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BSR Apéro. Jessica Da Silva Villacastin : un boudoir sur l'Atlantique

Le rendez-vous avec Jessica Da Silva Villacastín  tournera autour de son livre "Un boudoir sur l'Atlantique" et du voyage qui l'a inspiré.

Née le 14 août 1985, Jessica Da Silva Villacastín est une journaliste et auteure suisse, espagnole et portugaise. Après des études de Lettres en arabe, histoire médiévale et hébreu biblique à l'Université de Genève, elle travaille pour des médias radio et TV associatifs, privés et publics suisses. En 2014, elle publie son premier recueil de poésie, Embargo (Ed. Eclectica). En 2019, son premier roman, Un boudoir sur l’Atlantique, récit d’une transatlantique en marine marchande, paraît aux Éditions Encre Fraîche. En 2021, elle débute à la Radio Télévision Suisse en tant que chroniqueuse au sein de l’émission Le Grand Soir sur La Première. Elle est aujourd’hui journaliste RP au sein de la Rédaction de RTS religion sur RTS Première (Hautes Fréquences, La Matinale) et RTS Espace 2 (Babel).

A propos de Un boudoir sur l’Atlantique

“La verve journalistique de l’auteure se manifeste à plusieurs reprises – dans les informations précises qu’elle délivre, les débats qu’elle amorce – ce qui confère au roman une donnée simultanément informative et poétique.”

Laure-Elie Hoegen – LA PÉPINIÈRE

“Ce n’est pas tant dans ce qu’elle dit d’elle-même que Jessica surprend, mais dans ce qu’elle ne dit pas, ou dans ce qu’elle dit d’elle-même en choisissant d’écrire ce livre ainsi, entre rêverie poétique et poétique du reportage.”

David Collin - Préface de “Un boudoir sur l’Atlantique” 

[crédit photo : Jessica DSV]

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Un boudoir sur l'Atlantique : le livre audio

Lu par : Sabrina Erné
Durée : 3h. 21min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 79574
Résumé : Quand on a compris que la norme, c'est qu'il ne se passe rien d'inattendu, on peut enfin tester sereinement de nouvelles disciplines, comme... Le yoga ? Mais où cela pourrait-il se produire ? Existe-t-il encore un non-lieu porteur en lui-même d'une destination, d'une distance ? Un non-lieu où je puisse éprouver le temps enfin, autrement, et ce sans y être sollicitée ? Être livrée à soi, à ce qui nous entoure, à de nouveaux possibles, avant même tout le reste et l’évidence. Ne pas pouvoir être oubliée puisque je serais sans rôle, une présence spectrale. Une nuit, au seuil d’un premier songe, je me représentai un cargo : j’avais trouvé.