à tourmenter les humains, le rêve de l'escalier est un des plus efficaces dans sa simplicité. La rampe se dérobe sous la main du dormeur, se fragmente, se pulvérise, les marches hautes comme des tours se creusent en abîmes ou s'amenuisent en barreaux ployant au-dessus du vide - et l'épouvante serre le coeur du dormeur qui s'y croit cramponné. Cette suite d'espoirs déçus, de certitudes anéanties, de vains efforts incessants a d'autant plus de prix, disent les esprits nocturnes, qu'elle renferme une allégorie de la vie. Il en est de même, en vérité, pour les vingt-quatre autres textes (contes, récits, variations) du recueil auquel Le Rêve de l'escalier donne son titre. De la réalité quotidienne et du pseudo-réel qui hante le sommeil au vrai fantastique, la marge est souvent étroite. Dino Buzzati excelle à glisser de l'une à l'autre, à suivre les méandres des distorsions temporelles, à faire résonner le tic-tac de la pendule fantôme annonciatrice de l'avenir, à chausser les lunettes qui révèlent Les Vieux clandestins, à brancher la télévision-vérité des Inventions, à écouter chiens et vieille auto. , L'humour comme dans l'apologue gai de L'Epouse ailée, l'observation désabusée d'Icare ou de Lettre d'amour, l'ironie amère inspirée par les conflits de générations et le Temps dévoreur des êtres, sont d'autres facettes qu'offre ici le talent d'un des meilleurs écrivains italiens contemporains.
Durée:1h. 47min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:15026
Résumé: A cinquante ans, Donna Amalia en paraît trente. Le secret de son éternelle jeunesse ? Avoir su garder son âme d'enfant, cette faculté de s'émerveiller de tout, d'imprimer à chaque instant légèreté et insouciance. Dans ces quelques nouvelles, l'univers magique de l'enfance, avec ses mystères et ses joies, est décrit avec sensibilité, poésie et talent par l'auteur de La Storia.
Durée:4h. 30min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:13643
Résumé: Quatrième de couverture : Deux récits, Famille et Bourgeoisie, recréent les microclimats de la bourgeoisie italienne des années 60. Une décadence inexorable y affecte en sourdine les relations entre les êtres. Dans un style drôle et faussement naïf, Natalia Ginzburg décrit le délitement des liens familiaux, sur le mode de l'insouciance pour les jeunes générations ou de la résignation pour les plus âgés. Elle capte avec une irrésistible lucidité les fractures intimes entre mari et femme, entre enfants et adultes.Ecrit dans un langage parlé d'une saveur délicieuse, ce livre est une plainte murmurée douce-amère où l'on ne sait ce qui l'emporte du comique ou des larmes.
Durée:2h. 7min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:13448
Résumé: Quatrième de couverture : De l'amour, Pavese ne retient que la sexualité, liée au sang et à la mort. Les femmes jouent avec les hommes qui les aiment ; elles les manipulent, les trompent, les rejettent... Une violence à peine contenue mise en valeur par le style nerveux et l'intensité de l'écriture.